Qui peut désormais empêcher Trump de revenir à la Maison Blanche ?
Dieu ?
Non.
Trump a clairement passé un deal avec lui !
Neuf coups de feu, 1 mort, 2 blessés dont 1 grave… il est parvenu à en réchapper. Le tireur a été tué.
L’ancien président a donc été victime d’une tentative d’assassinat lors d’un meeting en plein air en Pennsylvanie, samedi soir.
Blessé à l’oreille et entouré par les membres du Service Secret… il a encore eu la force et le courage de se relever et de brandir le poing, à plusieurs reprises, en prononçant “‘fight” (?)… Rendant la foule de ses supporters encore plus hystérique.
Alors qui avait vu juste une fois de plus ? C’est bibi (aidé de mes colifichets magiques bien entendu) !
Même avec beaucoup de triche en novembre… ça va être dur, très dur… il faudrait un contre-miracle (crise cardiaque de Trump, turbo cancer de Trump, malaria aiguë de Trump, grippe aviaire de Trump j’en passe et des meilleures).
Un mot toutefois sur l’apprenti assassin : c’est manifestement du travail d’arabe. 😉
-sa dégaine (short miteux, cheveux longs, lunettes, mal rasé) le classe parmi les antifas crasseux, ayant peu d’expérience avec les armes à feu. On apprendra probablement que c’est un gauchiste fanatique (un problème supplémentaires pour les Démocrates… qui seront tenus pour responsables).
-son positionnement (il est monté sur le toit d’un petit bâtiment, avec un fusil, voilà pourquoi certains dans la foule l’ont vu !) démontre l’amateurisme, ou la folie. Ou les complicités intérieures…
Bref, ce n’est pas -encore- le véritable attentat (qui nécessiterait, comme je l’avais écrit, d’importantes quantités d’explosif, pour justement éviter un tel ratage).
Dans tous les cas, Trump tient là une parfaite excuse pour réduire la voilure d’ici novembre (ses meetings en plein air étaient une pure folie).
Et surtout l’administration traîtresse américaine va être enfin obligée de renforcer sa sécurité (une réclamation récurrente… systématiquement refusée on se demande bien pourquoi !).
God bless America… pardon ! God bless Trump !
Trump a passé un deal avec Dieu ! …… la preuve il en a écrit un bouquin !
Et puis de l’autre… il y a le terrain. Les observations. Les mains dans le cambouis. Les témoignages.
On ne peut pas dissocier les uns des autres en se pinçant le nez comme le font trop souvent les propagandistes (“on peut discuter de tout sauf des chiffres, prout“) ou les simples d’esprit (“t’es pas docteur, t’es pas qualifié, re-prout“).
Voilà pourquoi dès janvier 2020, il fallait écouter les uns et les autres.
Des médecins, des infirmières, des malades, des injectés-empoisonnés en France et dans les autres pays… en plus du travail effectué sur les données.
“On utilise des antibiotiques… c’est miraculeux !… Nous sommes une trentaine de médecins et nous traitons le Covid avec des antibiotiques… Le virus agit avec un co-facteur bactérien… On a plus de 3 000 patients… quasiment tous des succès”.
Rien que cette seule interview de ce seul médecin aurait dû stopper net le délire ambiant et envoyer Véran, Salomon en taule.
Et on peut se demander pourquoi son interview ne fut JAMAIS censurée sur Youtube (vérifiez)…
[note : un grand merci au lecteur qui a envoyé l’article paru le 30 JUIN 2020 du docteur Bellaïche dans La Tribune Juive… Son premier témoignage sur l’utilisation avec succès des antibios pour traiter les malades du Covid est donc ENCORE PLUS ANCIEN ! Il faut absolument le lire.]
Parce qu’il s’agissait d’un média israélien (Radio futée) ?
J’en suis persuadé… tant l’antisémitisme est l’angle mort des gauchistes-constructivistes qui sévirent pendant la Covidémence.
Le souk post 7 octobre 2023 le démontre AMPLEMENT.
Ils n’ont tout simplement pas osé.
A l’époque, l’hystérie était pourtant généralisée, massive.
Il suffisait d’écrire le nom de Raoult ou d’évoquer l’azithromycine (antibiotique) pour être intimidé, attaqué par le Conseil de l’Ordre, censuré, humilié, honni, exclu, pourchassé, banni des réseaux sociaux…
Bref.
Trois ans plus tard… il n’est jamais trop tard.
Voici donc le témoignage remarquable d’une infirmière californienne (qui fut licenciée fin 2021).
Elle est posée, éloquente, très précise ; un modèle !
Impossible de croire qu’elle soit embauchée comme actrice.
Faites l’effort (22 minutes).
Son point fort ? Quasiment tout y est !
Tout ce que Pierre Chaillot a pu vous dire (armé avec ses statistiques)… Tout ce que les vrais médecins, les lanceurs d’alerte français ont affirmé depuis 2020 (Perronne, Christine Cotton, etc.)… TOUT SE RECOUPE.
Voilà l’intérêt de ces témoignages.
Quand des gens différents voient les mêmes choses, arrivent aux mêmes conclusions à des milliers de km les uns des autres, le tout rehaussé par des données… cela PARLE.
Mieux, cela DEMONTRE.
Cela reconstitue le puzzle.
Cela dévoile la vérité.
Synthèse et traduction à la volée :
-elle souligne d’abord que toute la Californie était très “compliant” [comprendre, conforme, le petit doigt sur la couture de la covidémence. Normal puisque état gouverné par la gauche].
-“2020 : les hôpitaux n’étaient pas pleins contrairement à ce que les médias racontaient. Notre hôpital était vide. C’est là où j’ai compris qu’on nous mentait. J’ai des collègues partout en Californie et durant 2020 et l’hiver 2020/2021 aucun hôpital n’a été surchargé.”
-“les hôpitaux sont pleins en hiver… et vides en été. C’est normal. C’est le cycle. En hiver, les gens sont malades avec la grippe. Nous n’avons jamais été submergés.”
-“les protocoles Covid… faisaient du mal. Je n’ai pas réalisé immédiatement… Tenir à l’écart les familles, ça c’était un crime. Une violation de mon serment.”
-“Ensuite le Remdesivir… Le seul médicament autorisé -autorisation expérimentale- pour les patients Covid [en France, ce fut l’infâme Rivotril… Outre-Manche le Midazolam]. On apprend à l’école qu’un anti-viral donné plus de 24 à 48h après le début des symptômes n’est pas efficace et est même contreproductif. Avec le Covid, on attendait 10 ou 12 jours après les symptômes. Et je demandais : mais pourquoi on fait ça ? Aucune réponse des administrateurs. Je savais par contre que ça coûtait 3 000 dollars par dose.”
-“Très tôt il y a eu des témoignages sur l’efficacité des stéroïdes contre le Covid” (venant de soignants). [contre l’inflammation] Nous avons ignoré ces recommandations. Mais en plus, il était interdit de les utiliser. C’était criminel, face à une maladie avec forte inflammation.” [on retrouve le même thème universel : l’interdiction de tout traitement… HCQ, de l’invermectine, antibiotiques etc.]
-“Le restez chez vous a aggravé la situation. Si les cas n’étaient pas assez graves, on renvoyait les malades chez eux… et quand ils ne pouvaient plus respirer, ils revenaient…” [autre élément-clé de la covidémence début 2020… qui permit de tuer, littéralement, des gens, afin d’incarner la pseudo terrible pandémie].
-Début des injections des produits ARNm (fin février 2021). Début mars elle commence à constater… que l’hôpital se remplit (inhabituel puisque le pic hivernal est passé) et que les personnels manquent à l’appel. “Avril, juin, je travaillais non stop. Mon manager m’a dit fin juin que l’hôpital avait eu 3 fois plus d’admissions que d’habitude. J’ai vu de nombreux patients avec des caillots sanguins étranges, des attaques cardiaques.”
“En 10 ans, j’ai eu 2 Guillain-Barré. Là en quelque semaines, 4, avec apparition rapide des symptômes. Deux m’ont dit qu’ils avaient reçu le vaccin juste avant”.
-“J’ai voulu rapporter ces incidents (“adverse events“). Mon manager m’a dit : non. Car on ne peut pas prouver la causalité” [argument lancinant, répété ad nauseam par les faibles d’esprit… qui ne comprennent pas que le nombre parvient à circonscrire cette impossibilité].
-“Une collègue fut menacée d’être licenciée” [elle-même le fut en octobre 2021].
-Elle estime à 30 % la proportion de ses collègues qui voyaient les mêmes choses qu’elle… “Les autres ne voulaient pas faire de vagues. Peur de perdre leur carrière, leur source de revenus etc. Ils ont vendu leur âme” [on retrouve au fond les mêmes proportions que dans l’expérience de Milgram].
-“Dès le début de la vaccination, nous avions facilement la moitié des hospitalisés Covid… qui étaient vaccinés.”
-Le système informatique à l’hôpital [“Epic system“] : “pas programmé (et les personnels pas formés) pour indiquer le statut… vacciné” [pour les malades du Covid hospitalisés] !
C’était en standard “non vacciné“, voire “statut vaccinal inconnu” [on retrouve ici toute la thématique du “codage” des données au niveau hospitalier, leur manipulation, un élément-clé de la Covidémence, thématique explorée de fond en comble par notre serial commentateur, Jean-Luc Bozek avec Pierre Chaillot].
-“De nombreux collègues ne posaient même pas la question à leurs patients ! Ils supposaient que les malades n’étaient pas vaccinés puisque c’est ce qu’on leur répétait, y compris dans les médias.”
POST-SCRIPTUM
Au-delà des témoignages de praticiens, il y a également les témoignages… de malades. De victimes.
En France, citons les associations :
-Où est mon cycle : des milliers de femmes furent blessées (problèmes menstruels).
Tous ces témoignages sont importants… Leur masse donne du sens. Leur nombre révèle les faits.
Les crapules bloquent les données en amont, via les systèmes de pharmacovigilance (sous-déclaration patente et ensuite l’argument des ravis de la crèche : “impossible de prouver la causalité“)…
Tous les témoignages de victimes, en aval, viennent combler ces trous.
POST-SCRIPTUM BIS
Un autre médecin témoigne. Cette fois en Allemagne. Et ce qu’elle dit est bouleversant…
Elle reconnaît avoir détruit la vie de dizaines de personnes (“jeunes et en bonne santé“)… en injectant.
Il s’agit d’un verbatim de l’intervention de Vanessa Schmidt Kruger devant un comité d’enquête créé par Reiner Fuellmich (en Allemagne) et consacré au couillonavirus.
Pardon, à l’affreuse pandémie.
Elle affiche au compteur plus de 20 ans d’expérience en biologie cellulaire.
Son intervention –RETENEZ BIEN CETTE DATE– a eu lieu le 30 janvier 2021.
Contexte : nous sommes alors en pleine covidémence. L’hystérie “vaccins ARNm” débute.
Israël a commencé les injections de Pfizer… le 19 décembre 2020 (avec déjà la crapule Benjamin Netanyahu à la manoeuvre…).
Soit un mois et demi avant.
Voici des extraits qui démontrent… que DES LE DEBUT, des experts -des vrais- avaient repéré les principaux problèmes posés par les poisons ARNm.
LES LNP
nanoparticules lipidiques (LNP). Cette technologie n’est pas vraiment nouvelle: c’est une nouveauté en tant que vaccin, mais nous utilisons ces LNP dans la recherche depuis plus de 20 ans, et nous avons toujours été aux prises avec le problème de la toxicité des lipides et le fait de l’équilibrer avec leur efficacité.
le vaccin BioNTech qui est déjà utilisé actuellement n’est pas hautement purifié, il contient des contaminants de certains composants
PRODUCTION
Et puis il ne faut pas oublier que l’optimisation de la production est également importante, il faudrait sûrement au moins un an pour cela. Cela n’a pas du tout eu lieu. Le vaccin est déjà vendu et utilisé, mais l’optimisation de la production n’est pas encore achevée. Et il y a des lacunes considérables.
ARN MODIFIE, LOTS
Une question que je voudrais aborder concerne les déficiences liées à la substance active: j’entends par là l’ARN modifié qu’ils synthétisent. En deuxième lieu, il y a des lacunes dans la cohérence des différents lots de production: ils doivent toujours être cohérents pour que l’on obtienne toujours le même volume et la même qualité de vaccin.
METHODES DE FABRICATION
[question fondamentale… et connue répétons-le depuis le début ! A l’époque pourtant, ce fait ne parvenait pas à percoler. Cela met en lumière le problème sous-jacent des contaminations ADN qui a été “redécouvert” en quelque sorte en 2023, grâce à des analyses].
Le problème rencontré par BioNTech est que dans la phase clinique, le produit, c’est-à-dire l’ARN, a été fabriqué avec des techniques complètement différentes de la façon dont il est produit actuellement. Pendant la phase clinique, ils n’avaient besoin que de petits volumes de vaccin, ils ont pu utiliser des techniques très coûteuses qui ont livré des produits finaux hautement purifiés. Maintenant qu’ils sont entrés dans la production de masse, ce n’est plus possible, ils ont dû passer à des processus moins coûteux, par ex. en utilisant d’énormes quantités d’ADN […] Les bactéries multiplient l’ADN en quantités énormes, ce qui entraîne de nouveaux dangers ou risques, en particulier de contamination.
Des exigences ont également été formulées concernant le fait qu’ils n’ont pas réalisé d’étude de vérification du transport. Cela signifie qu’ils n’ont aucune idée de la viabilité du vaccin après le transport. Cela est actuellement en cours.
Et puis, ils n’ont pas de norme appropriée pour les différents lots.
Il a été constaté que l’intégrité de l’ARN varie toujours dans les lots qui ont été fabriqués.
LE MYTHE DU “RESTE DANS LE MUSCLE”
[là encore, cette conspiration semble avoir été démontée très récemment… alors que les experts ont toujours su]
les nanoparticules lipidiques pénètrent dans toutes les cellules, pas seulement les cellules musculaires – c’est une erreur de le croire.
INTEGRATION ADN / CONTAMINATION
Il est donc théoriquement possible que cet ADN linéarisé qui est là en tant que contaminant puisse s’intégrer dans le noyau de la cellule de l’hôte dans une cellule en division, l’ADN linéarisé est optimal pour l’intégration. L’ADN circulaire ne l’est pas. L’ADN des bactéries est circulaire et n’est pas aussi facile à intégrer. Cela arrive, mais pas si souvent. Mais dès que vous rencontrez une situation comme celle-ci, cela se produira plus souvent. Voilà le risque. Je ne voulais pas vraiment entrer dans ce qui peut arriver si tel est le cas: les gènes peuvent être activés et désactivés, régulés à la hausse et à la baisse, le cancer peut se développer – il y a beaucoup plus de possibilités. Il faut donc absolument réduire cette contamination.
LE PROBLEME DE LA DOSE
Donc, pour résumer, le vaccin a un effet positif, mais la critique est qu’il n’y a pas de corrélation positive entre les différentes doses de vaccin, c’est-à-dire que nous constatons le même effet à 10, 20 et 30 microgrammes. Malgré cela, ils veulent utiliser 30 microgrammes comme dose de vaccin. Bien que 30 microgrammes aient beaucoup plus d’effets secondaires que 10 microgrammes. Les avantages sont les mêmes, mais le risque est différent. Cela n’est pas scientifiquement justifié. […] Il n’y a tout simplement aucun avantage supplémentaire si j’augmente le volume d’ARN dans ces tests.
GENOTOXICITE
[ça c’était écrit dans les docs de Pfizer à la FDA en novembre 2020 ! … Mais là encore, ce simple fait, indiscutable, est passé totalement dans la trappe mémorielle et de la propagande !]
Aucune étude de génotoxicité n’a encore été réalisée. Ils disent qu’ils n’ont pas besoin de le faire car «aucun potentiel génotoxique n’est à prévoir». Mais on sait depuis 20 ans que les lipides cationiques sont hautement toxiques. Dans quel univers vivent-ils?!