La covidémence avance… sans masque.
Prenons l’exemple des vaccins.
Pourquoi les rendre “obligatoires” ? Le cheptel se révolterait. Atteinte intolérable à la liberté individuelle. Ce n’est pas assez 2.0. Ce n’est pas assez start-up nation.
L’adolescent perturbé de l’Elsée l’a dit mardi soir à la télévision. Pas d’obligation…
Mais alors comment faire pour baiser le cheptel ? Deux leviers.
PAS OBLIGATOIRE MAIS… INDISPENSABLE
Un certificat de vaccination sera exigé… pour de nombreuses démarches de la vie courante.
PRIVATISATION
Ici, le but du jeu est de filer le bâton merdeux à une société privée.
Ainsi ce n’est pas l’Etat qui exigera le vaccin… Mais une société. C’est plus doux. Plus mou. Exemple une compagnie aérienne.
Eh oui, c’est très craintif une compagnie aérienne. Comme un petit animal perdu. Tu veux voyager ? Pas de problème : mais vaccin d’abord.
Pourquoi ? Ah c’est dans le réglement, c’est pour protéger les autres passagers, blablabla.
MISE EN OEUVRE
Illustration concrète de ce sida mental avec un pisse-copie qui signe l’édito des Echos, révélant l’ordre de marche, en bon petit soldat.
Qui est ce mec ?
Pas grand chose. Il n’a pas une position élevée dans la hiérarchie de la saloperie. Il est directeur de l’information de Radio classique, radio assez confidentielle pour les vieux ayant voté Macron, ceux qu’on appelle donc des “vieux cons“.
C’est un prolo du système, un soumis, un dhimmi pour les musulmans, un collabo pour les historiens.
Il est une catégorie kantienne à part entière : l’idiot utile zélé.
Regardez-le comme il frétille de la queue avec son idée à la con. Il jouit littéralement. Il se sent intelligent, grandi.
Il a trouvé le mécanisme pour baiser le populo. Il est heureux, satisfait. Repu.
C’est terrifiant.
Il n’y a pas d’autre mot.
Après la Libération, l’Epuration devra suivre.
Et là, il sera vraiment question de santé publique.