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Asie Pays Pognon

Après le canard laqué, la Chine invente le canard laquais : vous

Dirigeant chinois détendu, heureux et décontracté du gland. A la fraîche. “On vous a baisés comme des canards laqués… ! Et laquais. Car vous êtes tous nos larbins maintenant”.

Ceux qui ont eu le courage de se taper les 9386873 signes de mon article séminal (si, si) A qui profite le crime ?  … ne seront pas surpris.

Les autres, prenez-en de la graine et surtout soyez effrayés.

Le plan se déroule comme prévu.

La Chine achève de nous détruire… sans tirer un seul coup de feu. En alimentant simplement notre propre covidémence dans une formidable prise de judo géopolitique. Ou si vous préférez : une maladie auto-immune.

Ce n’est pas formellement la Chine qui nous détruit, mais nous-mêmes (poussés, encouragés, conditionnés, trompés, achetés par la Chine).

En Chine, l’industrie et la consommation ont bien tourné la page du Covid-19. La deuxième puissance mondiale confirme sa sortie de crise et accélère sa montée en puissance. […] Mais l’épidémie n’empêche pas Pékin de creuser l’écart avec les autres puissances économiques, voire d’accélérer la progression de son influence sur le marché mondial. (source Le Figaro).

Vous devez vous souvenir que la covidémence est un mille-feuille d’intérêts et d’effets collatéraux.

Ainsi, je ne dis pas que la domination chinoise est l’objectif ultime de la covidémence (de la même manière que l’élimination de Trump primait sur le fait que des labos se fassent de l’argent avec les vaccins etc.).

Le mille-feuille est très épais.

Ma thèse est qu’au bout du bout, il y a l’épuisement des ressources et la principale d’entre-elles : l’énergie.

Et l’énergie principale, c’est-à-dire fossile.

Et donc la mort programmé, inévitable de nos systèmes basés sur la “croissance“…

La pseudo pandémie permet de couvrir “naturellement” ce phénomène que l’on voit déjà à l’oeuvre depuis des années : l’appauvrissement global.

Il se voit bien entendu d’abord là… où il est le plus facile à discerner : les pays dits “riches”, donc en gros l’Occident.

Et cela se voit même comme le nez au milieu de la figure avec l’anéantissement des classes dites “moyennes”.

Vous noterez que ce sont précisément ces pays qui sont frappés le plus durement par la covidémence.

Mais à l’intérieur de ces jeux de force, des sous-ensembles pourraient se retrouver malgré tout mieux lotis qu’avant : c’est clairement le cas de la Chine, qui est la grande gagnante de la covidémence, même dans le cadre d’un épuisement des ressources (l’Occident est mortellement blessé, donc consomme moins… ce qui permet de basculer une partie des “économies” ainsi réalisées… vers la Chine).

POST-SCRIPTUM

Heureux zasard… la presse mainstream, c’est-à-dire veule et achetée, commence à comprendre.

Bloomberg en est encore tout mouillé, après avoir publié un gros dossier intitulé :

PEAK OIL IS SUDDENLY UPON US…

Non ? Sans déconner ? Horrible. Terrifiant.

Mais comment c’est possible ? Nous pensions que c’était une théorie complotiste, voire un fantasme d’extrême-droite à tendance islamophobe très soutenue (pétrole = désert = chameaux = pas d’eau pas d’idées mais du pétrole = chèvre et rolls en or = arabes = islam, vous suivez ?) 😉

Le pic du pétrole conventionnel c’était 2005 les gars… Dissimulé -littéralement- ensuite par le “miracle” du schiste aux Etats-Unis… le dit-miracle étant déjà en train de disparaître, encore plus rapidement que les poils de Barack Hussein Obama blanchissent.

Et puis pouf… la Fée Clochette le couillonavirus apparaît.

Ca pour le coup ça relève du miracle (en terme de timing). 😉

La Fée Clochette est en grande forme : “Répétez après moi : le pic pétrolier est une théorie complotiste. Et il n’y a aucun lien avec le coronavirus”.

 

 

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Pognon

Le futur ? Vous allez vous appauvrir

Ca ne va pas être drôle. Forcément.

Je signale un article de Daniel Lacalle, traduit en français sur le site de Bruno Bertez.

C’est quoi le rapport avec la choucroute couillonavirale ? Il décrit ce que vous vivez… et allez vivre.

Généralement l’inflation est un domaine d’études réservé aux oints du seigneur comme dit Charles Gave, qui à dessein obscurcissent les choses.

Car cela touche le coeur du système : le pognon.

Lacalle survole avec brio et simplicité le sujet et rappelle des évidences :

-L’idée (promue par les banques centrales) qu’il n’y a pas d’inflation est fausse.

-Il y a une forte inflation dans les biens et services que les consommateurs demandent et utilisent réellement chaque jour

Les indices des prix à la consommation officiels sont artificiellement maintenus bas par le pétrole, le tourisme et la technologie, ce qui masque les hausses des couts des soins de santé, des loyers , du logement, de l’éducation, des assurances et des aliments frais.

Ces hausses sont nettement plus élevées que les hausses des salaires nominaux et celles que les indices officiel n’indiquent.

En outre, dans les pays où la taxation de l’énergie est agressive, l’impact négatif sur l’indice des prix du pétrole et du gaz ne se voit pas du tout dans les factures réelles d’électricité et de gaz des consommateurs.

Ces faits vous les vivez, vous les subissez. Dans votre vie quotidienne.

De très nombreux Occidentaux s’appauvrissent… Ils le constatent à chaque fin de mois.

Le prix des choses dont il est difficile (ou interdit) de se passer (logement, assurance, santé, taxes etc.)… augmente.

Vos revenus, statistiquement augmentent aussi, mais moins.

La covidémence a entraîné (prétexte) un tsunami de pognon (encore plus qu’avant). Et qui va continuer. Ajoutez la problématique énergétique… et le futur se dessine assez clairement :

-la hausse de l’inflation réelle va se poursuivre (et elle continuera d’être maquillée dans les chiffres officiels, un sport classique pratiqué par tous les gouvernements, avec ou sans virus).

-elle contribuera à l’accélération de l’appauvrissement.

Attention. Je ne dis pas que telle ou telle monnaie est cuite. Ou que l’or va reprendre la main, ou que telle ou telle “bulle” va éclater, etc. Ca c’est difficile à prédire.

Mais il y a en revanche une certitude : vous allez vous appauvrir.

Toutes choses égales par ailleurs.

Et il ne faudra pas confondre la cause et l’effet.

La terrible pandémie ne sera pas la cause… même si bien entendu tout sera fait pour vous en convaincre (tellement pratique… le virus… c’est la Nature ma bonne dame ! )…

La covidémence est un moyen pour maquiller, habiller, travestir littéralement, cette tendance lourde -énergétique : la fête est finie.

Finie la p’tite auto. Finies les vacances au Crotoy. Fini le tiercé.

(les fabuleux mots d’Audiard dans la bouche de Blier).

POST COITUM

Et pour achever de vous casser le moral, je vous conseille la lecture du dernier article de Ugo Bardi : The pandemic as the end of consumerism. Everything that’s happening is happening because it had to happen.

Là vous risquez de commander au Père Noël une corde, un flingue. Ou une bonne bouteille de rouge. C’est selon.

Moi j’ai opté pour la caisse de Château Haut-Brion 2005.

Ainsi qu’une quantité invraisemblable de drogues récréatives synthétiques, à côté desquelles la thérapie génique de Pfizer/Frankenstein fait figure de cachet d’aspirine bien pâle.

Chacun son truc.

Et ses standards. 😉

 

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Pognon Vaccinocircus

Union européenne : 2 milliards de doses, et moi et moi et moi

“700 millions de Chinois, et moi et moi et moi” … Le Grand Jacques ne croyait pas si bien dire…

Les clowns déments planqués à Bruxelles ont commandé/réservé 1,965 milliard de doses de vaccins.

Dans le détail :

405 millions CureVac
400 millions AstraZeneca
400 millions Johnson & Johnson
300 millions Sanofi-GSK
300 millions Pfizer-BioNTech
160 millions Moderna

«Nous sommes en train de constituer l’un des portefeuilles de vaccins contre le Covid-19 les plus complets au monde», a affirmé Ursula von der Leyen. (RT France)

Pour un portefeuille garni c’est un sacré portefeuille ! Plein de doses et plein de pognon. 😉

Les 27 états membres de l’UE comptent 447,7 millions d’habitants.

Ca nous fait donc du 4 doses pour chaque individu: nourrisson, enfant, adulte, vieillard.

On peut légitimement s’inquiéter : y’en aura assez pour les chats et les plantes vertes ?

Je pense à la scène dans Ne nous fâchons pas… Antoine réceptionne des flingues… et dit au ferrailleur :

Bon ben, dis donc, pendant que t’y es, rajoute moi donc 50 kilos de TNT et 2 ou 3 litres de nitro… Des fois qu’on vienne à manquer !

Audiard contre la covidémence.

Et pour sonoriser votre journée, je vous conseille le Rosbif attack., extrait du film. Anthologique. 😉