La dernière nouvelle stupéfiante nous vient du Maine (Etats-Unis).
Madame la gouverneur, une démocrate cela va de soi, vient de déclarer en parfaite covidémente :
“front-of-house staff in restaurants who choose to wear face shields must now wear them upside down so that they are attached at the collar instead of the forehead, so that their breath is directed up, not down”
Ce qui est frappant c’est la vitesse, la conviction avec laquelle toutes ces grandes sociétés embrassent, littéralement, toutes les conneries pourvu qu’elles soient à la mode, au nom du virtue signaling.
Et en y ajoutant, souvent, un fumet orwélien assez prononcé.
“ceci n’est pas un masque” = “la guerre c’est la paix”.
Si c’est bien un masque. Le mot approprié est “masque”.
Tu peux spiner le truc autant que tu veux… c’est un masque.
Après, quant à son usage ou sa signification, là il y a matière à discuter.
On notera au passage, une véritable obsession, le conditionnement à l’intérieur du conditionnement : deux plans montrent un masque coloré façon LGBT, et sur le museau d’un enfant, c’est encore plus fun (0:22 et 0:25).
Je reconnais qu’en parlant de cette campagne on fait de la réclame pour la marque.
Mais après tout, fuck it, comme on dit au Palais de l’Elysée.
C’était simplement pour l’édification des masses populaires : vous.
Géniale série britannique, totalement déjantée, violente, superbement colorée, parfaitement mise en musique, avec un lapin obsédant et des acteurs aux petits oignons.
L’histoire ? Un vaccin nommé “Janus”… En réalité une arme biologique, destinée à décimer une bonne partie de l’humanité. Des conspirations. Des scientifiques dingos, une grippe russe, des labos corrompus…[ça ne vous rappelle rien ?]
Amazon diffusera en septembre un remake (US) qui semble assez… plat. En tout cas, sa bande-annonce.
Au-delà de ces débats artistiques (fort légitimes vous en conviendrez 😉 )… ça n’a pas loupé, les covidéments fragiles sont offusqués.
Terriblement choqués.
Si.
Car ils s’inquiètent n’est-ce pas des “messages” qu’une telle série contient, et en ces temps de peste noire de couillonavirus, de pandémie planétaire… vous comprenez, c’est intolérable.
Il conviendrait donc… de différer sa diffusion.
Ou carrément de la supprimer.
Et pourquoi pas de tuer son réalisateur. De génocider toute l’équipe. De liquider Amazon.
Et puisque le mal est fait, cette série ayant été tournée, d’exterminer toute l’humanité, au moins cela supprimera les occasions d’être choqué.
PS : Utopia se compose de 2 saisons. Un mauvais esprit (pas moi !) suggère que la troisième saison… eh bien nous y assistons en ce moment… en temps réel… dans le monde entier. Et ce n’est pas un film. 😉