Le Covid est en arrêt maladie. Longue durée ? Ou déjà à la retraite ?
Le “Covipox”, c’est-à-dire la terrible “variole du singe” qui donne des boutons à des gays partouzards… s’est “taillé à l’anglaise“.
Je voyais un vrai potentiel disruptif dans ce virus, au point de le rebaptiser “Covipox”. Bilan ? Bide.
Les covidéments, les homos hystériques et leurs lobbies LGBT++ nous avaient promis l’apocalypse après la rentrée scolaire…
Car c’est bien ce qu’on lit dans les livres de médecine du siècle dernier… ce terrible virus s’attaque aux enfants et aux femmes enceintes !
Et il est très contagieux via le linge de maison, la literie, les poignées de porte, l’air ambiant même… De quoi tous nous faire passer à la casserole.
Oui madame ! Enfin plutôt oui monsieur !
Et ?
Il ne s’est strictement rien passé.
Et le virus est resté obstinément dans la communauté des homos, avant de faire pschiit (ou plutôt… prout).
Pensée émue aux milliers de neuneus qui ont fait la queue -forcément- pour recevoir un vaccin contre… la variole (avec simplement une étiquette collée dessus à la UHU : “fonctionne aussi avec la variole du singe, jamais testé, jamais prouvé, faites nous confiance, signé : la FDA“).
La farce est ainsi totale. Et les mecs ont dû ravaler rapidement leur tube de gel lubrifiant désinfectant.
La sodomie est aussi -parfois- un acte mental.
On s’ennuie donc viralement parlant.
La concurrence est forcenée. Le Spectacle est partout… ailleurs.
Ukraine, Russie, inflation, énergie en folie, indices boursiers dans les chaussettes, banques centrales zombies, acte de guerre contre les pipelines, menaces nucléaires, sans oublier les cols roulés de Burno Lemerde etc.
Le bordel est total, grandiloquent, assourdissant.
Et dans l’espace, plus personne n’entend hurler Delfraîchi, Karine Labombe, Olivier Variant et toute la bande des sinistres drilles.
Le couillonavirus est perdu dans l’espace intergalactique.
Le vaisseau Pfizer fait “bip, bip”.
Quant au Merdena, il s’est crashé comme une grosse bouse sur la planète Danstoncul ZOB4559.
Nous sommes orphelins.
Il est peut-être temps de fermer boutique, de se barrer… et de demander l’asile politique à Moscou.
Ou à Pékin.
Ceci est un oeuf pondu par l’alien Karine Labombe. Il n’a pas encore éclos. On peut craindre le pire.
Je ne préciserai ni les dates, ni le lieu, ni les circonstances précises afin d’éviter une descente de la DGSI ou d’agents chinois venant dans ma villa -de plain-pied- pour me défenestrer…
Une certitude : je ne suis pas mort. 😉
Et c’était avant Omicron…
Vous devrez donc me supporter encore longtemps…
Ca commence un samedi soir. Deux nuits de suite, j’éprouve une sorte de pincement au coeur, un poul “lourd”, au point d’en faire une grosse insomnie, bien velue.
Je commence à échaffauder des plans pour réaliser un checkup “cardiaque” à l’hosto local… Mon hypocondrie n’est plus à démontrer. mais je la maîtrise. Je n’imagine pas une seule seconde qu’il puisse s’agir du couillonavirus. Alors qu’en fait c’est bien lié à un cluster Covid. Un membre de ma famille a ramené la merdouille à la maison.
Le lundi ces sensations cardiaques s’estompent, une journée normale. Mais mardi au réveil, crac, les symptômes sont bien là. Etat grippal caractérisé. Fièvre, tête dans le cul, douleurs aux lombaires, aux articulations.
Envie de tuer la terre entière et de dormir pendant 3 mois (en même temps, ou l’un après l’autre, c’est selon).
Je fais un test antigénique rapide (salivaire) : positif.
Bingo. J’ai gagné le cocottier.
Je vais faire un test PCR pour confirmation.
Résultat positif, avec une charge virale importante (CT bas).
Je charge l’ivermectine à 0,4 mg/kilo le 1er jour. Puis 0,6 les 4 suivants. Je suis équipé d’un oxymètre : tout est normal de ce côté.
J’ajoute tout le who’s who des sorciers : zinc, vitamine D, aspirine, vitamine C, curcuma, bains de bouche à la chlorhexidine, etc.
Hélas, j’arrête le pinard. 😉
Je décide d’écouter les conseils du doc local, et je m’enferme à l’hosto (privé) pour des examens : radio pulmonaire, tests sanguins etc. (pour lui en réalité, il s’agit d’un emprisonnement, mise en quarantaine).
Ca ne mange pas de pain, mais ça coûte un bras. Ne lésinons pas. D’autant qu’au même momentje perds l’odorat et le goût… eh oui la totale… Ce qui signifie que ce n’est pas fini… Re-zut.
Bref, si la saleté s’avise de descendre sur mes poumons, nous pourrions alors réagir.
Au final, j’ai passé 1 semaine à l’hosto.
Il s’agit pour une large part d’une machine à fric, d’une arnaque.
Et une machine bâtie sur un malentendu : un hôpital c’est conçu pour traiter des malades… pas pour les maintenir en quarantaine !
Mais les Thaïs ont du mal à comprendre cette évidence.
Ce système privé, parallèle, qui est monnaie courante en Asie, préfigure ce que vous vivrez bientôt… Eh oui avec votre Sécu de merde qui coûte un max, toujours en déficit et vos “mutuelles” qui s’ajoutent par dessus… l’ensemble ayant dépassé depuis longtemps le point de non retour…
Au final : vous paierez toujours “un pognon de dingue”, comme des… “malades”, c’est le cas de le dire, mais en prime vous serez soignés comme de la merde (le Covid étant un amuse-bouche “restez chez vous, prenez du paracétamol ! “, avec des prélèvements zociaux à 17,20 %, tu parles d’une enculerie !).
Ici en Thaïlande, à Bangkok, “parce que je le vaux bien“, je peux faire une séance de scanner Low Dose (avec une machine spatiale flambant neuve signée Siemens, heil !) le lendemain, si je veux.
Pourquoi ? Juste pour le plaisir.
Une opération de chirurgie ? Une colonoscopie dans la joie et la bonne humeur ? 24 h d’attente, à peine. Et pour le prix, vous avez une chambre de luxe, et pour vous faire oublier le vôtre (plat et avachi), le cul de l’infirmière sera fabuleux, son sourire sera solaire, coup de foudre dans la seringue et sous la blouse, et plus si affinités.
Mais je m’emballe. 😉
Le tout à condition de banquer.
Je referme cette parenthèse.
Mon hospitalisation a donc été “conseillée“, j’ai dit jokay pour blinder le pronostic. Mais ce n’était pas nécessaire.
Après la période de quarantaine obligatoire achevée dans ce putain d’hosto, j’ai retrouvé une vie normale. Avec malgré tout quelques manifestations… cutanées… aussi étranges que fugaces, et mon odorat et mon goût toujours dans les chaussettes… pendant plusieurs semaines.
Alors que retenir de cet épisode couillonaviral (je le répète avant le rhume Omicron) ?
D’abord l’ironie bien entendu. Moi l’un des pourfendeurs enragés de cette saloperie, pouf, je passe à la casserole.
Evidemment.
Vous avez le droit de vous foutre de ma gueule. J’assume totalement.
L’autodérision est une des conditions sine qua non de la résistance mentale.
A un moment, au pic de l’état grippal, dans mes délires nocturnes, j’imaginais même avoir été victime d’un empoisonnement mené par un gang d’agents du PCC ! 😉
C’est dire si j’étais impliqué.
Rétrospectivement, je préfère y voir l’expression (ironique) du journalisme gonzo qui est mon modèle.
C’est-à-dire l’immersion personnelle.
Donc voilà, j’ai goûté au couillonavirus. Mais je n’ai pas eu un Covid grave avec atteintes pulmonaires. Je m’en sors donc très bien, comme 99,900225555876899710377 % des gens sur cette satanée planète.
Est-ce que cela a changé mon analyse de fond quant au virus ?
Pas le moins du monde.
La prochaine fois, je passerai au protocole Raoult (HCQ et azithromycine).
Pourquoi ?
Pour varier les plaisirs et emmerder les covidéments.
Ceux qui me lisent depuis le 20 juillet 2020 connaissent mon mantra : chaque jour qui passe affaiblit les explications couillonavirales classiques (“ils font des erreurs“, “on n’a pas assez de données” etc.) ainsi que les explications subsidiaires, aussi aberrante (“c’est pour enrichir Big Pharma” etc.).
Plus ça dure, plus la covidémence révèle mécaniquement sa nature extraordinaire.
Pourtant, le virus ne semble pas être à la hauteur, ce n’est pas Ebola.
Conclusion : la covidémence est bel et bien une conspiration.
J’ai proposé dès le début une pilule rouge (psyop organisée par la Chine afin d’affaiblir l’Occident, dans un monde sous contraintes en terme de ressources).
Mais il y a un problème.
Car plus ça dure, plus cela renforce aussi l’angle “arme biologique” de la covidémence et donc… la dangerosité du virus.
Les 2 sont liés. Car une arme biologique est forcément dangereuse… Qui s’amuserait à fabriquer un “rhume” et à le déployer sur la planète ? Ou alors… pour provoquer une “vaccination” qui elle serait l’arme ? 😉
On revient en quelque sorte au point de départ.
Discours typique : “Deux ans que ça dure, tous les gouvernements de la planète continuent d’agir comme si le virus était hyper dangereux… donc il est hyper dangereux, ils nous cachent le fait qu’il s’agit d’une arme biologique”.
Autre version : “Deux ans que ça dure, tous les gouvernements de la planète font tout pour nous vacciner alors que la maladie est peu dangereuse, donc cela cache quelque chose de terrible : c’est une arme biologique à effet retardé”.
On dispose désormais d’une importante littérature quant aux effets du virus : les poumons, le système immunitaire qui s’emballe, les problèmes vasculaires, les caillots sanguins etc.
Le virus a plusieurs moyens/voies pour abîmer/détruire l’organisme (déjà affaibli, un point à ne jamais oublier).
Il ne tue que des gens… déjà morts (en gros).
En revanche, personne ne se retrouve en réanimation avec les poumons fondus, plusieurs mois après avoir été infecté.
Tout le monde sera d’accord sur ce point.
Mais quid des effets neurologiques ?
Car enfin, ce virus a une particularité… il peut s’attaquer au cerveau.
On pense bien entendu aux symptômes immédiats : la perte du goût et de l’odorat…
La science est comme un enfant en bas âge face au cerveau… On accumule des connaissances mais à une échelle toujours réduite face à sa complexité.
Dès lors, une question surgit : le Covid pourrait-il, en tant qu’arme biologique, avoir des effets long terme sur le cerveau ?
Voilà la deuxième pilule rouge.
D’où mon titre.
Résumons :
-c’est désormais évident le Covid est bien une situation du type “pilule rouge/pilule bleue”… entre ceux qui réfléchissent et les covidéments neuneus qui gobent le spectacle.
-mais, le problème se complexifie… car nous pouvons avoir 2 pilules rouges.
Laquelle choisir ?
😉
Personnellement, je rejette la deuxième, je tente simplement de comprendre le fonctionnement des covidéments, voire de l’anticiper.
La problématique de la durée, de l’obstination ahurissante, extraordinaire au sens propre, des gouvernements du monde entier… sont des arguments que les covidéments peuvent retourner en quelque sorte, pour justifier et renforcer encore davantage leur comportement.
Car n’oublions pas que le premier symptôme du couillonavirus est… la paranoïa.
One pill makes you larger
And one pill makes you small
And the ones that mother gives you
Don’t do anything at all
Go ask Alice
When she’s ten feet tall
And if you go chasing rabbits
And you know you’re going to fall