Victoria c’est l’état australien totalement covidément, dirigé par un travailliste grand ami de Pékin, Daniel Andrews.
Après une “vaguelette” couillonavirale cet été (leur hiver) et un confinement dur (lire ici)… il n’y a plus aucun cas de couillonavirus depuis 2 mois (leur été, notre hiver).
Vous suivez ? 😉
Et pourtant, malgré ce fait, malgré cette excellente nouvelle, le premier ministre Daniel Andrews n’a pas pu s’empêcher de ramener sa fraise pour encore emmerder ses concitoyens, les terroriser, et leur rappeler que le monde d’après est différent.
Pour toujours.
“Just as Christmas was a little different this year, New Year’s Eve will be too,” the Victorian Government said.
“Take some hand sanitiser with you, don’t share drinks with others and [new year] kisses and hugs should [only] be shared with those in your immediate family.” (source ZeroHedge)
La ville de Melbourne, capitale de l’état, a même annulé… le feu d’artifices du nouvel-an.
Ce n’est ni anecdotique ni un cas isolé… Derrière, on retrouve une idée que les gouvernements tentent de faire avaler aux populations :
-même s’il n’y a plus de cas
-même si nous avons des vaccins
… il faudra continuer les masques, la distanciation sociale, les contrôles, les privations de liberté, les lois d’exception et tout le tralala.
L’état d’urgence sanitaire est destiné à perdurer… pour toujours.
Ce qui dans le Reich couillonaviral de 1 000 ans est un crime très grave.
Rappelons que comme dans de nombreux pays, les structures de santé sont toutes censées être “sous tension“, être sur le point de “s’effondrer“, d’être “submergées” par les malades infectés par le Con-vid… autant d’arguments pour justifier les privations de libertés, les lois d’exception et plus largement la covidémence.
Dans la vidéo, la femme commente :
This is a disgrace…it is so dead…all the people in our country desperately waiting for treatment, cancer treatment heart disease, honestly this is making me so angry,” she states as she films a row of empty waiting chairs.
Comme disait un Britannique fameux, G.Orwell : “Dans des temps de tromperie généralisée, le seul fait de dire la vérité est un acte révolutionnaire.”
Les flics ont invoqué “un soupçon de trouble à l’ordre public“… Si, si. Là où il y a de la gêne, il n’y a pas de plaisir.
Voici le communiqué de la police anglaise :
The woman has been bailed to return to police on 21 January, with conditions that she cannot enter any NHS premises or the grounds of any such premises, unless in the case of an emergency or to attend a pre-arranged NHS appointment,” said a statement by Gloucestershire Police.
La réalité est que tout est mensonges : les tests, les covimorts, les hopitaux, les vaccins…
Tout est bidonné, tordu, biaisé, scandaleusement grossi ; c’est le coeur même de la covidémence.
Alors que le pays est en régime de confinement, que Boris surfe entre Brexit et projections couillonavirales apocalyptiques, que les autorités n’hésitent pas à annoncer 56 000 nouveaux cas en 24 heures (lire ici)… les lits de soins intensifs en Angleterre sont moins occupés cette année que la moyenne des 3 années précédentes.
Et ce malgré la terrible pandémie couillonavirale…
Les mêmes données (officielles du NHS) sont scandaleusement tronquées par la presse. Le DailyMail titre qu’en décembre 2020 les lits de soins intensifs sont occupés à 76 % (vrai) et qu’en décembre 2019, ce pourcentage était de 69 % (vrai aussi)…
D’abord, on mesure le différentiel soit disant apocalyptique… 7 points de plus…
Mais surtout 2019 connut une épidemie de grippe faible du genou (lire mon article ici)… Dès lors la moyenne sur les 3 années précédentes est plus parlante et permet de prendre conscience de l’arnaque : en aucun cas le couillonavirus en 2020 n’a créé une situation “jamais vue” ou “historique” ou “exceptionnelle” !
Ceux qui ont eu le courage de se taper les 9386873 signes de mon article séminal (si, si) A qui profite le crime ? … ne seront pas surpris.
Les autres, prenez-en de la graine et surtout soyez effrayés.
Le plan se déroule comme prévu.
La Chine achève de nous détruire… sans tirer un seul coup de feu. En alimentant simplement notre propre covidémence dans une formidable prise de judo géopolitique. Ou si vous préférez : une maladie auto-immune.
Ce n’est pas formellement la Chine qui nous détruit, mais nous-mêmes (poussés, encouragés, conditionnés, trompés, achetés par la Chine).
En Chine, l’industrie et la consommation ont bien tourné la page du Covid-19. La deuxième puissance mondiale confirme sa sortie de crise et accélère sa montée en puissance. […] Mais l’épidémie n’empêche pas Pékin de creuser l’écart avec les autres puissances économiques, voire d’accélérer la progression de son influence sur le marché mondial. (source Le Figaro).
Vous devez vous souvenir que la covidémence est un mille-feuille d’intérêts et d’effets collatéraux.
Ainsi, je ne dis pas que la domination chinoise est l’objectif ultime de la covidémence (de la même manière que l’élimination de Trump primait sur le fait que des labos se fassent de l’argent avec les vaccins etc.).
Le mille-feuille est très épais.
Ma thèse est qu’au bout du bout, il y a l’épuisement des ressources et la principale d’entre-elles : l’énergie.
Et l’énergie principale, c’est-à-dire fossile.
Et donc la mort programmé, inévitable de nos systèmes basés sur la “croissance“…
La pseudo pandémie permet de couvrir “naturellement” ce phénomène que l’on voit déjà à l’oeuvre depuis des années : l’appauvrissement global.
Il se voit bien entendu d’abord là… où il est le plus facile à discerner : les pays dits “riches”, donc en gros l’Occident.
Et cela se voit même comme le nez au milieu de la figure avec l’anéantissement des classes dites “moyennes”.
Vous noterez que ce sont précisément ces pays qui sont frappés le plus durement par la covidémence.
Mais à l’intérieur de ces jeux de force, des sous-ensembles pourraient se retrouver malgré tout mieux lotis qu’avant : c’est clairement le cas de la Chine, qui est la grande gagnante de la covidémence, même dans le cadre d’un épuisement des ressources (l’Occident est mortellement blessé, donc consomme moins… ce qui permet de basculer une partie des “économies” ainsi réalisées… vers la Chine).
POST-SCRIPTUM
Heureux zasard… la presse mainstream, c’est-à-dire veule et achetée, commence à comprendre.
Mais comment c’est possible ? Nous pensions que c’était une théorie complotiste, voire un fantasme d’extrême-droite à tendance islamophobe très soutenue (pétrole = désert = chameaux = pas d’eau pas d’idées mais du pétrole = chèvre et rolls en or = arabes = islam, vous suivez ?) 😉
Le pic du pétrole conventionnel c’était 2005 les gars… Dissimulé -littéralement- ensuite par le “miracle” du schiste aux Etats-Unis… le dit-miracle étant déjà en train de disparaître, encore plus rapidement que les poils de Barack Hussein Obama blanchissent.
Et puis pouf… la Fée Clochette le couillonavirus apparaît.
Ca pour le coup ça relève du miracle (en terme de timing). 😉