Des composants fabriqués… attention… aux Etats-Unis et en Europe ! Non ? Si ! Et même après 2022 ! Horreur malheur ! Il y a pourtant un embargo contre la Russie ! 100 % ! 150 % même ! C’est pas juste. M’sieur, ils trichent ! Ouin ouin ! Super prout !
Ceci est un transistor poutinophile pesant 2 grammes, qui voyage clandestinement depuis l’usine au Texas, vers une usine en Russie, via Pékin, Pétaouchnok, Tombouctou, Singapour, Montcuq, le Caire et Eurodisney. Ah le salaud !
IL EST IMPOSSIBLE d’empêcher des composants électroniques et électriques… de passer d’un pays A vers un pays Z, via toutes les lettres de l’alphabet au milieu.
S’il s’agissait de la statue de la Liberté à New York ou du Sphinx en Egypte… bon… cela ne passerait pas inaperçu… Mais des puces ? Des transistors ? Quelques grammes ? Quelques millimètres ? Allô ? T‘as un cerveau et le shampoing qui va avec ?
Cela vous défrise ? Cela vous fait de la peine ? Cela heurte vos “feelings” ? Cessez d’applaudir le programme des mondialo-gogos et alors vous aurez progressé au niveau de la cohérence idéologique.
Oui la Chine (ou tout autre pays) CONTINUERA à fourguer à la Russie toute la camelote nécessaire pour vous péter la gueule.
C’est un brin violent, certes, mais cela s’appelle la géopolitique (et accessoirement l’appât du gain et… la guerre).
Il fallait y penser avant de suivre les Bruxellois et les néocons américains dans leurs délires mortifères.
Se battre, se faire la guerre c’est parfois respectable… mais être con et (faussement) pleurnichard, c’est toujours impardonnable.
Vous ne regarderez plus jamais votre lave-linge de la même façon…
Gauchiste américain qui tente de comprendre la relation causale entre nombre de policiers dans les rues et baisse de la criminalité. C’est pas gagné !
Vous avez certainement lu ou entendu que le “fasciste” Donald Trump avait envoyé l’armée dans les rues de Washington DC afin de lutter contre la criminalité.
En 2024, la capitale fédérale occupait la 4ème position (sur 200) pour le nombre d’homicides et la 13ème pour les cambriolages.
Une paille. Ou plutôt une poutre (dans les yeux).
Le 13 août, ni une ni deux, Trump en a eu marre de ce cloaque, de ce bordel infâme (maire Démocrate, bien entendu, pire encore une femme et issue de la “diversité” en bonus).
Il a donc envoyé les militaires de la garde nationale patrouiller dans les rues (source).
Il aura fallu 2 semaines à peine pour que la criminalité s’effondre. Surprise surprenante !
C’est intolérable. Il s’agit bel et bien de “fascisme”.
Des noirs-Américains pauvres (40 % de la population de la ville) qui étaient excédés par les violences et la délinquance hurlent maintenant sur X leur amour pour Trump et le félicitent pour sa politique musclée.
Quelle horreur ! Quel scandale ! Les inconscients ! Les sociaux-traîtres !
On vient donc de comprendre qu’en faisant patrouiller des paquets de muscles mesurant 2m10 et pesant 90 kilos, armés jusqu’aux dents… cela neutralisait les délinquants.
C’est fou, hein ?
Un peu comme redécouvrir que l’eau ça mouille.
Ou comme le président salvadorien Bukele qui, confronté à un taux d’homicides stratosphérique, a simplement décidé d’enfermer tous les criminels liés aux gangs (les dégénérés avec des tatouages sur le visage) dans des prisons de haute sécurité.
Bilan ? Le Salvador est désormais calme, sécurisé, la population est ravie. Et Bukele sera probablement réélu avec 90 % des suffrages durant les cinquante prochaines années. Au moins. 😉
Et c’est bien ce qui rend fous les gauchistes américains (et les autres) qui n’ont de cesse de dénoncer les “violences policières“, qui veulent réduire les budgets de la police, et qui font tout pour protéger les criminels (juges rouges) et augmenter leur nombre (invasion migratoire).
Une fois de plus, Trump prouve que sa politique fonctionne.
Et elle fonctionne car elle est ancrée dans le Réel. Alors que les gauchistes vivent dans des univers alternatifs absurdes.
Des univers dans lesquels l’honnête citoyen est un suspect, le criminel est une victime, la police ne sert à rien, un homme peut devenir une femme et vice-versa, un homme participe à des compétitions sportives féminines, etc.
On y revient toujours ; le point faible de la gauche c’est qu’il s’agit d’une maladie mentale.
Découverte scientifique majeure : il suffit d’un tank et de quelques soldats pour faire disparaître Youssouf, Djamel, Ibriss, Mohamed et toute la racaille qui foutaient la merde et terrorisaient les quartiers populaires. L’étude revue par les pairs sera bientôt publiée dans le journal The Lancet.
POST-SCRIPTUM
On doit reconnaître une fois de plus la vista politique du 47ème président américain.
Il vient d’actionner un moyen simple et pas cher pour remporter les mid-terms (novembre 2026).
-toutes les villes souffrant d’une forte criminalité sont en effet dirigées par des Démocrates (maire et échelon du gouverneur).
-Trump a le pouvoir de mobiliser la garde nationale. Il l’a fait à Los Angeles, Washington DC. Et parle maintenant de Baltimore.
-d’ici novembre 2026, il peut ainsi MULTIPLIER les démonstrations dans de nombreuses villes, moyennes ou grandes.
-ça ne coûte pas grand chose. C’est facile à organiser. C’est spectaculaire. Et surtout, la réussite est garantie.
-de nombreux habitants constateront immédiatement les effets positifs. De la même manière qu’ils verront immédiatement les délinquants revenir quand les soldats se retireront. Terrible effet de contraste “avant/après“.
-dans le même temps, cela occupera les médias NON STOP, comme une caisse de résonance.
-les états-majors locaux du parti Démocrate seront dépassés par les événements et l’agenda imposé par Trump (qui plus que jamais fixe le tempo).
-mais surtout ils s’enfermeront dans leur démence en CRITIQUANT ces opérations sécuritaires qui pourtant bénéficient au plus grand nombre, en particulier les plus modestes. Voilà le piège infernal.
-les gauchistes sont incapables de se dédire, de changer d’avis et de reconnaître que Trump a raison.
-les électeurs de gauche deviendront bien entendu fous (“faaaaâchisme !“), mais de toutes les façons ils sont déjà perdus. Donc aucune différence.
-en revanche, Trump peut se mettre facilement dans la poche des non affiliés, des centristes et des électeurs Démocrate “traditionnels” (on pense aux noirs pauvres et aux latinos, beaucoup plus nombreux).
Bref, c’est un énième coup de génie. Rien de moins.
C’est en lisant un excellent article sur ZeroHedge consacré à la farce du dossier russe et au coup d’état manqué contre Trump (2016) que j’ai pris conscience de la justesse de mon jugement.
En toute simplicité. 😉
Grâce à quelques chiffres donnés par l’auteur.
Rappelons les données de base. En novembre 2024, face à la dinde Kamala, Trump a remporté :
le collège électoral : 312 versus 226
le vote populaire : 77 302 580 contre 75 017 613
Double victoire. Indiscutable.
Pourtant depuis ce triomphe, je rappelle souvent que les 75 millions d’Américains qui ont voté pour Kamala (et il fallait vraiment le vouloir !) n’ont pas disparu.
Pire encore : nombre d’entre-eux se sont radicalisés.
Il est donc impossible de nier la guerre civile américaine.
Mais ce que je n’avais pas compris… c’est à quel point nous sommes passés près de la catastrophe !
L’auteur de l’article explique en effet :
Je tiens à souligner que même si Trump a remporté une victoire écrasante au Collège électoral, si seulement 125 000 électeurs (sur environ 16 millions de votes exprimés) dans le Michigan, le Wisconsin et la Pennsylvanie avaient changé de vote, Harris aurait remporté ces trois États et aurait atteint 270 votes électoraux.
125 000 sur 16 millions (le nombre total de votes exprimés dans ces 3 états) c’est une miette, vous en conviendrez…
125 000 personnes c’est la population de la ville de Limoges.
Vous commencez à comprendre pourquoi même si la victoire de Trump fut stupéfiante, nous dansons toujours au-dessus d’un gigantesque volcan. Et la satisfaction d’avoir évité la calamité Kamala Harris ne devrait pas nous aveugler.
L’Amérique peut rebasculer dans la dictature woke et gauchiste dans… 3 ans.
Imaginez, une équipe “Biden bis” revenant à la Maison Blanche en janvier 2029. Qui seraient-ils ? Que feraient-ils ?
Gorgés de ressentiment, excités par la haine…
Tout ce qu’a fait Trump depuis janvier 2025 serait méthodiquement défait. Et tout ce qu’il a supprimé serait fanatiquement refait.
Plus fort, plus gros, plus loin, plus extrême.
Nous ne sommes plus dans le principe de l’“alternance démocratique“… Un coup à gauche, un coup à droite, la balle au centre.
Mais bel et bien dans une lutte à mort entre deux visions du monde radicalement différentes.
Deux camps irréconciliables.
Cette problématique est pourtant ignorée. On continue de se focaliser sur Trump, perçu comme une aberration statistique. En clair, après lui, la situation redeviendrait “normale”. Rien n’est plus faux.
Répétez-le chaque matin devant votre glace si besoin est : 75 millions d’Américains ont voté il y a quelques mois à peine pour des gens, des idées, un système profondément malades, à leur image.
Ce fait, incontestable, provoque des sueurs froides.