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Chiffres Résistance

Hospitalisations : Nice-Matin dénonce le bidonnage des chiffres officiels

“Comment ? On nous aurait menti ? Les chiffres officiels sont bidonnés ? Noooooooooooooon !”

Le Canard Enchaîné avait déjà soulevé le lièvre le 23 décembre (lire article) : les données officielles concernant les hospitalisations, les lits occupés en réanimation sont… fausses.

Nice-Matin à son tour dénonce cet état de fait cette fois en Alpes-Maritimes dans un article publié le 16 janvier.

Or la situation dans les Alpes-Maritimes, selon qu’elle s’appuie sur les données de Santé publique France, ou sur celles fournies au quotidien par les acteurs de terrain, prend des visages différents.

Nous avons fait cette découverte après avoir reçu des courriers de médecins hospitaliers s’étonnant des discordances entre les informations diffusées par Nice-Matin au sujet des hospitalisations pour Covid (issues de Santé publique France) et les observations de terrain.

Le quotidien régional n’est pas un repaire de dangereux complotistes d’extrême-droûate.

L’affaire est gravissime car ces données sont utilisées par le gouvernement pour justifier toute la covidémence (couvre-feu, confinement, fermeture des restaurants, bars, etc.) !

Si on ajoute le problème (toujours pas résolu) des tests PCR foireux (car pas normés, et beaucoup trop sensibles et qui ne produisent que des millions de cas positifs “asymptomatiques), et le problème des covidécès (systématiquement surestimés, les vieillards malades mourant avec le Covid et pas du Covid)… alors il n’y a plus aucun doute : le gouvernement ment, systématiquement et depuis le début de la terrible pandémie.

Ou plutôt les gouvernements mentent car ces problèmes sont peu ou prou identiques dans virtuellement tous les pays.

L’article est réservé aux abonnés, mais vous trouverez sa substance sur ce site.

C’est un point d’inflexion important, car à ma connaissance c’est la première fois en France qu’un média dit “mainstream” commence à remuer de la queue, à relayer la dissonance cognitive que nous sommes nombreux à ressentir et à simplement reconnaître que le discours officiel ne colle pas avec la réalité (du terrain).

En clair : ils font enfin leur travail de journalistes.

En rouge, les données officielles (nombre d’hospitalisations). En bleu, les chiffres des hôpitaux. On note au passage que le couvre-feu n’a strictement aucun effet…

Vous connaissez le mot :

On peut tromper une partie du peuple tout le temps et tout le peuple une partie du temps, mais on ne peut pas tromper tout le peuple tout le temps.

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Chiffres Résistance

Nombre de patients en réanimation : encore un mensonge des autorités

Les mensonges sont partout et affectent tous les indicateurs utilisés par les covidéments pour justifier leur dictature.

Ainsi, on nous bourre le mou matin, midi et soir au sujet des lits en réanimation occupés par les malades couillonavirés.

Avec les tests PCR foireux (épidémie de cas positifs, mais asymptomatiques), le nombre de covimorts (systématiquement surévalué)… le pourcentage d’occupation de ces fameux lits est l’indicateur “marteau” qui sert à justifier les confinements, et à nous terroriser.

Sauf que… même ici, le bidonnage est institutionnel, littéralement organisé, sous couvert de flou statistique, et autres “erreurs”.

Article du Canard Enchaîné du 23 décembre.

Voici le texte, car c’est une information essentielle qui démonte à coup de cric le mille-feuillle de mensonges du gouvernement… qui vont tous dans un seul sens, systématiquement :

-grossir la menace posée par le couillonavirus

-faire peur aux populations,

-imposer des restrictions absolument délirantes.

A lire et à faire tourner.

La pagaille des indicateurs gagne également les hôpitaux : alors que le nombre de patients en réanimation est surveillé comme le lait sur le feu, le chiffre communiqué chaque jour se révèle exact… à quelques dizaines ou centaines près !

 

La raison ? Les hostos n’arrivent pas toujours à renseigner les sorties en temps réel.

 

Du coup, les autorités sanitaires ont inventé le terme pittoresque de « lits fantômes » pour désigner les lits dont on ne sait pas s’ils sont toujours occupés par des patients Covid ou s’ils sont libres depuis des jours, voire des semaines.

 

Des fantômes très hospitaliers

Début décembre, l’agence régionale de santé (ARS) d’Ile-de-France classait « fantômes » tous les « patients restés plus de 40 jours consécutifs en soins critiques », car cette durée très longue lui apparaissait suspecte.

 

A cette aune-là, l’ARS recensait, le 7 décembre, pas moins de 105 lits fantômes, sur un total de 620 places réservées au Covid. Une paille !

 

Quelques jours plus tard, miracle ! le chiffre était divisé par deux, et passait à « 49 lits fantômes ». Une performance obtenue non par des contrôles sévères, mais grâce à une petite manipulation comptable : depuis le 11 décembre, la barre a été remontée de 40 à 50 jours…

 

Par pure curiosité, « Le Canard » a demandé à d’autres ARS si elles étaient confrontées, elles aussi, au problème des « patients Belphégor ».

 

Réponse décoiffante de l’agence d’Auvergne-Rhône-Alpes (la région la plus touchée par la seconde vague) : « Nous ne souhaitons pas donner suite à votre demande. »

Une surestimation de 17 % ! Rien que sur l’Ile de France…

Vous imaginez si on a la même manipulation au niveau national ?

POST-SCRIPTUM

La photo de l’article en entier est disponible ici (avec la loupe, possible de tout lire).
L’article traite également de l’arnaque des tests antigéniques, dits “rapides”, qui là encore fabriquent des faux positifs à la chaîne (l’un de ces tests, chinois, a même été retiré du marché tellement il était foireux).

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Résistance

Persécution du professeur Perronne : un syndicaca se mobilise enfin

Il n’est jamais trop tard.

Le Syndicat National des Médecins Hospitaliers FO s’est réveillé et a conclu que les persécutions subies par le professeur Perronne, anti-covidément bien connu et auteur du livre clairvoyant Y a-t-il une erreur qu’ils n’ont pas commise, dépassaient les bornes.

« La campagne dirigée contre notre collègue le Professeur Perronne constitue de ce point de vue une menace pour tous les médecins. La motion de la CME de l’AP-HP condamnant le Pr Perronne s’inscrit malheureusement dans cette campagne. Nous le déplorons. »

Le SNMH FO n’a pas vocation à se prononcer sur les débats scientifiques légitimes concernant les stratégies thérapeutiques. Le syndicat regroupe des médecins hospitaliers de toutes opinions sur la seule base de la défense de leurs intérêts matériels et moraux. C’est pourquoi il ne peut pas accepter qu’un collègue PU-PH ou PH soit attaqué parce que, publiquement, il n’adhère pas à la ligne officielle, au consensus. (blog du syndicat).

Et le syndicat de poser la question toute rhétorique :

Y aurait-il bientôt une médecine d’état, une vérité d’état ?

Bingo les gars.

Et pour finir :

Le SNMH FO s’adresse à l’ensemble des organisations syndicales de médecins hospitaliers pour envisager une démarche commune contre cette chasse aux sorcières.

On rappelle que la plupart des structures, syndicales, para-publiques, médiatiques… sont corrompues.

Le Conseil de l’ordre des médecins. Ou encore le SPILF (on en rigole encore), un ramassis de médecins envieux, jaloux de la brillance de Raoult, et qui ont osé l’attaquer.

Les exemples sont multiples, hélas.

Donc voir le SNMH FO commencer à ruer dans les brancards, c’est bon signe.

Encore bravo les gars et faites votre boulot. Ouvrez votre gueule, luttez, attaquez, car oui on a dépassé les bornes de l’entendement.

Lien : http://www.francesoir.fr/societe-sante/pr-perronne-recoit-le-soutien-du-syndicat-national-des-medecins-hospitaliers-fo