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Pays Saloperie et sida mental

Confinement : l’Italie replonge

Nouveau gouverne-ment italien, nouveau confine-ment ! On dirait un slogan publicitaire.

La crapule Mario Draghi, ex-Goldman Sachs Italie, ex-patron de la BCE menteur, tricheur et violeur de traités, et enfin renconverti en pompom girl bruxelloise, est bien décidé à bétonner son pouvoir via la terreur.

Enième hasard…

Alors donc, c’est la guerre chez nos voisins mangeurs de ministrone ?

Le gouvernement italien a annoncé ce vendredi la fermeture à partir de lundi des écoles, bars et restaurants dans la majeure partie du pays, afin d’endiguer une nouvelle flambée épidémique qui menace de saturer les hôpitaux.

L’Italie, qui a passé cette semaine la barre des 100.000 morts dus à la pandémie de Covid-19, enregistre une forte hausse des contaminations et des décès, due en grande partie au variant britannique selon les médecins. Jeudi, les autorités ont fait état de 26.000 nouveaux cas et 373 morts en vingt-quatre heures. (source 20 Minutes)

Oula up barbatruc. Sortons le graphique (source base de données) : les covimorts par jour, moyenne mobile 7 jours, du 01/03/2020 au 12/03/2021.

Les données ne laissent aucune place au doute.

Les Italiens sont bien en guerre.

Contre eux-mêmes… 😉

Mario n’hésite pas à faire son Castex, avec le service après-vente :

« J’ai conscience que ces mesures auront des conséquences sur l’éducation des enfants, sur l’économie et notre état psychologique à tous », a reconnu Mario Dragh (source Ouest France)

Vraiment ? Trop sympa Mario. Si florentin… Tout dans l’empathie…

POST-SCRIPTUM

Françaises, Français… ne soyez pas jaloux. Les rivalités footbalistiques c’est pas bien… Vous aurez droit vous aussi à votre reconfinement printanier

Car vous vous souvenez, n’est-ce pas ?

Il faut penser printemps.

La vache Fleurette pense printemps. Sa cloche est toute excitée.
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Pays Saloperie et sida mental

Angleterre : les 7 hôpitaux Covid qui ont accueilli 249 patients… ferment

“Je m’appelle Matt Hancock. Je suis con comme une bite. J’ai détruit l’Angleterre. Je suis con-tent”

Le NHS, le système hospitalier anglais, devait s’effondrer sous le poids du couillonavirus.

Et ce dernier devait tuer un demi million d’Anglais (lire ici).

Ces deux prévisions, les 2 faces de Janus, étaient en réalité totalement bidonnées.

Fin mars 2020, le gouvernement annonce en urgence la construction de 7 “hôpitaux Nightingale” destinés à recevoir les gazillons de malades, copiant ainsi -déjà- le fameux modèle chinois (d’autres pays ont également joué la carte des “hôpitaux de campagne”).

Celui de Londres comptait pas moins de 4 000 lits !

Il ouvrit le 3 avril. Et ferma ses portes… le 15 mai (et entre temps, il fut totalement désert). 😉

Un autre ferma le 5 mai, un autre le 5 juin.

Sur les 7 hôpitaux, un seul demeure ouvert à ce jour et sert… de centre de vaccination (source DailyMail).

En réalité, aucun ne traita des malades du Covid…

Le chiffre officiel s’élève à… 249 patients admis au total durant toute l’année 2020 !!!!! Pour sept hôpitaux et pour une population de 56 millions…

Cette plaisanterie d’idéologue déjanté a coûté 500 millions de GBP.

Un demi milliard d’euros

C’est pas cher, c’est l’état qui paye et ce sont les copains au milieu qui croquent, comme chez nous.

De plus l’idéologie covidémentielle chinoise n’a pas de prix.

Et Matt Hancock, le ministre de la santé totalement covidément (à côté Oliver Véran est un amateur, si, si) ose affirmer, fier de lui :

The Nightingale hospitals played a critical role.

Ah oui ? Quel rôle critique ? Celui de désigner leur instigateur comme un débile profond ? Ou comme quelqu’un de profondément corrompu ?

Mission accomplie !

Voilà l’essence même de la covidémence.

Les Anglais y apportent une touche particulière : leur vice coutumier.

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Pays Saloperie et sida mental Vaccinocircus

Israël : certificat vaccinal pour assister à un concert

“Dis maman, je peux aller au pestacle ? Bien sûr mon chéri. Tu appartiens à la race pure, car tu es couillonavacciné, donc tu as le droit. Amuse-toi bien”.

Toutes les étapes funestes prévues… se mettent en place, avec une régularité que rien ne semble pouvoir arrêter.

Israël fait figure de pays-laboratoire avec sa campagne de vaccination “blitzkrieg“, son étoile jaune 2.0 et ses politiques coercitives délirantes (lire ici et ).

Le gouvernement a annoncé la réouverture des lieux culturels… aux vaccinés.

La municipalité de Tel-Aviv s’est précipitée et a organisé 4 concerts réservés aux individus de race pure, pardon, suis-je bête, mes doigts ont glissé sur le clavier… réservés aux personnes vaccinées.

Vous avez corrigé l’erreur de vous-même… Bien entendu.

Pour pouvoir entrer dans le stade, les spectateurs ont dû présenter un certificat du ministère israélien de la Santé prouvant qu’ils avaient reçu les deux doses du vaccin Pfizer. (source Ouest France)

Vous remarquerez qu’on parle désormais de cette saloperie en France : l’idée d’avoir un code QR, un passeport vaccinal pour aller dans un musée, un spectacle… voire même un restaurant.

La technique de la grenouille ou du saucisson… est ancienne mais elle fonctionne. Reformulons : la technique des petits pas.

D’abord on lance une “idée “. Une idée folle bien entendu. Pas de ça chez nous.

Puis on lance un “débat “. Puis un “projet “. Puis un “test “, une “expérimentation“… puis on l’impose d’abord sur une petite échelle… Et puis, le test à petite échelle… devient national.

Au bout du processus : le con-sentement. Le cheptel qui broute et qui attend l’émission de Cyril Hanouna à la télévision.

Rincez, répétez.

L’homme s’habitue à tout, même à l’intolérable…

Ce qui se passe en Isarël en ce moment même l’illustre et annonce le futur dans les autres pays…

Un futur très sombre.

POST-SCRIPTUM

Je parlais de QR code. Titre ce jour dans le Figaro :

Les QR codes devraient bientôt être testés à l’entrée des restaurants routiers

L’expérimentation de ce dispositif, censé permettre d’accentuer la lutte contre la transmission du Covid, devrait avoir lieu dans les prochains jours.

C’est caricatural… Un petit test de rien du tout, en plus dans des endroits improbables… une “expérimentation“…