Le délire des tests PCR dure depuis des mois alors que le problème fondamental de cette procédure a été exposé à de nombreuses reprises : c’est le réglage du CT (cycle threshold, nombre de cycles d’amplification) qui fait tout.
Au-delà de 35… le résultat sera positif mais il n’y a pas de virus concrètement dans le corps. Juste quelques fragments inertes.
Et pourtant, le prélèvement sera qualifié de “positif“, et alimentera les bilans horriques diffusés quotidiennement dans la plupart des pays occidentaux. Milliers, dizaines de milliers, centaines de milliers de “nouveaux cas“, qui s’amoncellent dans un tsunami couillonaviral destiné à foutre la pétoche au cheptel.
Or… ce sont pour la plupart des gens qui ne sont pas malades, et absolument pas contagieux, les fameux “asymptomatiques“… infectés par la terrible pandémie comme Noël est le 25 mars.
Tout ceci a été dit et répété par des scientifiques et même publié dans des grands médias (exemple cet article de New York Times en août).
Mais rien n’y fait.
On peut encore lire des documents officiels, récents (octobre !), qui donnent des détails invraisemblables sur cette gigantesque manipulation.
Le département de la santé de cet état américain n’hésite pas à claironner que dans leur labo le CT des PCR est réglé sur… 42 !
A un tel niveau, même un caillou, le chien d’Olivier Véran ou un parcmètre sera “positif “… 😉
On comprend pourquoi le nombre de covicas explose outre-Atlantique…
Vous trouverez dans ma rubrique “Test PCR” d’autres articles démontrant le mécanisme et l’arnaque.