En partant de l’observation du variant indien… qui fait pschiit et qui se comporte désormais exactement comme… le variant anglais, avec une contagiosité dans les chaussettes, l’auteur élargit le débat avec des hypothèses foutrement intéressantes.
Il rappelle la théorie d’un épidémiologiste en 1981 qui s’interrogeait sur le comportement -étrange- de la grippe.
Hope-Simpson postula que le virus ne suivait pas le schéma classique (comme la rougeole ou les rhinovirus) : les malades infectent les non malades… Mais qu’il était plutôt “latent” chez certains porteurs… et ensuite “réveillé/activé” par des facteurs extérieurs (soleil, vitamine D, saison).
Son étude fut reprise par un groupe de scientifiques en 2008 qui résumèrent tout ce qui cloche avec le virus de la grippe :
Why is influenza both seasonal and ubiquitous and where is the virus between epidemics?
Why are the epidemics so explosive?
Why do epidemics end so abruptly?
What explains the frequent coincidental timing of epidemics in countries of similar latitudes?
Why is the serial interval [the time it takes for secondary cases to appear] obscure?
Why is the secondary attack rate so low?
Why did epidemics in previous ages spread so rapidly, despite the lack of modern transport?
Why does experimental inoculation [infection] of seronegative [without antibodies] humans fail to cause illness in all the volunteers?
Why has influenza mortality of the aged not declined as their vaccination rates increased?
Retour au couillonavirus.
Whatever the underlying cause of the strange behaviour, though, some facts are clear. SARS-CoV-2 is not, by any reasonable definition, a highly transmissible virus – infected people on average only infect 10-15% of their close contacts, even at the height of the winter surge (and that is an upper bound as it assumes that all subsequent infections were caused by the index case rather than being co-index cases). This compares to 57% for rhinovirus and 70% for measles – those are highly transmissible viruses.
Voilà pourquoi tous les modèles mathématiques foireux se plantent systématiquement.
Et voilà pourquoi les confinements et autres mesures à la con… n’ont que peu d’effets.
Rather, COVID-19 is subject to the same kind of mysterious and explosive seasonal triggering as influenza is. This probably helps to explain why lockdowns make no clear impact on transmission or mortality, and why the virus does not immediately rebound when restrictions are lifted, as all the models keep wrongly telling us is going to happen.
Oui. J’avoue. Moi, l’anar d’estrême-droûate, pourfendeur de couillonavirus, j’ai été covidément.
Ceci est ma confession.
Quand je ne prescris pas des drogues dures à mes patients, ou quand je ne fricotte pas avec mes patientes contre toute règle déontologique, je consomme de la news. Une seconde nature.
Début janvier 2020. Je suis les nouvelles provenant de Chine. Un énième virus là-bas. Dans la région, c’est tout à fait standard. Densité humaine folle, conditions d’hygiène aléatoires, proximité avec des animaux improbables (les Chinois bouffent tout ce qui bouge).
Mi-janvier, l’OMS est prévenue. Il s’agit d’un coronavirus. Une maladie respiratoire. Il y a des rumeurs. On parle d’épidémie à Wuhan, gros centre industriel au centre du pays. Le bruit grossit.
Les autorités de Wuhan organisent un grand banquet officiel façon “tout va bien, il ne se passe rien”.
Réaction classique de la part d’un parti communiste aux prises avec une situation imprévue et qui s’avère délicate.
Jeudi 23 janvier 2020. La nouvelle tombe. Et elle est énorme.
Les autorités chinoises placent la ville de Wuhan, une ville de 11 millions d’habitants… en lockdown. A cause de ce virus.
C’est ahurissant. C’est du jamais vu.
Il est aisé d’établir immédiatement une échelle : même en 2003 avec le SARS qui avait pourtant provoqué une petite panique en Asie… on n’avait pas vu une telle réaction.
Je convoque une réunion de crise avec mes proches à Paris. Mon discours en substance est le suivant : “les gars… tout parti communiste tend à minimiser et cacher les mauvaises nouvelles. Ce confinement d’une ville de plusieurs millions d’habitants à cause d’un virus inconnu, est donc doublement extraordinaire. Ce n’est absolument pas normal. Soyez très vigilants”.
Si on doit faire un parallèle : ce sont les autorités soviétiques en avril 1986 qui face à Tchernobyl ont d’abord menti, puis ont reconnu à la face du monde l’accident nucléaire et ont ensuite évacué 120 000 personnes autour de la centrale…
Je finis en me disant à moi-même : “Liliane fais les valises! “. J’ai toujours été un grand admirateur de Georges Marchais…
Déjà à l’aéroport de CDG, je vois des mecs, asiatiques surtout, avec des masques. Je m’envole et j’arrive à Bangkok le 26 janvier 2020.
Je rejoins immédiatement mon bunker thaï, et je passe en mode “veille 24h24”.
Mon raisonnement est alors extrêmement simple.
la Thaïlande a été le premier pays hors Chine à annoncer officiellement un covicas. C’était le 13 janvier.
durant tout le mois de janvier, 800 000 touristes chinois ont débarqué en Thailande.
je compte jusqu’à 6 vols quotidiens entre Wuhan et la Thaïlande…
Bangkok est une mégalopole, comme Wuhan.
Bref, sachant que la Chine a pris une mesure stupéfiante face à un virus inconnu, la situation est donc gravissime. Dangereuse. Extrêmement dangereuse. Si l’on ajoute ces mouvements de population massifs… la conclusion est évidente : la Thaïlande va tomber à son tour. Toute l’Asie du sud-est va tomber.
J’attends et je scrute.
Les jours passent. Les semaines s’écoulent… Et il ne se passe rien. Absolument rien.
La première hypothèse, évidente, s’impose : les autorités thaïes se taisent. Prises de court. Elles mentent. Comme d’habitude.
Mais le suivi des réseaux sociaux… n’indique rien. Rien dans les hôpitaux. Pas de morts par terre, qui débordent des brancards dans la rue. Pas de surmortalité suspecte. Pas la moindre queue de truc anormal qui serait hors des clous.
Il ne se passe vraiment rien.
Ailleurs dans la région, c’est kif-kif. Rien au Cambodge (alors que hautement sinisé) etc.
Même en intégrant des délais d’incubation… La conclusion s’impose à moi début mars : quelque chose cloche sérieusement.
Car dans le même temps, durant toute la fin janvier et février, des vidéos hallucinantes “sortent” de Chine : cadavres foudroyés dans la rue, dans les couloirs (lire ici), “hôpitaux de campagne” montés en 10 jours, vidéos fournies à tous les médias internationaux, fermetures des frontières, quarantaines, “tests PCR”, etc…
L’OMS finit par déclarer l’état de “pandémie” le 11 mars 2020 (l’OMS relève alors 120 000 cas diagnostiqués dans 114 pays et territoires).
Comment est-ce possible ? D’un côté, une apocalypse virale totale, dont on n’a pas d’équivalent de mémoire d’homme, une terrible pandémie qu’on nous vend à la télé. De l’autre… dans la même région… rien ?
La suite, vous la connaissez.
Voilà, cette historiette personnelle illustre parfaitement comment les événements montrés, au sens propre, c’est-à-dire mis en scène par la Chine en janvier 2020 et ultérieurement (un spectacle donc) ont pu marquer et créer de fausses inférences dans l’esprit de gens par ailleurs très intelligents et dotés d’une sérieuse culture générale. Comme moi 😉
La seule différence est qu’une fois que les données et l’observation du Réel détruisent l’image renvoyée et orchestrée par la Chine… alors l’honnête homme doit en tirer les conclusions naturelles : la Chine nous manipule, il faut rentrer en résistance et ne pas se laisser entraîner là où Pékin veut nous emmener…
J’ai fait ce cheminement, avec beaucoup d’autres personnes dans le monde, heureusement…
A la différence de toutes les structures étatiques… qui elles ont tout fait… pour se laisser entraîner dans la fiction créée par la Chine… ont tout fait pour endosser les rôles créés pour elles par la Chine : covidémence, confinement, masques, panique, chiffres bidonnés, compteurs quotidien des morts et des cas, etc.
Non tous les gouvernements ne sont pas vendus à Big Pharma. Non, Bill Gates ne contrôle pas le monde. Non les fonctionnaires et les politiciens ne sont pas tous demeurés.
Deuxième conclusion évidente elle-aussi : nous sommes bel et bien face à une conspiration.
Je résume :
il était parfaitement rationnel d’être covidément en janvier/février 2020, face à un virus inconnu et des réactions inouïes d’un gros pays : la Chine.
Mais après quelques mois, avec les données et les observations… il était totalement irrationnel de continuer à l’être.
Ca fait 25 euros comme d’habitude. Virements, espèces, bite du coin, j’accepte tout. Sur mon compte off-shore.
Aïe. Idiocracie n’avait pas besoin en plus d’un couillonavirus…
Et pourtant, une étude (non revue) affirme que le virus réduit la taille de la matière grise ! (source Medisite).
Oui, oui, le truc qui abrite les neurones dans votre cerveau.
La tuile.
L’étude est britannique et s’intitule UK Biobank. Le principe est simple : ils suivent une cohorte de 40 000 individus… avec des examens d’imagerie de type IRM (depuis 2006).
Sur 782 volontaires, 394 ont été testés positifs au Covid-19 entre leurs deux examens. Or, sur les résultats des personnes testées positives, une perte de matière grise a été observée. Les volontaires testés positifs à la Covid-19 ne présentaient que des symptômes légers ou modérés. Certains étaient même asymptomatiques. En revanche, après analyse de leurs IRM, les chercheurs ont observé une perte de matière grise entourant le système olfactif et gustatif. Plus inquiétant, les mêmes IRM montraient également des pertes de tissus cérébraux dans les régions liées à la mémoire.
Alors faut-il commencer à sérieusement mouiller son slip ? Ou est-ce un énième coup de scientifiques covidéments au bout du rouleau cherchant à vous convaincre de recevoir l’ostie vaccinale ?
Car après tout, si on peut vivre avec un morceau de poumon en moins… devenir physiquement crétin, avec le cerveau qui fond, ça la fout plutôt mal. 😉
Je suis tenté de faire la même réponse de Normand que celle de l’OMS vis-à-vis de l’ivermectine : il faut davantage d’études. 😉
On se revoit dans 15 ans (si vous n’êtes pas encore crevé, le cerveau fondu).
Mais on peut déjà critiquer cette étude… l’âge moyen (62 ans lors du deuxième examen) par exemple.
Le fait que la réduction ne soit pas quantifiée (est-ce beaucoup sur un petit nombre, ou un peu sur tout l’échantillon ?). Quels sont les pourcentages ?
Le fait qu’il n’y a pas de données quant à la fameuse “anosmie”. Ces individus se plaignaient-ils de perte odorat/goût ?
Et enfin comme d’habitude la définition par essence foireuse : c’est quoi un “cas” Covid “léger” ? Un simple test PCR ?
Les auteurs le disent d’ailleurs eux-mêmes : 60 sur les 394 n’ont eu aucun diagnostic clinique… mais un simple test “maison”.
Et seules 15 personnes de l’échantillon ont été hospitalisées.
Le pauvre couillonavirus n’y est peut-être pour rien… Si on faisait des IRM avant/après vers 62 ans dans un échantillon de la population, on pourrait peut-être détecter le même phénomène : à savoir les premiers signes de l’apparition… d’un Alzheimer !