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Tentative d’assassinat de Trump : l’état ne peut pas incriminer l’état

Silence, on tue. Du moins on essaye.

Qui se souvient de la tentative d’assassinat de Donald Trump le 13 juillet 2024, lors d’un discours en plein air, à Butler (Pennsylvanie) ?

Certains ont dit : fake.

Et pourtant : 8 coups de feu, 1 mort et 2 blessés graves  parmi la foule. Et un Trump miraculé en une fraction de seconde, touché par la grâce divine.

Le tireur, Thomas Matthew Crooks, un étudiant âgé de 20 ans, fut abattu d’une balle dans la tête par un contre-sniper du Secret Service.

L’enquête part immédiatement en sucette et des aberrations apparaissent : le type avait été repéré plus d’une heure avant, même des membres du public l’avaient vu en train déambuler sur le toit, le Secret Service n’a pas réagi, les flics locaux n’ont pas réagi, Crooks fit voler un drone de reconnaissance pendant 11 minutes alors même que le Secret Service avait désactivé sa protection anti-drone, etc.

L’affaire disparaît rapidement des médias. Aucune mise à jour. Aucune conférence de presse. Aucun rapport d’autopsie, aucune analyse toxicologique (le corps a été immédiatement incinéré). Aucun rapport balistique (des enquêteurs indépendants affirment qu’au moins 2 armes ont tiré).

Et Trump, de retour triomphalement à la Maison Blanche, semble toujours dans le noir le plus complet !

Même son 2ème fils, Eric, en présentant son livre Under Siege: My Family’s Fight to Save Our Nation début novembre, dénonce une conspiration. Il n’est “pas satisfait” par l’enquête fédérale. Il est “absolument furieux à ce sujet“.

Cela n’a aucun sens.

“Bonjour j’ai 20 ans, j’ai déjoué le Secret Service, les flics, le FBI et j’ai presque réussi à assassiner un ex futur président des Etats-Unis. En toute simplicité. Et vous êtes priés de me croire puisque je suis mort !”

Tucker Carlson a enquêté sur Thomas Crooks et met en lumière les mensonges répétés du FBI en s’appuyant sur des centaines de commentaires publiés par Crooks sur Youtube.

https://www.zerohedge.com/political/tucker-reveals-trump-attempted-assassin-thomas-crooks-social-media-history-fbi-coverup

2019 et 2020 : Crooks est un chaud partisan de Trump. Il écrit par exemple :

Ilhan Omar [député d’extrême-gauche d’origine somalienne] et d’autres sont des envahisseurs et mériteraient d’être tués, puis leurs corps renvoyés chez eux.

Ou encore

Si vous dites que Trump est un mauvais président, vous n’êtes pas patriote, car Trump est la définition même du patriotisme.

Il multiplie les commentaires violents.

« Je souhaite une mort rapide et douloureuse à tous ces immigrés déplorables et à ces congressistes anti-Trump qui ne méritent rien de ce que ce pays leur a offert. »

Ou encore :

« Tous ces démocrates qui détestent Trump méritent qu’on leur coupe la tête et qu’on la serve en pâture à la mer pour que le monde entier voie ce qui arrive quand on s’en prend à l’Amérique. »

Puis durant le Covid… il bascule de l’autre côté. Il dénonce les “stupidités” de Trump. Son “racisme“. En avril 2020, il devient pro confinement.

En mai 2020, il écrit :

Le seul moyen de combattre le gouvernement, c’est par des attaques terroristes : introduire une bombe dans un bâtiment stratégique et la faire exploser avant d’être vu, traquer les personnalités importantes (politiciens, chefs militaires, etc.) et tenter de les assassiner.

Ensuite, il bascule sur des messageries cryptées et utilise des VPN.

On résume : en Angleterre des mères de famille qui publient sur Facebook ou Twitter un commentaire un peu anti-immigration… voient les flics débarquer le lendemain… il est évident que ce jeune type qui publie sous son nom de multiples appels à la violence et même au meurtre pendant DEUX ANS fut REPERE par les services de sécurité et/ou des tierces parties (extrême-gauche, état profond).

Il suffisait ensuite de le “gérer” pour en faire un assassin sur pied. Ou alors le parfait patsy, un peu comme Lee Harvey Oswald.

Et les questions abondent : pourquoi le FBI (sous Biden) a menti en affirmant que l’assassin n’avait laissé aucune trace sur les réseaux sociaux ? Pourquoi le Secret Servi a autant failli ce jour là ? Pourquoi les flics locaux ont autant failli ?

Pourquoi même avec Trump au pouvoir, le FBI avec une nouvelle direction, continue de se taire, obstinément ?

Pourquoi depuis juillet 2024, malgré deux assignations le FBI n’a toujours pas répondu aux questions du Congrès ?

Pourquoi AUCUNE PREUVE MATERIELLE (empreintes, ADN, arme, rapport balistique, etc.) ne relie cette tentative d’assassinat à… Crooks ?

La thèse suivante s’impose parmi les conspis :

-l’état profond a tenté d’assassiner Trump en manipulant ce jeune homme.

-c’est une large conspiration incluant le FBI et surtout le Secret Service.

Mais alors pourquoi Trump se tait-il ?

Réponse : c’est précisément parce qu’il s’agit d’une extraordinaire conspiration que Trump garde le silence.

Exactement comme l’assassinat de JFK : il est impossible de révéler les faits au monde car cela fragiliserait la nation américaine.

La vérité est de facto INDICIBLE.

Dans le cas de JFK, il suffisait de se taire, sa pierre tombale scellant le scandale.

Mais avec Trump, on franchit un cap supplémentaire : la cible sait qui est responsable mais se retrouve dans l’impossibilité d’obtenir justice car cela reviendrait à détruire l’état américain… le même qu’il incarne en tant que président élu !

Imagine t-on Poutine ou Xi Jinping annoncer publiquement que leurs services de sécurité ont pu les trahir ?

Que leur état est profondément fracturé ?

Que des groupes au sein de l’état peuvent assassiner le dirigeant suprême, selon leur bon vouloir ?

Bien sûr que non.

Tout serait réglé en “interne”, loin des regards.

A un tel niveau, un linge aussi sale ne peut surtout pas être lavé en public.

POST SCRIPTUM

Quelques heures après la publication de l’enquête de Tucker Carlson, miracle ! le patron du FBI se réveille enfin et justifie l’action de son service via un message sur X.

Plus de 480 agents du FBI ont participé à l’enquête sur Thomas Crooks. Ils ont mené plus de 1 000 entretiens, traité plus de 2 000 signalements du public, analysé les données extraites de 13 appareils numériques saisis, examiné près de 500 000 fichiers numériques, collecté, traité et synchronisé des centaines d’heures d’enregistrements vidéo, analysé l’activité financière de 10 comptes différents et examiné les données associées à 25 comptes de réseaux sociaux ou de forums en ligne.[…]

L’enquête a révélé que Crooks avait des interactions limitées, tant en ligne qu’en personne, qu’il avait planifié et mené l’attaque seul et qu’il n’avait divulgué ni partagé son intention de commettre cet acte avec personne.

Toujours la même débilité profonde : Crooks a agi seul puisque on vous le dit, circulez y’a rien à voir.

Mille entretiens pour un pauvre mec de 20 ans avec des “interactions limitées” voilà un concept intéressant…

Chaque fois que Kash Patel ouvre la bouche ou prend la plume, il ne fait qu’aggraver la situation. C’est surréaliste.

Quelle erreur de casting (on peut mettre dans le même panier Bondi qui dirige le DOJ).

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6 janvier 2021 : un coup d’état… mais contre Trump

Comment personnifier la psychopathie permanente des Etats-Unis ? Le cher Alex dans le film Orange mécanique fait le boulot.

L’empire américain fascine par sa nature extrémiste, ultra-violente, psychotique ainsi que par son état de  pourrissement avancé.

Les conspis et comploplos les plus aiguisés avaient donc une nouvelle fois raison.

Rappel des faits.

6 janvier 2021. Des manifestants pro-Trump envahissent le Capitole à Washington DC.

Crime suprême contre la République. “Insurrection“. “Tentative de coup d’état” et même “assaut contre le Capitole !

Nous étions à deux doigts -à peine- de l’incendie du Reichstag ! 😉

Résultat : 1 600 patriotes américains seront pourchassés les années suivantes par l’état Biden (FBI, DOJ etc.), harcelés, emprisonnés, torturés pour certains (si, si)… Une épouvante.

En réalité, il y eut bien un coup d’état mais… contre Trump.

Explications.

Le 6 janvier 2021, à midi 45, les flics découvrent 2 bombes artisanales (pipebombs), pas de jaloux l’une près du siège du Democratic National Committee, l’autre chez les Républicains (au Republican National Committee).

C’est-à-dire juste avant l’entrée des “factieux” au Capitole (14h).

Parfait club sandwich avec au milieu l’ouverture de la session conjointe (Chambre + Sénat) destinée à certifier les résultats de l’élection présidentielle de novembre 2020… Heure de début ? 13h le même jour !

Les 2 engins ont été placés… la VEILLE au soir (le 5 janvier donc, vers 20h).

(faites le test autour de vous : personne ne se souvient de ces 2 bombes)

La découverte opportune des bombes et la manifestation qui dégénère (truffée de 250 agents provocateurs du FBI habillés en civil), voilà le prétexte miraculeux, la “crise” qui permit à Nancy Pelosi de suspendre les débats, de faire évacuer les lieux (et de reconvoquer une réunion le soir même en modifiant les règles).

On le voit, dès le début, cette “occasion qui fait le larron” apparaissait trop belle, trop parfaite.

Les complotistes ont toujours raison. Forcément.

Ces 2 évènements (bombes + manifestation que l’on fait dégénérer) ont été parfaitement coordonnés et ont impacté la psyché des députés et des sénateurs, y compris républicains (dont le premier d’entre-eux : le vice-président Mike Pence).

Ils ont pris peur.

Ils ont été physiquement impressionnés (crainte de l’anarchie et du terrorisme anti-américain à cause des bombes visant les 2 partis).

En conséquence, ils se sont couchés. Préservation du système.

Seules deux objections aux résultats (Arizona + Pennsylvanie) sont mises au vote dans la nuit qui suit (alors que d’autres “swing states” étaient fortement contestés, comme la Géorgie par exemple). Vote négatif.

Le 7 janvier au petit matin, l’élection de Biden est  certifiée avec 306 grands électeurs contre 232 pour Trump.

Fondu au noir. Générique de fin.

Vraiment ?

Car presque cinq ans après, crac, coup de théâtre !

On apprend que c’est une femme, Shauni Rae Kerkhoff, officier de la police du Capitole qui est suspectée d’avoir déposé les bombes (enquête ici) !

Pardon ?

La même Kerkhoff prit ensuite un malin plaisir à témoigner contre des manifestants (surprise). Avant de rejoindre… la CIA dans le milieu de l’année 2021 (encore une surprise surprenante) ! 😉

Non, vous ne rêvez pas. La totale.

Voici ce qu’écrit Thomas Massie, représentant républicain (intègre et, c’est à noter, opposé à Trump sur certains dossiers) :

Le FBI disposait dès le début d’une vidéo d’excellente qualité de la femme (masquée) plaçant les engins explosifs. Mais l’équipe en charge de cette partie de l’enquête fut rapidement démantelée. Subitement cela n’intéressait plus l’agence fédérale. Autre surprise.

Le poseur de bombes et l’enquête sabotée par le FBI furent opportunément effacés des médias pendant 2 ans.

Ensuite, le patron du FBI nia avoir en sa possession un quelconque enregistrement. Ensuite, le FBI fut obligé de rendre publique la vidéo… mais après avoir dégradé sa qualité.

Ce point est important : car sur la version originale, on voit le terroriste affecté d’une démarche particulière. La femme policière était une athlète à l’université (avant d’intégrer la police du Capitole). Elle fut opérée d’une fracture du tibia… la faisant légèrement claudiquer par la suite.

Et qui était l’un des dirigeants de la police du Capitole ? Nancy Pelosi en tant que présidente de la Chambre des représentants…

Et qui a refusé systématiquement l’envoi de la garde nationale PLUSIEURS JOURS AVANT la manif pour protéger l’enceinte du bâtiment ? Nancy Pelosi.

Bref, tout devient clair.

Le 6 janvier 2021 fut une opération false flag basée d’abord sur les 2 bombes (résultat garanti) plus la manif des “factieux” que l’on a fait dégénérer en “émeutes” (résultat probable mais non garanti)… le tout destiné à perturber/empêcher les débats et toute contestation des résultats de l’élection de novembre 2020, et à bloquer tout recours devant la Cour suprême.

Donc : un coup d’état.

Ou si vous préférez, le parachèvement du coup d’état qui débuta en réalité avant, bien avant novembre 2020 (covidémence, votes par la poste, émeutes BLM, faux impeachment contre Trump, faux dossier russe, campagne médiatique permanente, etc.).

On peut dater très précisément le début : le 9 novembre 2016, soit le lendemain de l’élection surprise de Trump !

Les élections de novembre 2020 furent ainsi volées.

Biden, caché dans sa cave à cause du grâce au “Covid”, et n’ayant jamais fait campagne durant cette période, ne fut jamais “élu”.

POST-SCRIPTUM

Le scandale est tellement massif, la conspiration si folle que l’administration Trump 2 est manifestement incapable de bouger.

Ces découvertes sont le fait de médias indépendants. Le FBI est toujours aux fraises (et totalement noyauté par les ennemis de Trump). Et Pam Bondi au DOJ (justice) est frigide, pardon congelée.

Le seul élément d’une forme de “passage à la caisse” (en plus de la grâce présidentielle accordée à tous les “insurgés“) ? Nancy Pelosi annonçant cette semaine son départ à la retraite (elle ne se représentera pas).

Coïncidence ?

Trump est victime de sa propre raison d’état si j’ose dire (car maintenant l’état c’est lui).

A l’instar de l’affaire Epstein, de la tentative d’assassinat contre lui (en juillet 2024), ou encore de l’assassinat de Charlie Kirk (sans parler bien sûr de l’assassinat des 2 frères Kennedy en 1963 et 1968)… il ne peut pas exposer l’étendue de la corruption du système américain car cela affaiblirait le pays (en interne et sur la scène internationale).

Je boucle ainsi avec le début de mon article : il est impossible de révéler… la nature violente, psychotique et vicieuse des Etats-Unis (et cela n’a pas commencé avec JFK en 1963… guerre du Vietnam, Pearl Harbor, bombardement atomique au Japon, création de la FED, guerre civile, extermination des Indiens, etc.).

Le Rêve américain doit se poursuivre.

Coûte que coûte.

Il n’y aura pas de grands procès. L’état ne peut pas affaiblir l’état.

Trump se vengera sans doute en éliminant certaines personnes (y compris physiquement, des “accidents” et autres “suicides“).

Dans ce cadre, on peut légitimement se poser la question de la durée de survie de Shauni Rae Kerkhoff, si son rôle est confirmé.

Mais Obama n’ira pas en prison (malgré son rôle évident de chef de bande). Ni Biden (il est déjà mort de toutes les façons), ni Pelosi etc.

Le système doit se survivre à lui-même.

The show must go on.

ADDENDUM (11/11/2025)

Un fait que je ne connaissais pas.

En plus des dizaines d’agents du FBI (en civil) présents dans la manif (un fait établi et reconnu par le directeur actuel du FBI)… il y avait AUSSI… des antifas !

Déguisés en MAGA (avec la casquette “Trump”).

https://x.com/MrAndyNgo/status/1976847166691066336

Au moins une (originaire de New York) a été formellement identifiée. La député Greene affirme qu’il y en avait d’autres.

Bref, une preuve supplémentaire d’une action concertée, s’appuyant sur plusieurs éléments avec pour objectif de faire dérailler la manifestation (provoquer des violences qui seront ensuite instrumentalisées et transformées en “émeute“, en “insurrection“).

Lire aussi : https://www.zerohedge.com/political/flood-stunning-new-evidence-j6-was-fedsurrection-cant-be-ignored

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Guerre civile américaine 2.0 : radicalisation

Dans le monde d’avant, un politicien américain de gauche bon teint c’était à peu près ça :

Joe Biden et Nancy Pelosi : 167 ans au total sur la balance !

Des caciques. La quintessence de l’apparatchik. Aucune idéologie à part faire tourner la boutique : la leur.

Des parasites, des voleurs, vicelards, roublards.

Biden vendait sa carte de visite au plus offrant comme un tapin (Ukraine, Chine, etc.). Pelosi faisait sa motte de beurre à Wall Street (sa spécialité ? Le délit d’initié).

Corrompus, nuisibles, méchants, obscènes mais gérables.

Puis, sous l’impulsion de Barack Hussein Obama, le parti Démocrate a commencé à se laisser déborder par son aile VRAIMENT gauchiste…

Avec ceci :

Alexandria Ocasio-Cortez et sa copine née à Mogadiscio Ilhan Omar (toutes les deux représentantes au Congrès US… la première pour New York, la seconde dans le Minnesota où vit une forte communauté… somalienne, forcément).

Hystériques, cinglées, haineuses : elles ont déjà tout des grandes ! 😉

L’évolution saute aux yeux : les vieux éléphants blancs s’effacent… les jeunes d’origine immigrée, les “minorités” comme on les appelle outre-Atlantique, s’affirment. Et bruyamment.

Et ces gens disposent de tout un éventail idéologique (anti Occident, socialiste, globalo-tiers-mondiste, woke).

Il y a encore quelques années, ils ne formaient qu’une “frange”, quelques hurluberlus.

Sauf que la gangrène a progressé, menant à la radicalisation du parti et de ses électeurs (alimentée aussi par la victoire de Trump il y a un an).

Je rappelle (mais tout le monde s’obstine à oublier) qu’il y a exactement 12 mois… 75 millions d’Américains ont voté pour la dinde Kamala Harris.

Si ce n’est pas de l’extrémisme, ça !

Et aujourd’hui, ce processus débouche –le plus naturellement du monde– sur l’élection de Zohran Mamdani à la mairie de New York, un musulman de 34 ans (!), né de parents indiens (!!) en Ouganda (!!!)… et qui est un communiste/tiers mondiste décomplexé.

Il y a une parfaite continuité, une montée en puissance évidente.

Ajoutons un élément qui échappe comme d’habitude aux crétins européens : Mamdani a été CONSIDERABLEMENT aidé par les super donateurs du parti Démocrate et leurs relais financiers (Soros, et autres milliardaires californiens dégénérés, etc.). La moitié des donations pour sa candidature venait de l’extérieur de l’état de New York, prouvant l’existence d’un mouvement national et d’une organisation.

Mamdani n’est donc pas un accident, mais bien l’aboutissement d’un processus.

New York est une grande ville. Et Allah est grand aussi. Mamdani dans son habit d’apparat avec ses coreligionnaires.
Mamdani dit qu’il n’aime pas les milliardaires… Mais il y a des exceptions. Par exemple le fils ultra-radical de Soros. Inch Allah ! Dieu reconnaîtra les siens !

Les Etats-Unis sont en réalité désunis. C’est la manifestation physique du déclin de l’empire de l’Ouest. Les divisions, les tensions internes augmentent, inexorablement et dangereusement.

Jusqu’aux fractures.

Les classiques commentaires mous de la presse française, font rire (exemple avec le FigaroMamdani triomphe à New York mais le parti recentre son message ailleurs” !)

Difficile d’atteindre un tel niveau de bêtise ou de veulerie.

Revenons au réel : les Etats-Unis ne peuvent pas poursuivre leur domination mondiale alors même qu’ils se fracturent intérieurement.

C’était la principale gageure pour Trump : négocier au mieux la fin de l’imperium, le repli sur soi (nécessaire historiquement) ainsi que la purge de l’état profond, comme on négocie un virage dangereux sur une route sinueuse. Une tâche immense. Et il échouera sans doute (sur ce front, le seul qui compte).

Les Républicains risquent de perdre les élections de mid-terms (dans un an) ce qui neutralisera la fin du mandat présidentiel. Pire : Trump sera immobilisé par des procédures d’impeachmentIls ne le rateront pas.

Vance jouissait jusqu’à aujourd’hui d’une bonne dynamique. Il pourrait faire la différence en 2028… s’il revient avec le credo “America First” et s’il s’y tient (cette fois).

Dans le cas contraire (bêtises ukrainiennes, délires israéliens et iraniens, imbécilité taïwanaise, farce vénézuélienne et plus largement obsession pathologique du “We come in peace” à coups de bombes), il sera balayé… Et le pays repassera aux mains du parti Démocrate, mais cette fois encore plus fanatisé, haineux et revanchard qu’en 2020.

Bref, les indices sont nombreux : le verdict de l’Histoire semble déjà rendu.

En termes géopolitiques, il suffit à Pékin et Moscou de jouer la montre. Car, concrètement, ils ont DEJA GAGNE.

Comme souvent, on informe les perdants en dernier.

Dans quelques années, les Etats-Unis ne représenteront plus une menace pour le monde… Leur passage en seconde division sera acté. Et ils sombreront dans des luttes intestines perpétuelles, de plus en plus violentes, chaotiques.

Donald Trump n’aura été ainsi qu’une sorte de parenthèse étrange dans un inéluctable processus historique de décomposition

Comme les derniers feux d’une formidable et lointaine étoile… mais qui -lorsqu’on l’observe- est en réalité déjà morte.

“What kind of American are you ?” (fulgurance extraite de film Civil War, sorti en 2024). La voilà la fracture -terrifiante- que personne en Occident ne veut voir.