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Saloperie et sida mental

Etats-Unis : pourquoi l’invasion migratoire au sud ?

Futurs électeurs américains… démocrates.

“J’ai besoin de davantage de gens dans mon district uniquement pour le redécoupage”.

Voici ce que vient de déclarer au sujet des migrants, une député noire américaine (de gauche) élue dans l’état de New York (Brooklyn).

Elle ajoute qu’avec la “diaspora” déjà présente, ils peuvent “absorber” ces nouveaux arrivants (source et analyse en anglais).

Le sujet est peu connu des Européens, car tabou.

On se souvient -vaguement- du fameux “mur” que Donald Trump voulait ériger à la frontière avec le Mexique.

Un mur pour nous, européens encore blancs et encore conscients, c’est le mur de Berlin ; c’est le Mal.

Mais nous ne comprenons pas réellement ce qui se passe depuis 2020, avec l’administration Joe Biden (et avant avec Obama).

La frontière au sud est littéralement démantelée.

Conséquence : plus de 4 millions d’étrangers sont arrivés clandestinement aux Etats-Unis depuis 2020 (source).

Et non, pas uniquement des latinos (Afrique, Moyen-orient et même Chine).

La question est “pourquoi ?” Car il s’agit bien d’une politique délibérée (la Maison Blanche a d’abord nié l’existence du problème, avant de le minimiser).

La député new yorkaise vient de donner l’explication, avec une remarquable ingénuité.

La Chambre des représentants (Assemblée nationale chez nous) compte des centaines d’élus, venant de tous les états. Mais comment s’effectue la répartition ?

Par la population.

Cette dernière est évaluée tous les dix ans grâce au recensement (census).

Ainsi la Californie, l’état le plus peuplé de l’Union, dispose de 52 sièges.

Dans un état fédéral comme les Etats-Unis… le pouvoir commence D’ABORD par le nombre de représentants dont chaque état dispose… Avant même la capacité de les faire élire en manipulant les électeurs…

Or les états démocrates (les états bleus) souffrent d’un phénomène… troublant : des habitants fuient. Littéralement.

Ils votent avec leurs pieds, ils en ont assez de la fiscalité, de l’insécurité, des politiques wokes, du fanatisme LGBT+, de l’impossibilité de se loger, etc.

Alors ils s’installent au Texas ou en Floride (états rouges, tenus par les républicains).

Suite au recensement de 2020… la Californie a ainsi perdu 1 siège (de 53 à 52). Une première dans son histoire !

Faire venir massivement des migrants permet de boucher les trous et de s’assurer de futures victoires électorales (les migrants ayant souvent un atavisme de “gauche” et il est facile de les contrôler par des politiques d’assistanat, de discrimination positive).

Ils finiront par être naturalisés, voire ils pourront voter illégalement (de nombreux états ne contrôlent pas l’identité des votants), ou bien ils feront des enfants… tous citoyens américains.

En 2008, le nombre total d’enfants nés de parents clandestins aux Etats-Unis s’élevaient… à 4 millions (340 000 rien que pour l’année 2008, soit 8 % du total des naissances).

POST SCRIPTUM

Pas besoin d’avoir fait l’Ena option Cuisine pour constater que le même phénomène se déroule en Europe.

En pire.

D’abord parce que les populations concernées sont principalement musulmanes donc difficilement assimilables.

Et elles le seront encore moins à mesure que les bantoustans se multiplient et grossissent sur le territoire national.

Et enfin, parce que cette invasion a commencé bien avant.

Concrètement, ça signifie quoi ?

Faisons abstraction des élections locales et même du découpage des circonscriptions…

Il est désormais évident qu’aucun candidat à l’élection présidentielle (scrutin national) ne pourra être élu sur un programme de “droite”, a fortiori en faveur du contrôle des frontières et de l’immigration.

Je reformule : stop aux fantasmes (la spécialité des droitards) !

Un candidat comme Zemmour ne sera JAMAIS ELU.

Jamais.

La raison est bien entendu le vote des Français d’origine immigrée. Et même s’ils votent moins que les bons vieux boomers blancs… leur masse suffit (déjà) à faire barrage au second tour.

Cette évidence arithmétique (ethnomathématique) est apparue au grand jour en 2012 quand dans les banlieues parisiennes tiers-mondisées… le piteux candidat Hollande fit plus de 70 % au second tour !

Des scores quasi soviétiques… pardon… africains.

Sur le département de la Seine-Saint-Denis 65,32 % contre 51,64 % au niveau national (1,13 million de votes de plus que Sarkozy, réfléchissez… ce n’est pas grand chose).

Dans le détail :

  • Villetaneuse = 78,22 % (2017 = Macron à 83,77 % ! 2022 = Macron à 77,47 %)
  • Saint-Denis = 77,78 %
  • Bobigny = 76,74 %
  • La Courneuve = 75,30 %
  • Montreuil = 74,84 %
  • Saint-Ouen = 73,63 %
  • Pierrefite-sur-Seine = 73,92 %
  • Stains = 73,50 %
  • Bagnolet = 72,37 %
  • Clichy Sous Bois = 72,07 %
  • Pantin = 71,38 %

La crème de la crème… !

En 2012, au second tour, les électeurs d’origine immigrée n’ont pas déclaré leur amour à Hollande (qu’ils méprisaient sans doute, et à raison).

Mais ils ont fait barrage à Sarkozy, perçu comme de “droite” et lesté de son fameux “kärcher”.

Et c’était il y a plus de dix ans !

Dans l’intervalle, combien de ces chères têtes blondes nées en Seine Saint Denis (ou ailleurs) sont devenues majeures, et donc équipées de leurs droits civiques ?

Dans l’intervalle, combien d’étrangers se sont installés légalement et illégalement ?

Dans l’intervalle, combien d’enfants ont-ils eu (bénéficiant automatiquement de la nationalité française et qui deviendront majeurs dans quelques années…) ?

Sans compter que le deuxième facteur de l’équation échappe à la plupart des veaux…

Car, autre “en même temps“… de nombreux électeurs français traditionnels (Robert et Christine, un coup à droite, un coup à gauche)… décèdent (du Covid, of course). 😉

La génération nombreuse du baby boom, après avoir tout salopé, a le bon goût de passer l’arme à gauche.

Ca va faire des gros trous dans les listes électorales… augmentant encore mécaniquement l’influence du vote ethnique (arabo-africain principalement, mais disons non-occidental).

Il est impardonnable de ne pas comprendre que tout changement qui affecte une population (sa pyramide des âges, son nombre et sa composition ethnique) entraîne forcément des conséquences sociales, économiques et politiques…

Et il n’y a finalement rien de plus raciste, et rien de plus sot, que de faire semblant de croire que les hommes sont tous SEMBLABLES et parfaitement INTERCHANGEABLES.

Les hommes sont différents, et ce sont les hommes qui font société.

Si on change une population… on change sa société.

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Quand l’empire US se perd dans une vallée en Afghanistan

Un Marine qui s’entraîne dans son Colorado natal ? Non… Il crapahute à 12 000 km de là… dans les montagnes afghanes. Isolé. Pire encore : perdu.

Je signale un remarquable documentaire datant de 2010 : Restrepo (lien ici pour le torrent).

L’enjeu ? Prendre conscience de l’effondrement occidental par le petit bout de la lorgnette militaire.

En avril 2006, l’armée américaine installe “Kop”, une “firebase” (concept datant de la guerre du Vietnam) dans la vallée de Korengal (à l’est du pays, près du Pakistan).

Littéralement, dans le trou culier de l’Afghanistan

Pourquoi ? Il y a des “infiltrations” de Talibans et des trafics avec le Pakistan.

Contresens crétin puisque le pays est taliban, toute la vallée est talibane.

On voit un paysage montagneux vertigineux et boisé, pas un désert. Un soldat fera ainsi la comparaison avec Denver dans le Colorado !

Sauf que là, dans cette vallée, les Afghans vivent au moyen-âge… des siècles dans le passé.

Très vite, ce poste devint le plus dangereux du monde pour les soldats américains… Plus de 40 d’entre-eux y laissèrent la vie…

Des attaques quotidiennes… Des patrouilles prises dans des embuscades… Des tirs plusieurs fois par jour (durant une séquence on voit même l’impact des balles aux pieds d’un soldat !)…

Le documentaire commence très fort. Un convoi progresse sur la route montagneuse pour rejoindre “Kop” avec deux journalistes à bord… boum… une IED explose près d’un des véhicules ! Le tout filmé de l’intérieur.

Quel est l’objectif de cette “firebase” ?

Le capitaine l’avoue dans sa candeur de joueur de football nourri au beurre de cacahouète :

“Nous ne sommes pas là pour chasser l’ennemi… On est là pour que l’ennemi vienne à nous et qu’on puisse le tuer”.

C’est le vieux fantasme de Dien Bien Phu ou encore de Khe Sanh (le Vietnam, toujours) : attirer, fixer puis détruire dans une bataille classique des forces ennemies qui vous échappent par ailleurs…

Une section (une trentaine d’hommes) va ensuite installer un poste-avancé… à 800 mètres de la base principale

Avec des murs de terre, des planches, des tôles…

Comme ils le disent : “un autre monde“… suivi par “a shitty place“.

Ils y resteront 15 mois.

Ils baptisent le poste “Restrepo” en hommage au médecin de leur compagnie qui fut tué… dès leur arrivée. Deux balles dans la gorge.

Dans les montagnes, on t’entendra décharger ta mitrailleuse calibre .50. Mais personne ne t’entendra hurler.

Toute l’absurdité de la guerre “à l’occidentale” est là… ainsi que toute l’obscénité de la présence américaine dans ces montagnes médiévales, à des milliers de kilomètres de Washington.

On cherche (comme au Vietnam un demi siècle en arrière ou en Irak plus récemment)… le moindre sens.

Il n’y en a en réalité aucun.

Aucun sens militaire (ce fut une défaite cuisante), aucun sens politique.

Le néant de la pensée, la bêtise de l’action ; c’est Shadock.

La guerre qui doit impérativement se poursuivre car… on l’a commencée !

Le capitaine, well spoken, les dents blanches, barraqué, mâchoire carrée, la quintessence de l’officier de l’US Army… participe chaque semaine à la “shura“, c’est-à-dire la réunion des “anciens” des hameaux voisins (avec un interprète bien entendu)… C’est surréaliste.

Car, comme au Vietnam ou en Irak… le mot d’ordre -orwélien- n’a jamais varié : “hearts and minds“…

Il faut ainsi discuter avec… les indigènes, les convaincre de dénoncer les méchants Talibans (leur propre famille… quelle farce) et sécuriser l’environnement pour construire… une route.

Et puis s’excuser quand on on provoque… des “dommages colatéraux”… Femmes, enfants… civils… réduits en morceaux.

Un intrus s’est glissé dans cette photo. Sauras-tu le reconnaître ?

Le capitaine parle dans le vide.

Comment concevoir une quelconque compréhension entre lui et ces vieillards du bout du monde et d’une culture si radicalement différente de la sienne ?

Qui est ce soldat rasé de près pour ces vieux Afghans barbus ?

Un occupant. Un intrus. Un squatteur. Un étranger. Et donc un ennemi.

Un jour, quelques “anciens” débarquent à l’avant-poste…

L’objet de cette rencontre impromptue ? La veille, les Américains ont tué… une de leurs vaches (qui avait pénétré le périmètre de sécurité, avec les barbelés et qui fut donc prestement exterminée par les soldats nerveux… pour lui éviter de souffrir [“put her out of her misery“])…

Dérision…

Dérision encore… quand le gradé leur demande “combien ça coûte une vache ?“… Il communiqué au QG la somme réclamée (“400 à 500 dollars“). Compensation refusée. Ce sera finalement le poids de la vache… en sucre et haricots.

Les Américains abandonneront la vallée de Korengal en avril 2010… après la mort de 42 des leurs, des centaines de blessés, et après avoir balancé des gazillons de tonnes de bombes et autres munitions sur les flancs et les crêtes de ces montagnes (artillerie, hélicoptères d’attaque, A-10 Warthog, gunships AC-130… tout le who’s who de la quincaillerie mortelle).

En vain. Evidemment.

Il ne s’agit pas ici de critiquer le comportement de ces (très jeunes) soldats.

Ils apparaissent irréprochables. Ils avouent leur peur. Ils cachent la vérité à leur mère au téléphone. Ils s’entraident. Ils bizutent leur cuisto (noir). Ils pleurent leurs morts. Ils sont marqués. Et osent même déclarer : “il faut respecter l’ennemi… sinon à quoi bon ?“.

Pour des ptits gars qui arrivent du fin fond des Etats-Unis, c’est remarquable.

Ce documentaire à la limite ne les concerne pas vraiment. Ils semblent être le sujet. Mais en fait non.

Le véritable sujet est cette obscénité… Cette occupation absurde pendant 20 ans (!!!!)… sans aucun objectif réel… avec des mensonges énormes comme justification (“Ben Laden !“) et condamnée à se perpétuer de manière autonome… dans un délire technocratique déjà décrit lors de la guerre du Vietnam (les parallèles sont nombreux).

C’est terrible mais rien n’a réellement changé dans l’armée de l’Oncle Sam (à part… les femmes et les transsexuels, bien entendu !).

Qui sommes-nous pour imposer notre présence, je ne parle même pas de nos idées -par la force !- à des hommes et des femmes qui vivent dans ces montagnes… depuis des temps immémoriaux ?

Le même constat s’applique bien entendu à l’Afrique et au Moyen-Orient.

Je suis le premier à défendre l’histoire du “colonialisme” européen à la grande époque, quand nous avions encore des idées, allez osons le mot, des principes.

Quand nous avions encore quelque chose à proposer (imposer, d’accord), et que l’Occident pouvait se prévaloir du bien, du bon, du beau.

Mais aujourd’hui ?

C’est quoi le projet ?

Plume dans le cul pour tous ? Changer de sexe ? Injections ARNm pour tous ? Biden, Macron, Trudeau, Scholtz über alles ? Voitures électriques ? Un Reich avec le drapeau LGBTQ++ ? Le rire de dinde de Kamala Harris ? La corruption ?

Cette folie doit cesser.

Cet hubris au rabais doit cesser.

Nous sommes complètement à côté de nos pompes.

POST-SCRIPTUM

L’équipe de Restrepo a eu l’excellente idée de réaliser un second documentaire, quelques années plus tard (en 2014), pour suivre les protagonistes et utiliser d’autres séquences filmées en 2007/2008 : Korengal (dispo ici en torrent).

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Fentanyl ou la guerre de l’opium 2.0

L’Empire américain ? C’est ça.
… Et puis ça.
… Et ça aussi. Avec les compliments de la maison Xi Jinping !

En septembre dernier, Anthony Blinken, le Secrétaire d’Etat américain (ministre des affaires étrangères) pleurnichait devant l’Assemblée des Nations Unies et qualifiait le fentanyl de “menace globale“.

Une “menace globale” mais qui étrangement n’affecte… QUE les Etats-Unis.

Blinken himself peignait l’horrifique tableau :

Blinken pointed to fentanyl and other synthetic drugs as the number-one killer of Americans aged 18 to 49. The US recorded 110,000 overdose deaths last year, with more than two-thirds linked to the synthetic opioid.

110 000 décès par overdose en 2022, dont 72 000 directement liés à l’opiacé de synthèse, le fentanyl (100 fois plus puissant que la morphine).

Première cause de mortalité chez les jeunes adultes. Oubliez le… “Covid” !

Les Etats-Unis perdirent près de 58 000 hommes (très jeunes) durant la guerre du Vietnam… en huit années d’engagement direct (quand, rappelons-le au passage… les Vietnamiens perdirent plus d’un million de soldats, sans parler des pertes civiles. Je n’ai de cesse de vous répéter que les Viets sont des sacrés résistants, sévèrement burnés).

On reformule : chaque année, les Etats-Unis subissent… deux guerres du Vietnam…

Chaque année.

Dans un silence… de mort.

On parle bien ici de pertes… militaires. Car c’est une guerre. Une vraie.

Il ne s’agit pas d’une guerre contre une pseudo pandémie couillonavirale qui tue quelques dizaines de milliers de vieillards… déjà malades (et dont PERSONNE n’a rien à foutre, il faut avoir le courage de le reconnaître… Au contraire, cela arrange les finances des pays occidentaux qui vieillissent à vitesse grand V).

Non.

Le fentanyl tue DES JEUNES, en clair les forces vives des Etats-Unis, leur avenir.

De la part d’une nation aussi belliqueuse, aussi agressive que celle de l’Oncle Sam… on pourrait s’attendre à une réaction très musclée.

Et ?

Rien.

Zéro.

Wallou.

Nada.

Chaque année, quelques fonctionnaires américains expriment leur désaprobation auprès de quelques sous-fifres mandarins chinois qui alternent sourires et air contrit…

Et on recommence le cirque l’année suivante (ah pardon les réunions furent interrompues durant la terrible pandémie de “Covid”, c’est trop bête).

Aujourd’hui, en 2023, les Etats-Unis protestent au plus haut niveau avec… le zombie Joe Biden face à Xi Jinping… en vain.

Ils sont en réalité à poil et voilà pourquoi désormais ils invoquent une improbable -loufoque même- “alliance mondiale” devant l’ONU, dans la plus grande tradition de Colin Powel et de sa petite fiole de la honte

Répétons-le, ce problème n’affecte… QUE LES ETATS-UNIS (et un peu le Canada) !

Il n’y a pas de fentanyl en Asie !

Rien en Chine.

Rien au Vietnam, Cambodge, Laos, Thaïlande, Malaisie, Indonésie.

Rien non plus au Japon. Ni en Corée du Sud.

Ni au Moyen-Orient. Ni en Afrique. Et upsilon en Europe.

Aïe.

La tuile…

Le narrative se prend une belle overdose en pleine poire.

Ce simple fait devrait suffire à comprendre que quelque chose cloche

(Comme le fait que seuls les pays occidentaux… se sont injectés des produits ARNm dangereux et aberrants contre le “Covid”.)

Je peux vous assurer qu’il n’y aura JAMAIS de fentanyl à Singapour par exemple (là-bas on maîtrise les frontières et surtout on pend des hommes ou des femmes pour quelques dizaines de grammes d’héroïne).

Inutile de parler de la Chine. 😉

L’Europe et l’Asie ont pourtant une longue histoire avec les opiacés. L’héroïne fut ainsi découverte en Europe, en Asie ils avaient le Triangle d’Or et les fumeries d’opium… héritage direct de la perfide Albion.

Le massacre provoqué par les opiacés de synthèse demeure un problème STRICTEMENT NORD AMERICAIN.

Quelle coïncidence ! Encore un mystère mystérieux.

(oubliez les experts en mal de publicité qui vous annoncent que le problème pourrait s’étendre à d’autres pays… c’est pour l’instant totalement faux, et c’est surtout un mensonge bien pratique).

L’honnête homme européen avec encore 3 neurones connectés et doté d’une certaine culture historique peut facilement comprendre.

Je suis un honnête homme européen, cultivé. Et j’ai compris. Forcément.

Il s’agit bien d’une guerre de l’opium 2.0.

En clair : d’une revanche de la Chine pour les terribles humiliations, les terribles destructions subies au 19ème et au 20ème siècle… et causées par les Occidentaux et leurs guerres de l’opium.

Elles furent la genèse des grandes catastrophes du 20ème siècle (la chute de l’Empire, la guerre civile et l’épouvantable occupation japonaise).

Les Chinois n’ont JAMAIS OUBLIE.

JAMAIS.

Et il faut être américain ou bien con comme une enclume (alerte pléonasme) pour ne pas comprendre cela et pour ne pas voir le lien entre l’épidémie mortelle provoquée par le fentanyl en ce début de 21ème siècle et le 19ème siècle pollué par les volutes des pipes à opium…

Cette opération est DEJA un succès stratégique majeur pour le PCC.

Les Etats-Unis ont démontré leur incapacité à réagir mais pire encore ils ont démontré leur asservissement, leur acceptation, et même leur collaboration.

Il suffit de voir toutes les grandes villes “démocrates” gangrénées par ce poison… On pense à San Francisco, Portland, Baltimore, Cincinnati ou encore à Philadelphie.

Autant de villes gauchistes, des cloaques :

  • qui se déclarent “sanctuaires” (pour accueillir l’immigration clandestine)
  • qui démantèlent les lois contre la drogue
  • qui baissent les budgets de la police
  • et qui acceptent que des lobbies dirigés par des individus dégénérés (Soros et son fils maintenant)… remodèlent la politique pénale des états (via les élections des procureurs, etc.).

Je reformule : l’attaque chinoise, à la fois en tant que vengeance et accélérateur d’Histoire est une évidence géopolitique.

Factorisée par la complicité active de pans entiers de l’état profond américain, aux mains de gamins psychotiques et traîtres (le clan Biden, le clan Obama, et toute leur clique… les mêmes qui furent si enthousiasmés… par le “Covid”).

La meilleure preuve est l’abandon… de toute volonté de maîtriser la frontière sud !

Ca c’est la politique délibérée des “démocrates” (et de leurs alliés, les faux républicains).

Comment peut-on prétendre combattre le fentanyl… quand en même temps on démantèle sa frontière avec le Mexique… par là où la drogue arrive ?

Et qu’on permet à des MILLIONS de clandestins… de débarquer, dans un foutoir sans nom ?

Et qu’on finance (comme en Europe) des nombreuses pseudo ONG qui orientent, accueillent, prennent soin de ces envahisseurs, sans aucun contrôle ?

Ca n’a aucun sens !

Un seul clandestin peut transporter plusieurs kilos de de fentanyl… quantité suffisante pour tuer des centaines de milliers de personnes.

Au début, les Chinois produisaient directement le fentanyl qui était ensuite… expédié par la poste aux Etats-Unis…

Oui ! Les Chinois avaient EN PLUS le sens de l’humour...

C’étaient les fonctionnaires de l’US Postal Service et les grandes sociétés logistiques américaines (Fedex…)… qui acheminaient la drogue !

Quelle ironie.

Ensuite, plausible deniability oblige… ils ont manipulé les cartels mexicains… pour simplement leur fournir les matières premières chimiques

A eux de finir le sale boulot (assembler la came puis la distribuer au nord).

On le voit le contrôle de la frontière relève de la SECURITE NATIONALE (la vraie, pas la fantasmée face à Moscou et au super méchant Poutine !)

Trump l’avait compris.

Depuis 2020, l’administration Biden a TOUT fait pour littéralement démanteler cette frontière.

Le crime est donc signé (Chine).

Et la traîtrise est également signée (la gauche américaine dégénérée).

Voilà la réalité des Etats-Unis en 2023.

C’est tout sauf un empire en ordre de marche.

Plutôt un empire qui s’écroule.

“A la santé… des Américains ! Nan ! J’déconne !”
POST-SCRIPTUM

Dans sa supplique aux Nations Unis, Blinken a joué la carte du “nous ne sommes pas seuls“.

Il a pris appui sur :

  • le captagon (Moyen-Orient)
  • le tramadol (Afrique)
  • amphétamine et kétamine (Asie)

Mais… ça n’a RIEN A VOIR. Il est évident que toute société… utilise des drogues, et de tous temps.

A des fins récréatives, utilitaires, politiques (l’opium de l’Empire britannique, la pervitine des Nazis, le captagon des fanatiques d’Isis).

Mais comparer un cachet de tramadol ou encore un cachet de méthamphétamine (“ya-ba” en Thaïlande)… avec un poison mortel comme le fentanyl… est une escroquerie intellectuelle et scientifique.

Il suffit de 2 ou 3 mg pour foudroyer un adulte.

Voilà pourquoi cette drogue est à part et qu’on ne peut pas la tolérer dans des produits vendus dans la rue. Car c’est INCONTROLABLE.

(et il y a pire… le carfentanil… 100 fois plus puissant que le fentanyl… utilisé pour les éléphants !).

C’est en réalité un terrible aveu de faiblesse.

Les Etats-Unis sont SEULS

Et aucun pays ne lèvera le petit doigt pour les aider.

Surtout pas leurs adversaires !

POST-SCRIPTUM BIS

Les faibles d’esprit aiment se faire peur avec de terribles… virus (qui font éternuer).

Quelle blague.

Quelques kilos de fentanyl dans le réseau d’eau potable d’une grande ville ?

Ca, c’est percutant, et si facile !

Des terroristes aspergeant de fentanyl liquide les étals des fruits et légumes dans les supermarchés… les poignées des trains, dans des usines de plats industriels, dans les cuisines de grands hôpitaux, dans les universités, etc.

Voilà de véritables scénarios… autrement plus horrifiques que les fadaises “gain of functions” dont on nous rebat les oreilles (à part l’anthrax… pour l’instant peau de balle, et certainement pas le “Sars Cov-2”).

Face à un virus, ou une bactérie, votre système immunitaire peut se battre.

Face à une micro dose de fentanyl, par simple inhalation, vous êtes mort.

Enfin, on a certes des armes chimiques redoutables (toxines etc.)… mais qui sont militaires…. COMPLEXES à fabriquer.

Alors que le fentanyl… si des gangs mexicains parviennent à le synthétiser dans des cabanes, des cuisines… ça en dit long… (regardez ce reportage, c’est édifiant).