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Vaccinocide

Pays-Bas : mystérieux excès de mortalité en 2022

Il se passe quelque chose de mystérieux qui laisse les “scientifiques” (ne riez pas) :

  • perplexes
  • déconcertés

(ce sont les mots utilisés par les journalistes 😉 ).

Quoi ?

Des morts en surnombre.

En clair : des gens, jeunes, vieux qui meurent alors que statistiquement, ils NE DEVRAIENT PAS MOURIR.

Quand ?

Fin 2021, mais surtout en 2022.

Où ?

Royaume-Uni, Etats-Unis, Chypre, Islande, Canada, Espagne, Portugal ou encore Israël, sans oublier des signaux en France.

Et maintenant… aux Pays-Bas aussi.

Ainsi, cet article publié le 8 septembre dans Volkskrant, qui est un grand quotidien néerlandais, respectable, bien propre sur lui et appartenant au camp du Bien… comme… Le Monde.

Vous l’aurez compris, tout l’inverse d’un blog complotiste russophile d’extrême-drouâte islamophobe et transophobe comme le mien.

Voici la traduction française (made in Gogole).

Des centaines de Néerlandais meurent chaque semaine plus que d’habitude, et personne ne sait pourquoi

Les chercheurs ne comprennent toujours pas pourquoi plus de Néerlandais meurent que la normale depuis près de six mois maintenant. Une réponse ne peut être trouvée qu’avec les données du RIVM et des GGD, mais ils gardent la porte fermée pour des raisons de confidentialité. (source)

Même si Google a du mal à revêtir les habits et la perruque de Molière, cette nouvelle ne souffre aucune mésinterprétation !

Attention, les “centaines” doivent être rapportées à la population des Pays-Bas (17,44 millions d’habitants seulement).

Comment ?

La problématique est aussi simple que tragique : il est impossible de tricher avec le nombre de morts.

On peut bien entendu mentir au sujet des causes de ces décès (la terrible pandémie couillonavirale fut un cas d’école à cet égard)… mais un mort reste un mort.

Personne dans les grands pays occidentaux ne peut les dupliquer, ou au contraire les faire disparaître une seconde fois…

L’état-civil est d’or : on connaît la date du décès, ainsi que l’âge et le nom de la personne décédée (l’Insee publie ces fichiers nominatifs, voir ici).

Pourquoi ?

Quelque chose tue des gens depuis fin 2021 et en 2022. Ce n’est pas la canicule (même si bien entendu en plein été ça joue).

Ce n’est pas uniquement le stress provoqué par la guerre en Ukraine, les factures d’électricité ou la sale gueule d’Elisabeth Borne (qui ça ?).

Ce n’est pas uniquement la malbouffe, le téléphone mobile, le Wifi, le pinard, la came, la canicule (ou le froid), la pollution, les fins de mois difficile… Tout ceci existe depuis longtemps.

Il y a forcément un nouveau facteur.

Les produits géniques ARNm injectés à des centaines de millions de personnes dans des dizaines de pays (sauf… Chine, Inde, Russie, Afrique) commencent ainsi à révéler leur nocivité… à moyen puis long terme.

Ils ont déjà blessé et tué à court terme (myocardites juste après les injections, caillots sanguins etc.).

Après

Ne vous faites aucune illusion. Cette surmortalité anormale sera officiellement mise sur le dos du “Covid”, de ses nombreux variants et de ses effets délétères au long cours…

Des covidéments zélotes tiennent déjà ce discours depuis de nombreux mois. Pour eux le Sars-Cov2 est un virus terrifiant qui tue et va continuer de tuer (d’où le “Zéro Covid” qu’ils mettent en avant comme seule solution avec la “vaccination” bien entendu).

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Asie Vaccinocide

Thaïlande, indemnisation du vaccinocide : mise à jour

La Thaïlande continue son petit bout de chemin (comprendre en terme d’indépendance).

Depuis le début de la campagne d’injections (avril 2021)… elle a créé un fond d’indemnisation… pour les décès et les blessures PROVOQUES… par les vaccins !

Hein ?

Si, si. C’est leur VAERS, système de pharmacovigilance… mais concret.

J’avais consacré 2 articles à ce processus :

Lien : https://covidemence.com/2022/01/19/la-thailande-admet-que-les-vaccins-blessent-et-tuent/

Lien : https://covidemence.com/2022/04/09/thailande-indemnisation-des-victimes-des-vaccins-mise-a-jour/

La presse vient de publier une mise à jour chiffrée (source Bangkok Post).

-21 139 dossiers ont été déposés au total

17 559 ont été acceptés (respectant les “critères” etc.)

Et parmi eux on compte :

  • 4 441 morts (!) (versus 2 264 au 9 avril 2022)
  • 11 331 blessés (à des degrés divers)
  • 505 blessés à vie

Ces chiffres sont bien entendu liés à la vaccination, de manière immédiate. Cela reflète donc les effets nocifs des produits juste après leur injection…

Il faut donc ajouter les familles qui n’ont pas pu prouver le lien, ou celles qui ont souffert d’un manque d’information (dans les campagnes) et surtout les décès/blessures provoqués avec effet retard.

Le gouvernement ne donne pas, bien entendu, la répartion PAR PRODUIT (le pays a utilisé… de nombreux “vaccins”)…

Les données sont FORCEMENT connues, mais pas communiquées. Trop explosives ? 😉

En tout cas, c’est déjà remarquable que ce fond puisse exister et que les autorités admettent de payer cash –une partie– des pots cassés.

Le principe d’une “compensation financière” liée à la mort est très enraciné en Asie.

Ainsi, vous avez le droit d’écraser un mec en voiture et de vous en sortir (judiciairement parlant)… si vous avez de l’argent et que vous “indemnisez” la famille de la victime, en faisant acte de contrition, en demandant pardon.

L’argent “compense” le décès, lave l’affront, calme la douleur, permet de faire le deuil…

Ca peut sembler choquant en Occident, mais pas ici.

L’Asie est moins hypocrite que nous ; toute vie… a un prix.

POST-SCRIPTUM

Je parlais d’indépendance. Le fonds d’indemnisation en est une preuve. Ou encore l’étude réelle menée sur des adolescents réels quant aux effets réels (nocifs !) du produit de Pfizer (lire ici).

A ma connaissance, c’est le seul pays au monde dans lequel des chercheurs ont pu mener une telle étude… et surtout publier leurs résultats !

Mais en même temps, des pans entiers du système politique sont asservis à l’OMS. Ainsi, les autorités du pays ont commandé 3 millions de doses de la version “pédiatrique” du poison de Pfizer et appellent au dosage… des bébés de 6 mois à 5 ans (source) !

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Vaccinocide

ARNm : heureusement vous n’êtes pas des souris… ah si…

La ressemblance est frappante ! C’est bien vous, là, sur la photo !

Nouvelle étude (pré-print)… réellement nouvelle.

Lien : https://www.biorxiv.org/content/10.1101/2022.03.16.484616v2.full

Les auteurs se concentrent sur… les “LPN”… Comprendre : les nano particules lipidiques dans les produits  Pfizer/Moderna qui sont les “véhicules” pour balancer le code ARNm dans vos cellules.

En clair : on ne parle pas ici des fameuses protéines “Spike” (qui sont ensuite produites).

Voilà l’originalité.

Résultats ? Ces saloperies seraient… inflammatoires. Et longtemps (in vivo).

Pire encore, à partir de tests réalisés sur des souris, les auteurs relèvent :

-l’exposition à ces fameux LPN… accroît la résistance à des virus du type grippe

-mais réduit la résistance… aux Candida Albicans (champignons) (en raison d’une baisse des neutrophiles).

Bref, cela met le souk dans les différents types de réponse immunitaire (innée et adaptative).

the mRNA-LNP vaccine platform induces long-term unexpected immunological changes affecting both adaptive immune responses and heterologous protection against infections.

Et pire :

Certains de ces traits (immunologiques)… seraient transmis aux descendants… !

The new anti-COVID-19 mRNA vaccines’ immunological effects beyond inducing certain protection against SARS-CoV-2 infection are poorly understood. Based on our earlier studies demonstrating the pro-inflammatory properties of the LNP platform used in these vaccines, we report that pre-exposure to the mRNA-LNP platform has long-term impacts on both innate and adaptive immune responses, with some of these traits being even inherited by the offspring.

Au-delà des polémiques, et des détails donnés dans cette étude… une expression résume tout :

Poorly understood

C’est l’évidence même. On comprend mal les effets de ces produits sur notre système immunitaire.

C’est pourquoi tous les discours du type “ces produits sont sûrs” et “efficaces à XXXX %” constituent une vulgaire réclame.

De la communication publicitaire.

Les véritables tests, à grande échelle, ont commencé le 19 décembre 2020 en Israël, et ensuite dans de nombreux pays. Et ils se poursuivent encore à ce jour.

Les centaines de millions d’injectés dans le monde… sont des souris de laboratoire.