Tout d’abord, les rappels circonstanciés qui s’imposent :
- le Bangladesh ça sent mauvais
- C’est plat. Inondable et donc inondé.
- Petit (le 1/4 de la surface de la France)
- Chaud (température moyenne 25)
- Pauvre.
- Et très peuplé… population de 164 millions !
Bref, c’est une boîte de Pétri géante.
Un parfait shithole comme disait l’autre.
Le Bangladesh affiche 54 covidécès par million d’habitants (source Worldometer)…
On pouffe.
La France est à 1 447.
Là, on rit jaune-diarrhée.
Et pourtant, comme de nombreux autres pays, le Bangladesh est tombé dans le piège de la covidémence, à deux pieds et à deux mains (confinement de fin mars… à fin mai !!!)
Déjà, cela devrait nous faire réfléchir (je tire à vue depuis des mois sur ces différences de bilan… totalement invraisemblables entre Occident et Asie, dans le cadre d’une pseudo épidémie mondiale).
Mais au-delà, comme tous les pays du tiers-monde (pardon, en voie de développement) une forme de pragmatisme finit toujours par s’imposer.
Nécessité fait loi.
Dans un pays où de nombreuses personnes ont du mal à joindre les deux bouts… chaque jour… un confinement pour une maladie… quasi virtuelle… ne peut fonctionner qu’un temps.
La covidémence est indéniablement une forme de luxe… 😉
Les dernières restrictions couillonavirales ont ainsi été abandonnées en septembre 2020.
Le remdesivir et les produits géniques à la con, ça coûte trop cher, on n’a pas de lits de réanimation… que fait-on pour s’occuper de nos covicas ?
Voilà la question de base de toute forme de médecine… celle que les Occidentaux ont oubliée (sur ordre de la Chine et de son “modèle”).
Arrive l’ivermectine.
France Soir publie un excellent article qui présente les travaux du professeur Wasif Ali Khan sur l’ivermectine (plusieurs études cliniques, et un séminaire organisé à Dhaka en décembre, sans oublier l’utilisation de l’ivermectine par les médecins, sur le terrain).
Durant l’interview, il dit une chose frappante (hélas assez partagée dans les pays en voie de développement) : les autorités du Bangladesh se reposent sur les rapports des agences de santé publique… occidentales (USA, Royaume-Uni, Canada).
En clair :
“S’ils approuvent quelque chose… nous l’approuvons”
Cela explique une grande partie de la covidémence, dans les pays non-occidentaux, l’Asie étant un cas à part car là, c’est la Chine qui façonne les réactions des gouvernements locaux.
Il est clair que l’Iran par exemple doit être moins sensible à ce phénomène…