
L’extraordinaire victoire électorale de Trump a enragé ses opposants.
Radicalisation évidente qui contamine même les Européens, pourtant d’habitude mous voire ectoplasmiques.
La réalité de la guerre civile américaine ne peut plus être niée.
Certes, Trump a écrasé l’état profond en novembre… Mais, Kamala Harris a malgré tout recueilli… 75 millions de votes. Même avec un peu de triche ici ou là (les Démocrates ne peuvent s’en empêcher) cela demeure un bloc MASSIF.
Et pour voter pour une telle dinde (incompétente et idiote)… il fallait vraiment une grande motivation… en réalité une haine incandescente pour Trump (“tout sauf lui“).
Cette radicalisation ne s’est pas manifestée subitement au lendemain du 5 novembre 2024.
Elle a débuté en réalité dès le premier mandat de Trump (sa victoire surprise en 2016). D’abord par le haut, avec les élites qui ont tout essayé -littéralement – pour éliminer politiquement Orange Man Bad.
Très vite, le poison commença à agir et à se répandre “en bas” aussi.
Avance rapide 2025. On se retrouve aujourd’hui avec des illuminés qui s’attaquent… à des voitures (Tesla)… et qui appellent ouvertement au meurtre de Trump et de ses supporters. Le plus naturellement du monde, si l’on ose dire.
Toutes les barrières morales ont sauté.
La haine de Trump et de ses électeurs emporte tout, tel un tsunami.
Nous sommes passés d’une pathologie mentale (cheveux bleus, transgenrisme, transitionnisme, écologisme, xénophilie fanatique, obsession pour la sexualité des enfants, etc.)… à une rage incendiaire ; un rejet en bloc, viscéral, total.
Quid du futur ? Je vous livre mon intuition (et vous connaissez bibi, je vise souvent juste).
Des émeutes éclateront avant les mid-terms (élections législatives de “mi-mandat”, en novembre 2026).
Le format ? Celui de Black Live Matter, opération téléguidée par l’état profond en 2020 et qui rentrait dans le cadre du coup d’état contre Trump 1 (avec bien entendu le “Covid”, les élections bidonnées grâce aux millions de votes par correspondance, etc.).
Des manifestations d’abord “pacifiques” qui deviendront rapidement violentes.
Puis… surgira le “moment Maïdan” (du nom de l’opération menée à Kiev début 2014, avec le soutien des Anglo-Saxons, pour renverser le pouvoir pro-russe).
Le principe ?
Des individus cachés tirent sur une foule de manifestants.
On ne les voit pas, on ne sait pas qui ils sont.
Confusion. Le sang coule. Des femmes et des enfants tombent sous les balles.
Images diffusées en temps réel sur toutes les chaînes de télévision. Et sur TikTok en boucle.
Rage des survivants. Outrage des spectateurs.
Des trumpistes voire même des forces de l’ordre (flics, garde nationale, agents du FBI ou du Secret Service en civil) seront inévitablement accusés.
A côté, la pseudo émeute du “6 janvier” (manif au Capitole, pathétique traquenard tendu aux trumpistes) paraîtra comme une aimable réunion Tupperware se déroulant dans un Ephad un dimanche après-midi (après l’émission de Jacques Martin… les jeunes ne peuvent pas comprendre).
Trump réagira forcément et fortement… répression… provoquant encore plus de blessés (voire de morts, bavures, etc.) et encore plus de colère haineuse.
Avec un peu de chance, de véritables patriotes, excédés, eux aussi commenceront à manifester, à organiser des ratonnades contre les gauchistes (“antifas”), voire tireront carrément dans le tas.
Il y aura immanquablement l’image des asiatiques… ouvrant le feu sur des noirs pour protéger leurs maisons ou business.
Cette image -indépassable- alimentera la division raciale (les connoisseurs auront bien entendu reconnu les émeutes de 1992 à Los Angeles avec les fameux “Coréens sur les toits”).
Le principe est de créer un tsunami de colère, d’émotions chez les “centristes”, ceux qui ne votent pas, les “indécis”, les femmes, les autorités religieuses, etc. Et monter toutes les communautés les unes contre les autres (pas difficile chez l’Oncle Sam).
Et ensuite, les élections suivront.
Si l’opération est bien menée… alors les Démocrates pourraient remporter une large victoire et devenir majoritaires au Congrès (voire au Sénat) par réaction (“contre les violences de l’état fasciste de Trump“).
Ce coup d’état mettrait un terme à la présidence impériale de Trump. Et débouchera ensuite sur son impeachment…
Bref, si on exclut d’autres scénarios (du type “pandémie” comme le “Covid”, guerre chaude contre l’Iran par exemple, assassinat de Trump)… le Maïdan 2.0 est le seul moyen pour l’état profond de reprendre la main.
Voilà pourquoi, sa probabilité est très élevée (quasiment 100 %, en revanche sa réussite n’est pas garantie).
Ce plan est d’autant plus facile à mettre en oeuvre que… la rage est DEJA LA.
Partagée par des millions d’Américains.
Il suffit d’une allumette.
Et d’un ordre venu d'”en haut”.

