Mea maxima culpa. J’avais oublié le livre d’Alexandra Henrion Caude !
Un ami joua à la valise diplo, via AirFrance, et me refila un exemplaire (peu après sa sortie). Hélas de nombreux autres bouquins en anglais s’ajoutèrent ensuite sur la pile…
Hier, j’en ai eu marre de The Great Demographic Reversal (livre très indigeste, même si la thèse est fascinante).
Et surtout, j’en ai eu ras le casque à pointe du Moyen-Orient, du Hamas et du houmous…
Alors ?
Alors back to basics comme on dit chez Monoprix : le Covid !
Et donc le livre au sujet de l’ARNm.
😉
Ah ! Le couillonavirus…
C’est comme un ami cher qu’on n’aurait pas embrassé depuis longtemps… N’est-ce pas ?
Bref.
Ne commettez pas la même erreur que moi. Courez ! Achetez et lisez les Apprentis sorciers. Offrez un exemplaire à votre tonton, votre tata, vos enfants, vos amis, votre femme de ménage. Et, même vos collègues de bureau.
Ce livre est passionnant.
Je ne reviens pas sur la personnalité de l’auteur, chercheur en génétique, directrice de recherche à l’Inserm, post doctorat à la prestigieuse Harvard Medical School.
Son CV est inversement proportionnel au nombre de neurones d’Olivier Véran, et son visage est devenu familier durant la covidémence, son léger accent aussi (franco-britannique).
Alexandra Henrion Caude rappelle qu’entre 2000 et 2020… il y eut de nombreux essais de “vaccins ARNm” :
- 2000-2014 : cancer prostate
- 2005 (pendant 15 ans) : cancer peau
- 2009 : cancer poumon
- 2009, 2016, 2019 : VIH
- 2013 : la rage
- 2015 : cancer du cerveau et moelle épinière
- 2015 : grippe aviaire
- 2016 : insuffisance cardiaque associée au diabète type 2
- 2016 : Zika
- 2019 : cancers gastro-intestinaux
- 2020 : VRS (virus respiratoire syncytial)
Vingt années de recherches et plus de 70 essais cliniques avec pour seul résultat : des bides.
Bides, bides et encore des bides.
Mais pour le Sars-Cov2, en 2020… roulement de tambours et piqûres marchant au pas de l’oie… tout fut différent !
En :
- un seul week-end (pour la conception)
- quelques semaines (fabrication des produits prototypes)
- quelques mois (essais cliniques foireux, voire truqués)
… on vous a affirmé de manière obsessionnelle, fanatique, 24h sur 24 que les “vaccins ARNm” de Moderna et de Biontech/Pfizer contre le terrible coronavirus qui allait tous nous tuer plusieurs fois de suite étaient “sûrs et efficaces“.
C’est cela le plus étrange.
Tout est public. Les 20 années de recherches, les échecs répétés sont documentés, sont en ligne.
Idem pour la crapulerie de Pfizer, condamnée en justice à de multiples reprises, la veulerie de Moderna (qui ne vend RIEN à part des délires à des investisseurs gogos), les pratiques de Big Pharma, les scandales, la corruption, les morts, etc.
Les (vrais) professionnels donc SAVAIENT.
Mais le message fut bloqué, délibérement, avec des moyens considérables et une énergie qui continue -aujourd’hui- de dépasser l’entendement.
La lâcheté, la corruption et l’idiocratie parachevant le processus, la psyop il n’y a pas d’autre mot.
A cette occasion, on a pu constater le nombre de crétins bac + 15… incapables de lire un livre ou un article, de faire quelques recherches sur Internet, ou de s’appuyer sur le bon sens, sans oublier un corpus scientifique vieux de plusieurs DECENNIES.
Blackout médiatique total.
Le simple fait, non pas de formuler des hypothèses, mais d’évoquer le passé ainsi que des données déjà connues et publiées… devint un acte révolutionnaire.
Cela fit de Henrion Caude bien sûr une dangereuse complotiste, extrémiste (catholique et 5 enfants !), très sûrement liée à Poutine (ah non pardon, ça c’était après, avec l’invasion de l’Ukraine), disons d’extrême-droite.
Bref, une personne infréquentable.
Au début de son livre, elle rappelle également… la science, la vraie, pas celle de BFM, CNN, Libé ou Le Monde.
La famille de l’ARN est très nombreuse : il y en a des longs, des courts, des circulaires, et bien d’autres encore.
Pour ne citer que les essentiels, nous avons : les ARNt, les ARNr, les microARN, les ARNsi, les ARNsh, les ARNpiwi, les ARNe, les ARNlnc, les ARNsn, les ARNsno, les ARNsca, les ARN hôtes d’autres ARN, les ribozymes, les ARNcirc, les ARNvt, les ARNy et bien sûr les ARNm…
Alexandra Henrion Caude s’est même payée le luxe de découvrir un rejeton de la sous-sous-famille des microARN : les MitomiR (qui font le lien entre nos cellules et les mitochondries) !
Une ligne supplémentaire sur son CV qui fout franchement la honte à Albert (Bourla, le patron de Pfizer), Olivier (Véran) le pseudo neurologue gouvernemental, et tous les autres clowns parlant de l’ARN avec une assurance confite dans la neuneuitude, et qui font des dessins d’enfants autistes.
Ajoutons dans ce brouet fou, à cette famille à l’arbre généalogique démentiel, les extraordinaires capacités des ARN et le fait qu’ils sont au coeur de l’épigénétique (transformation de nos gènes, de leur expression en fonction de notre environnement, physique et même… émotionnel).
… Alors la vérité, donc le Réel, apparaît dans un vertige à couper le souffle : on ne connaît que le quart du tiers de la moitié de cet univers.
Mais répétons-le, pour le SARS-Cov2, pouf, crac, houla hup barbatruc, en quelques mois tout fut réglé.
Dé-fi-ni-ti-ve-ment.
“Sûrs et efficaces“.
Qui a pu croire un tel délire, une telle farce ?
Des centaines de millions d’individus à qui on a menti par hubris, bêtise, intérêt, méchanceté même (et traîtrise aussi, car ce fut une attaque dirigée contre l’Occident).
Des centaines de millions d’individus qui au mieux furent transformés en rats de laboratoire.
Ou au pire délibérement empoisonnés.