“700 millions de Chinois, et moi et moi et moi” … Le Grand Jacques ne croyait pas si bien dire…
Les clowns déments planqués à Bruxelles ont commandé/réservé 1,965 milliard de doses de vaccins.
Dans le détail :
405 millions CureVac
400 millions AstraZeneca
400 millions Johnson & Johnson
300 millions Sanofi-GSK
300 millions Pfizer-BioNTech
160 millions Moderna
«Nous sommes en train de constituer l’un des portefeuilles de vaccins contre le Covid-19 les plus complets au monde», a affirmé Ursula von der Leyen. (RT France)
Pour un portefeuille garni c’est un sacré portefeuille ! Plein de doses et plein de pognon. 😉
Les 27 états membres de l’UE comptent 447,7 millions d’habitants.
Ca nous fait donc du 4 doses pour chaque individu: nourrisson, enfant, adulte, vieillard.
On peut légitimement s’inquiéter : y’en aura assez pour les chats et les plantes vertes ?
Je pense à la scène dans Ne nous fâchons pas… Antoine réceptionne des flingues… et dit au ferrailleur :
Bon ben, dis donc, pendant que t’y es, rajoute moi donc 50 kilos de TNT et 2 ou 3 litres de nitro… Des fois qu’on vienne à manquer !
Est-ce le clap de fin dans cette invraisemblable affaire de corruption ?
L’OMS déconseille le remdesivir dans le traitement des malades du Covid-19 hospitalisés. Selon l’instance onusienne, « il n’y a actuellement pas de preuve » que le médicament antiviral « améliore la survie ni qu’il permette d’éviter d’être placé sous ventilation artificielle ». (Le Monde)
Oh, quel dommage…
Pas de bol. 😉
Vérandouille est demandé à l’accueil. Avec un change propre.
Alors, on s’arrête avec l’OMS ? Ou veut-on continuer l’hallucination et la corruption un peu plus longtemps encore en réclamant une énième étude “randomisée” aux experts qui vivent sur la planète Jupiton ?
Et en faisant comme çi cette molécule avait un quelconque intérêt thérapeuthique ?
Ce devait être LE médicament miracle contre le Covid-19. Malgré une controverse sur sa réelle efficacité, le Japon et les États-Unis avaient approuvé l’utilisation du coûteux remdesivir. Un traitement complet coûte en effet 2.080 euros.(source Business AM
Soyons clairs : nous le savions. Ca fait des mois que Didier Raoult le dit, le répète, en s’appuyant sur des études.
Le médicament de Gilead… c’est de la merde. Point barre. Et une merde très, très chère…
Oui, ceci est bien une merde. Un étron… Mais… mais fourré avec des DIAMANTS… En clair : c’est une merde très coûteuse…
Ca ne fonctionne pas sur le Covid (à la base, c’est une molécule développé contre Ebola).
Sauf que… il y a à peine plus d’un mois :
« Aujourd’hui, nous garantissons l’accès au Remdesivir pour le traitement de 500.000 patients qui en ont besoin », a annoncé jeudi la Commission européenne. Un accord avec le groupe pharmaceutique américain Gilead pour la fourniture de 500.000 doses de remdesivir, un antiviral autorisé dans l’Union européenne pour traiter les malades du coronavirus.(20 Minutes)
Les glands de Bruxelles toujours fourrés dans les mauvais coups… C’est normal : “C’est pas cher c’est l’état qui paye”… Comprendre : un gang de fonctionnaires hors sol qui jouent avec notre pognon… Et nos vies.
La question est donc :
-qui est responsable de cette corruption au sein de l’UE ? Qui a signé l’ordre d’achat à Gilead ?
-Gilead va t-il rendre l’argent ?
-Et en cas de refus, l’UE va t-elle attaquer en justice Gilead (pour tromperie, etc.) ?
On garde le meilleur pour la fin :
Le médicament antiviral remdesivir, utilisé pour les malades hospitalisés du Covid-19, a déjà rapporté à son fabricant Gilead Sciences près de 900 millions de dollars au troisième trimestre, a annoncé le laboratoire pharmaceutique américain mercredi dans une mise à jour de ses résultats financiers pour le troisième trimestre.(Business AM)
Voilà. Les choses sont désormais claires.
Et d’autant plus claires que tout le cirque démentiel au sujet de l’hydroxychloroquine et le Lancetgate, comme le souligne Raoult, n’est que “l’autre face” du scandale Remdesivir…
Pour promouvoir le second, il fallait tuer/neutraliser le premier…
Raoult en parle dans sa dernière vidéo (postée ce jour).
Sur l’année 2016, 405 médicaments avaient été signalés en rupture de stock en France. Ce chiffre a triplé en 2019 et va atteindre 2 400 en 2020, soit « six fois plus qu’il y a quatre ans ». C’est ce que révèle une étude de l’association UFC-Que choisir, qui s’appuie sur les chiffres de l’Agence nationale de sécurité du médicament (ANSM). (Le Point)
Quel rapport avec la choucroute couillonavirale ?
Une situation d’autant plus alarmante que ces pénuries concernent des médicaments dits d’intérêt thérapeutique majeur, “pour lesquels une interruption de traitement peut être susceptible de mettre en jeu le pronostic vital des patients”. (FranceInfo)
Le lien est clair : c’est tout le système qui est corrompu.
La guerre contre l’HCQ ou l’azithromycine par exemple fait partie de cette corruption.
Ces “vieilles” molécules ne rapportent plus assez de thune, alors on les oublie. On veut les oublier. Et donc on les fabrique de moins en moins…
En attendant leur fameux vaccin qui fait jouir les journalistes vous avez le temps de crever et pas seulement de la Covid . Des anticancéreux, des antiparkinsoniens, des antiépileptiques, des traitements de l’hypo/hypertension, des vaccins, des anesthésiants… Or on constate une augmentation des ruptures sur cette catégorie de médicaments. Trois Français sur quatre ont déjà été confrontés à ces pénuries .
Le problème est que les sanctions financières prévues contre les labos… sont ridicules en terme de montants… Donc absolument pas dissuasives.
seules deux sanctions ont été prononcées par l’ANSM pour rupture de stock contre des laboratoires en 2019.
Le couillonavirus a au moins un mérite (si, si ! en plus de celui d’accélérer la disparition des baby boomers)… il révèle l’os, il dévoile l’étendue de la corruption dans le système de santé français… pourriture qui s’est installée d’abord lentement, puis a progressé, partout.
Et de plus en plus vite.
En gros : on part du scandale du sang contaminé dans les années 80 (qui était très précis, très focalisé)… vers une corruption et une dégénérescence touchant de très nombreux rouages, par capillarité.