Non seulement les tests PCR sont trop sensibles (lire ici) et produisent donc des dizaines de milliers de faux-positifs (les fameux “cas asymptomatiques“, des gens pas malades, pas contagieux, donc en bon français : une arnaque) mais en plus ils réagissent à des coronavirus QUI NE SONT PAS LE COVID-19 !
C’est ce qu’affirme cette étude passionnante publiée le 20/09 :
L’équipe affirme que la séquence génétique utilisée par les tests PCR comme signature dans le cas du Covid est trop générique.
Et elle met en avant un autre gène, le ORF-8, qui lui n’aurait pas de réactivité croisée avec d’autres coronavirus, et serait donc plus pertinent et efficace comme base pour les tests PCR…
L’équipe affirme donc que la méthode de test préconisée par l’OMS n’est pas assez spécifique et qu’elle :
would detect the other types of coronaviruses.
In this regard, the false-positive test results may extend for COVID-19, and many patients with mild symptoms may be infected by the other types of coronavirus.
Le petit Olivier est attendu à l’accueil. Avec deux changes propres cette fois.
Pendant que le Covid amuse la galerie… Des femmes crèvent.
Et d’autres, plus nombreuses encore, vont crever.
Jeunes.
Pas à 85 ans, pas à 90 ans comme les couillonavirées. Non. A 40, 50 ou 60 ans.
De quoi ?
Du bon vieux… cancer du sein… Une “pandémie” bien réelle, elle…
Qui n’a pas un cas dans sa famille ? Parmi ses amis ? Hum ?
Cette saloperie est partout, dans toutes les classes sociales, dans toutes les ethnies, des mégalopoles en passant par les grandes villes jusqu’aux bleds à la con, des pays soit disant “développés” aux shitholes trumpesques, sans oublier ceux “en voie de développement“.
En clair : la planète entière.
Et la nouveauté façon cadeau de ce 21ème siècle c’est qu’il s’attaque à des femmes de plus en plus jeunes…
Bref.
Une étude menée en Angleterre montre que la plaisanterie couillonavirale a provoqué un gigantesque embouteillage. A ce jour, il y a une liste d’attente… puisque le système hospitalier a été mobilisé, accaparé pour rien, le Covid….
Avec de tels totaux, le calcul statistique est très simple à faire.
Près de 9 000 femmes anglaises atteintes d’un cancer du sein ne le savent toujours pas… Et perdront des mois précieux, avant le diagnostic, signifiant que la maladie prendra l’avantage (celui du temps), et qu’elles en mourront.
Tout simplement. Tout covidement pour parler “monde nouveau“.
Prenez le cas anglais, factorisez-le par tous les pays qui pratiquent la covidémence, et alors -espérons-le- vos cheveux se dresseront sur votre tête.
Pas comme elle. Qui les as déjà perdus… Avant de se perdre elle-même pour de bon et… de manière définitive.
“Merci le couillonavirus ! Grâce à toi je vais crever plus vite. Encore plus sûrement qu’avec une bonne vieille chimio des familles”
Dernier point pour les débiles légers et les covidéments : le cancer du sein a tué 627 000 femmes dans le monde en 2018 (source OMS).
Ca pique.
On attend désormais les chiffres concernant la France, qui seront certainement donnés par le Petit Olivier, neurologue raté et neurasthénique.
Combien de Françaises vont passer à la casserole à cause de la covidémence et des décisions et actions directes du ministre et de ses complices ?
Lorsque la justice passera, ces Françaises assassinées viendront hanter toutes ces ordures.
“Qui suis-je ?” Réponse A : J-P Foucault. Réponse B : Le virus Covid-19. Réponse C : Kurt Waldheim Secrétaire général de l’ONU (ah non zut il est déjà mort)
La grande agence de presse Reuters tient son propre compteur de covidécès.
Et aujourd’hui est un grand jour : il a atteint le million !
“Le million ! Le million ! ”
Bravo !
Ni une ni deux, article larmoyant et effrayant balancé en anglais sur tous les téléscripteurs du monde.
a bleak milestone in a pandemic that has devastated the global economy, overloaded health systems and changed the way people live. (source)
Ouais, c’est hyper “bleak” et c’est un vachement important”milestone“…
Cette expression culcul la praline a en fait été prononcée par le Secrétaire général de l’ONU, le gland Antonio Guterres, socialiste portugais (pléonasme velu) qui s’est trouvé une belle planque bien payée.
Rappelons que 57 millions de personnes meurent chaque année dans le monde. Grosso modo.
Soit, 4,75 millions par mois.
Et vous nous cassez les grelots pour 1 million en…. 9 mois ? La terrible pandémie ?
Et le télégraphiste mondialiste d’ajouter en mouillant son slip de soie sauvage (avec ses larmes, pas son urine, il n’a que 71 ans).
“It’s a mind-numbing figure. Yet we must never lose sight of each and every individual life. They were fathers and mothers, wives and husbands, brothers and sisters, friends and colleagues.”
Terrible !
Tous ces pères, mères, femmes, maris, frères et soeurs, amis et collègues…. tous morts ! Ils sont tous morts. Toute la planète… tous…. morts.
L’univers est mort. Et même le chien Lassie. Sans oublier, Kurt Waldheim, gentil nazi Secrétaire général de cette formidable institution qu’est l’ONU.
Tous morts du Covid.
Enfin plutôt tous morts âgés de 80 ans et plus, et bourrés de pathologies médiévales (maladies cardiaques, diabète, hypertension, obésité, etc.)….
Bref, tirer sur l’ambulance ONU en 2020, je sais c’est facile, ce n’est pas sport. Donc j’arrête. 😉
Je réitère toutefois le message essentiel : les semaines, les mois passent et la covidémence ne faiblit pas. Au contraire.
Et ça, c’est inquiétant…
Qu’un politicien comme Antonio Guterre, profitant de sa position, puisse déclamer un tel tsunami de conneries fin septembre 2020… signe l’acte commandité.
Au sens littéral.
C’est à dire acheté, commandé, livré, facturé, le tampon faisant foi.
Il prend combien l’Antonio, d’après-vous ?
Ou alors, il est doublement crétin et il le fait… gratuitement ?
