Ceci est Stéphane Bancel, le PDG de Moderna. Bon il est un peu simple d’esprit. Faut pas lui en vouloir.
“It’s sad to say, I’m in the process of throwing 30 million doses in the garbage because nobody wants them. We have a big demand problem,” Bancel told an audience at the World Economic Forum, adding that attempts to contact various governments to see if anyone wants to pick up the slack was a total fail.
“We right now have governments – we tried to contact … through the embassies in Washington. Every country, and nobody wants to take them.”
Putain Stéphane ! Tu as enfin tout compris ! Incroyable. Pourtant avec ton QI, c’était pas gagné d’avance…
Personne ne veut plus de tes saloperies ARNm, dangereuses, mal conçues, mal fabriquées, pas maîtrisées.
Allez Merdena tu remballes ton poison et tes délires, tu fous tes 30 millions de doses à la poubelle, tu rentres chez ta mère, et tu fous enfin la paix au monde entier.
POST-SCRIPTUM
C’est bien entendu un voeu pieux… Merdena va continuer… à nous emmerder, au sens propre.
L’équipe portugaise qui a analysé (en premier) le génome du Covipox, affirme qu’il a muté.
Dr Joana Isidro and colleagues analysed nine genome sequences of monkeypox, gathered from patients infected with the virus during the latest outbreak.
The researchers calculated the virus is closely related to the same West African strain that was exported from Nigeria to Britain, Israel and Singapore in 2018 and 2019.
However, each virus had 50 extra mutations, on average, compared to the cases detected in previous outbreaks, the pre-print states.
This is ‘far more than one would expect‘ based on the number of changes expected for orthopox viruses, a family of viruses that also includes smallpox but not chickenpox. (source DailyMail)
La saleté est liée à la souche ouest-africaine de 2018… Mais… il y a des muations. Et ces mutations sont beaucoup plus nombreuses que ce qu’on pouvait imaginer… (ces virus mutent très lentement contrairement aux coronavirus).
Their findings, which suggest the cases all stem from a ‘single origin‘, have yet to be examined by other scientists.
Cela renforce donc l’hypothèse… de “l’origine unique“.
Aïe.
En clair, une barbouze ou un terroriste a d’abord modifié en labo la saloperie, avant de lâcher le contenu de sa fiole au milieu d’une partouze d’homos en furie dans les Canaries (pendant le festival LGBT plume dans le cul), et zou roulez jeunesse… le truc a bien été étalé…
Là dessus, une autre scientifique ramène sa fraise et confirme :
Dr Emilia Skirmuntt, a virologist at Oxford University, said some sequences contain multiple mutations and deletions. She noted that experts previously believed these could increase human-to-human transmission of the virus.
Dr Skirmuntt said, however, ‘despite the possible higher than expected transmission rate‘ it is ‘still not even close’ to the speed at which Covid spread.
Des suppressions et des ajouts ? Mais encore ?
Encore une belle gourde car la comparaison avec le couillonavirus n’a AUCUN SENS puisque ce sont 2 familles totalement différents.
Bref.
On résume les vraies questions :
le Covipox a t-il muté oui ou non ?
si oui, ces mutations peuvent-elles expliquer le comportement différent du virus ?
et enfin ces mutations sont-elles naturelles ou artificielles ?
Il est urgent que Raoult et ses équipes séquencent cette saleté et nous donnent des INFORMATIONS PRECISES.
C’est pourtant pas compliqué, merde ! 😉
DIDIER ! S’il te plaît, fais les analyses qui vont bien, et donne les résultats au public, comme tu fais d’habitude, c’est-à-dire clairement et sans censure.
Car pour le moment, le silence des scientifiques est étonnant. Il y a plus de 200 cas dans 19 pays (la Slovénie a rejoint le bal)… Largement de quoi séquencer, classer, comparer.
Et les souches “originales” (celles qui circulent en Afrique de l’ouest) sont déjà enregistrées, étiquetés, et les génomes sont déjà décodés depuis belle lurette.
Alors ?
Et en plus les séquenceurs… sont encore chauds des travaux menés sur le couillonavirus (et l’IHU de Marseille, dans ce domaine, a carburé à fond les ballons).
Qu’attendent donc les scientifiques du monde entier pour se lancer ?
POST-SCRIPTUM
A ce jour, officiellement, 4 travaux sur le génome du Covipox ont été effectués… et publiés : l’équipe portugaise (citée plus haut) et l’équipe belge (lire ici), une autre équipe belge, et une équipe allemande.
Mais ce sont les données brutes (illisibles).
Un nouveau papier cependant vient poser des mots à peu près compréhensibles sur ce souk.
Ce n’est plus totalement le virus de la variole du singe qui se balade en Afrique de l’Ouest, depuis des années.
Il est nouveau.
Et voilà pourquoi, il se comporte différemment.
C’est un virus “hypermuté” ou “hypermutant”. 😉
A présent, la question primordiale : ce “saut évolutif” est-il… naturel… ou alors a t-il été créé en labo ?
Mutations naturelles ou… “gains de fonctions” (rendues fameuses… avec le couillonavirus et les travaux menés au labo de Wuhan) ?
Toutes les coïncidences, le calendrier invraisemblable (y compris le méga trollage de la simulation faite il y a un an, annonçant une pandémie de variole du singe d’origine terroriste ! … en mai 2022 !lire mon article) sans oublier l’environnement géopolitique tendu comme un string… il est rationnel de faire pencher la balance vers l’hypothèse artificielle, et de la dissémination volontaire.
Préparez les réserves de pinard…
POST-SCRIPTUM BIS
Est-il besoin de rappeler que la piste… Covipox = effet secondaire des produits ARNm… ne peut pas être écartée !
Car : des données génomiques… ça se trafique. Et ça s’efface même dans les bases de données (les Américains l’ont fait, avec des coronavirus, à la demande des Chinois… idem à Wuhan… on se demande bien pourquoi). (eh oui, si vous ne savez pas… article ici).
-Et donc entre admettre que vous avez empoisonné des centaines de millions de personnes qui seront désormais sensibles à n’importe virus alors qu’elles étaient protégées avant .
-Et affirmer qu’il s’agit bien de la variole du singe, si, si on vous jure, mais pas de bol, la souche a considérablement muté… C’est la faute à Mère Nature… Désolé.
Entre les 2 propositions… le choix semble facile à faire. 😉
Efficient assembly of a large fragment of monkeypox virus genome as a qPCR template using dual-selection based transformation-associated recombination
De quoi s’agit-il ?
Researchers appeared to identify a portion of the monkeypox virus genome, enabling PCR tests to identify the virus, in the paper: “Efficient Assembly of a Large Fragment of Monkeypox Virus Genome as a qPCR Template Using Dual-Selection Based Transformation-Associated Recombination.” (source)
En clair, les mecs ont bossé sur l’identification par PCR de la variole du singe.
Quand on sait que cette merde se répandra exactement 3 mois plus tard dans 15 pays, c’est vrai que bosser sur les tests PCR, c’est très utile. 😉
Et c’est surtout hautement clairvoyant. Les Chinois sont des putains de génie.
Et c’est même pire que cela, puisque l’article fut envoyé en août 2021… Donc l’équipe chinoise travaillait DEJA l’année dernière sur le Covipox, pardon la variole du singe…
Quel sens de l’anticipation !
Nous étions en pleine panique “Delta”, mais non ! La Chine avait déjà prévu pardon prédit la prochaine pestilence, et travaillait (alors que nous, comme des gros benêts on se faisait “vacciner” contre le couillonavirus).
(et leurs efforts ont payé si j’ose puisque… les sociétés chinoises se dépêchent de faire valider dans le monde… tous leurs tests PCR adaptés à la variole du singe… voir dans les commentaires plus bas. Donc déjà, certains profitent de la Covipox-mania…).
Since MPXV [monkeypox] infection has never been associated with an outbreak in China, the viral genomic material required for qPCR detection is unavailable. In this report, we employed dual-selective TAR to assemble a 55-kb MPXV genomic fragment that encompasses E9L and C3L, two valuable qPCR targets for detecting MPXV or other orthopoxviruses.”
Il n’y a pas de monkeypox en Chine… donc les chéris n’ont pas le matériel génétique nécessaire (et mon cul c’est du poulet de la viande de brousse).
La tuile.
Ils ont donc bidouillé et utilisé la méthode TAR (transformation-associated recombination) pour isoler/assembler/recréer des morceaux du génome de la bébête.
Ils reconnaissent que cette méthode….
“applied in virological research could also raise potential security concerns, especially when the assembled product contains a full set of genetic material that can be recovered into a contagious pathogen.”
En clair… pourrait être dangereuse. Non sans déconner ?
Quand on connaît les états de service impeccables du labo de Wuhan avec les coronavirus, on se sent tout de suite à l’aise… 😉
Tu recréés en labo un agent pathogène contagieux deux ans après avoir foutu le monde à feu et à sang en bidouillant des coronavirus de chauve-souris ?
Et tu crains des problèmes de sécurité ?
😉
Je crois que nous tenons là une nouvelle définition du mot trollage !
Bref, la farce-tragédie se poursuit. Les comédiens sont de plus en plus nombreux sur scène.
C’est un foutoir invraisemblable.
Le monde est devenu complètement dingue, avec tous ces docteurs Folamour qui jouent à Dieu dans leurs labos, qui manipulent des trucs ultra dangereux qui les dépassent complètement, avec à leur disposition des technologies sans limite (CRISPR par exemple).
Ils sont excités par la thune, par l’hubris, par la pression de leurs militaires (qui ne lâchent jamais le morceau en matière d’armes bactériologiques) sans oublier celle de politiciens complètement à la ramasse et au bout de leur vie (“vite il nous faut une guerre !”, “Vite il faut trouver un moyen de maquiller l’inflation, la baisse des ressources” etc.) et autres groupes privés agissant soit pour la thune soit par idéologie.
Le tout dans le cadre d’une lutte géopolitique à mort entre différents blocs.
On est vraiment mal barrés.
PS : la prochaine année du singe en Chine sera 2028. On est vraiment mal barrés. 😉