Saperlipopette ! Les cigognes ont décidément bien du mal. A force de migrer… trop loin, trop fort, elles n’arrivent même plus à rejoindre l’hémisphère sud. On les tire avant comme… des canards.
Le nombre des naissances dans les hôpitaux publics en Nouvelles-Galles du Sud au premier trimestre 2023 a ainsi chuté de 9,2 % par rapport à la même période 2022 (source The Sydney Morning Herald).
Rappelons que cet état australien (capitale Sydney) compte 8,16 millions d’habitants (de 2007 à 2017, la population de l’état a augmenté de 15 %).
En graphique, ça donne ceci :
En ajoutant les autres sources de données, la chute est encore plus prononcée au premier trimestre de cette année (20 435 naissances au total contre 24 693 naissances, soit -19 % !)
Le quotidien interroge une démographe sur le pourquoi du comment. Elle est formelle :
Dr Liz Allen, a demographer at the Australian National University, said the decline in births was due to both short-term factors – such as couples bringing forward their pregnancy plans during COVID – and longer-term factors such as concerns about housing and climate change.
Non, vous avez bien lu : c’est la faute du changement climatique. 😉
Et puis la chèreté des maisons aussi.
Mais nous sommes un brin surpris par le docteur Liz Allen.
Et l’Ukraine alors ? Hein ! Les trucs importants ! Nom de dieu !
Ainsi, les gens sérieux savent que le Méchant Poutine (TM) fait DEBANDER tous les Européens.
Cette flaccidité politique d’extrême-droite raciste et transophobe… provoquant ensuite une chute des naissances sur le continent.
Cause et effet.
POST-SCRIPTUM
J’ai un peu la flemme, mais il faut tenir compte des nouveaux lecteurs…
Cette baisse, voire même chute du nombre des naissances 2022/2023 est un phénomène… qui touche de nombreux pays.
Et bizarrement vous l’aurez compris… des pays largement “vaccinés” contre euh… le Covid…
Et deuxième fait troublant, il s’agit de pays occidentaux… ceux qui ont eu la “chance” de goûter aux délices des… produits ARNm (vous savez les produits expérimentaux, qui n’ont aucun efficacité contre le “Covid”, une maladie bénigne pour l’écrasante majorité de la population mondiale, et qui provoquent surtout des effets secondaires graves, et très nombreux…).
Et pourtant, des gens meurent. En trop. Paf. Alors qu’ils ne devraient pas (trop jeunes, trop… en bonne santé, si, c’est un nouveau concept).
L’Insee vient de publier un article gratiné concernant la surmortalité en 2022…
On rappelle que dans notre glorieux pays seuls 20 % des certificats de décès sont électroniques… le reste ce sont des montagnes de papiers transportés par chaise à porteurs et malle postale, le long des routes départementales traçées par Napoléon Bonaparte…
Et en cours de route, il faut s’arrêter chez l’aubergiste pour se sustenter, lutiner la jeune servante (c’est important) et nourrir les chevaux (c’est important aussi).
Bref, nos fonctionnaires ont besoin de temps, de beaucoup de temps pour compter tous ces cadavres. Et les centraliser à Paris (les additions s’effectuent sur des PC équipés de Merdosoft Windows 3).
Rappelons également le contexte général :
la pseudo terrible pandémie couillonavirale est terminée, même si des virus continuent de faire éternuer et qu’on annonce le retour de la grippe de papa-maman (qui avait eu le bon goût de disparaître totalement en 2020 pour laisser la place au “Covid”… la grippe, elle est polie, elle ne pratique pas le refus de priorité).
des surmortalités inexpliquées frappent de nombreux autres pays occidentaux.
Nous sommes donc en pleine coïncidite. Ainsi qu’en régime “baffled“.
J’aime ce mot anglais, il est très musical.
Reformulons : les scientifiques, les médecins légistes, les démographes, les journalistes… tout le monde est “baffled“…
Personne ne comprend le pourquoi du comment, et personne ne retrouve ses corrélations au milieu de ses causalités, à moins que ce ne soit l’inverse.
Aussi, ne soyons pas surpris de voir les fonctionnaires de l’Insee (des mecs qui parlent d'”ajustement quantitatif hédoniste” pour calculer le taux d’inflation…)… donner leur propre explication -bien maladroite- à cet énième mystère mystérieux.
La chaleur (avec en plus la grippe, une valeur sûre quand on manque d’inspiration).
Eh oui ! En bon français : la canicule. 😉
C’est pratique la canicule. Elle a fauché des milliers de vieillards en 2003. Donc les gens font le lien.
La chaleur donc tue. Ou en tout cas participe au massacre.
Comme d’ailleurs le sport, sans oublier la “bonne santé” (cause possible du syndrome… de la mort subite de l’adulte, si, si).
Autre cause révélée récemment par les scientifiques : la jeunesse.
Oui, la jeunesse tue aussi !
Et si vous cumulez les trois :
vous êtes jeunes
vous êtes sportifs
et en plus vous êtes en bonne santé
… alors là mes chéri(e)s, vous ne le savez pas encore, mais vous êtes déjà presque décédé(e)s.
En sursis quoi.
Mais l’Insee s’occupera de vous plus tard. Revenons à ceux qui sont déjà enterrés.
Je vous invite à lire l’article de l’Insee. C’est un chef d’oeuvre de circonvolutions, de coupage de poils de cul en 16, de mensonges, de veulerie, d’hypocrisie suintante.
Ca sent si fort son Courteline pratiquant une feuille de rose au chef de service.
-ils parlent -pour la première fois- d'”effet moisson“, vous savez le truc complotiste présenté par Pierre Chaillot, dès 2020 dans ses fameuses vidéos… ! En 2020, il était interdit d’utiliser ce fait statistique connu… Mais en 2023 c’est désormais autorisé.
-et il faut attendre la fin du pensum, pour lire des phrases choc comme :
Chez les femmes âgées de 15 à 34 ans, la surmortalité est particulièrement élevée en 2022 (16 %), alors qu’elle était modérée en 2021 (3 %).
… validant ainsi les travaux publiés par Felicittina (voir ici).
Vous devez bien prendre la mesure d’un tel constat.
Une jeune femme de 15 à 34 ans c’est PAR DEFINITION un individu qui… NE MEURT PAS !
J’exagère mais à peine.
Les hommes du même âge, eux, prennent davantage de risques (conduite en état d’ivresse, drogues etc.), ils sont plus exposés, ils décèdent donc davantage, on le sait.
Mais une jeune femme de 15-34 ans ne meure JAMAIS de canicule, du Covid, du CO2, des frites mayo ou de l’abus de saucisses (ça vient plus tard !).
Alors ?
QUI A TUE CES JEUNES FEMMES en 2022 ? Ou plutôt quoi ?
Même si derrière le quoi… il y a forcément un qui.
Résumons :
-des gens décèdent alors qu’ils ne devraient pas (définition de la surmortalité).
-cette surmortalité se constate dans de nombreux pays occidentaux, au même moment.
-les mêmes pays qui souffrent d’un nombre anormalement bas de naissances.
… Peut-on trouver un fil d’Ariane ? Autre que le Réchoffemementklimatik (TM), Poutine, le CO2, le soleil, les virus qui font éternuer, les saucisses ou l’abus de vin rouge ?
Les poisons ARNm. Non ? Peut-être ? Eventuellement ?
Question subsidiaire : ces produits vont-ils continuer à tuer… alors que les injections sont devenus marginales ? Voire inexistantes, au grand désespoir de la SS-Oberst-Gruppenführer, Ursula von der Leyen, qui voudrait bien passer une nouvelle commande à son ami, le patron de Pfizer.
Un muscle cardiaque endommagé (myocardite) par une injection en 2021… peut lâcher subitement quelques mois ou années après.
Sans oublier les autres pathologies du type cancers, maladies autoimmunes… Là encore qui réclament un certain temps pour bien démolir les corps et les achever.
Bref. Vous connaissez la formule :
Sit back, relax and enjoy the show.
Le mal -si mal il y a- a DEJA ETE FAIT.
Il ne reste donc plus qu’à contempler le spectacle… la tragédie se dérouler, devant nos yeux…
… vierges de tout empoisonnement !
Eh oui, car vous… vous avez échappé à la démence, au crime, par raison ou simplement par intuition.
Vous avez ainsi gagné votre place… à l’orchestre. Ou au balcon.
Du paradis ? 😉
POST-SCRIPTUM
Que les choses soient claires. Tous les calculs, les comparaisons et les interprétations faits par l’Insee… sont nuls et non avenus.
Aucune valeur à part celle de déclencher le fou-rire et la consternation à la fois, tant ces gens sont compromis, tant ils ont démontré leur esprit collaborationniste depuis 2020.
Seules les données brutes de mortalité sont valides.
Et seul un statisticien honnête, normal, les pieds sur terre, sans conflit d’intérêt comme Pierre Chaillot (son livre à lire de toute urgence) sera en capacité d’analyser correctement de telles données.
Mon avis est qu’il se fendra très bientôt d’un article (ou une vidéo) pour mettre à plat les chiffres français.
En attendant, la plus grande circonspection s’impose.
POST-SCRIPTUM BIS
Quand je vous disais que mes pouvoirs médiumniques étaient extraordinaires ! Inutile d’attendre longtemps… quelques heures après… pouf… Pierre Chaillot balançait la sauce.
Certaines régions taquinent le -10 % (Nouvelle-Aquitaine). D’autres résistent mieux (Ile-De-France à -3,77 %, ou encore la Guyanne ou Guadeloupe sans changement).
Pourquoi de telles disparités ? Certains peuvent y voir… la main de dieu. Perso, j’y vois la main… de l’immigration.
De nombreuses femmes du tiers-monde (n’ayant pas eu la chance de goûter aux joies ARNm)… accouchent en France, et particulièrement en Ile-de-France.
Enfin, la Seine Saint-Denis (première maternité de France)… affiche une faible couverture vaccinale…
Ah ? Vous ne saviez pas ? Les musulmans (pardon, les “pauvres” dans la phraséologie gouvernementale)… sont plutôt rétifs à ces produits absurdes (on a constaté le même phénomène dans les Dom-Tom).
Mais tout ceci est une simple coïncidence. Forcément.
Pour les faibles en arithmétique, rappelons que les naissances de janvier à avril 2023… correspondent à une conception entre avril et juillet 2022.
Que s’est-il passé entre avril et juillet 2022 ?
En réalité, il faut remonter encore un peu arrière. Les naissances ont subitement “décroché” à partir de septembre 2022 (-7,7 % par rapport à septembre 2021), ce décrochage se poursuivant jusqu’à la fin de l’année, et sur 2023 après (-10,2 % sur octobre, -6,3 % sur novembre et -8,3 % sur décembre).
Septembre 2022 correspond à une conception en décembre 2021.
Donc que s’est-il passé à partir de décembre 2021 en France ?
La montée en flèche de la… 3ème dose de produit expérimental ARNm (source) avec la généralisation de la 3ème dose à tous les adultes + de 18 ans, à partir de fin novembre 2021, arnaque liée à un renforcement du “passe sanitaire” pour motiver les fortes têtes (mais sans contrainte bien entendu…)…
Mais vous connaissez l’expression : corrélation n’est pas causalité (suivi de “prout“, c’est important).
Après tout, peut-être que les Français à partir de décembre 2021 plongèrent dans une dépression carabinée et asexuée car ils en avaient marre de voir la sale gueule de Macron.
Pourquoi pas ?
Ou alors nos ovules et nos spermatozoïdes furent décimés par le méchant Poutine ?
Ah non, pardon Poutine c’est à partir de février 2022… Zut. Ca sonnait bien pourtant.
Et afin de mettre en perspective et juger ce -6,44 % sur les 4 premiers mois de l’année, je remets mon graphique (source Insee).
POST-SCRIPTUM
Et nos amis belges, hum ? J’ai fait l’effort de prendre les données ici :
D’abord, le graphique amplitudes sur les 20 dernières années.
On retrouve comme en France une baisse maximum en 2022 (-3,41 % par rapport à 2021).
Et on constate comme en France, un début de “décrochage” au dernier trimestre 2022 (septembre est à -8 % par rapport à septembre 2021, octobre -9 %, novembre -7 % et décembre -9%).
Mais ce décrochage est en réalité lié à un effet de base (poussée des naissances en 2021).
Ensuite, de janvier à mars 2023, la baisse se tasse avec -3,13 % par rapport au premier trimestre 2022.
On retrouve bien des disparités régionales.
La région Bruxelles capitale est à -3,73 % (T1 2023 par rapport à T1 2022).
Alors que les Flandres Orientales chutent de 6,63 %.
La Flandre Occidentale est à -1,76 %.
Bref, il faudrait creuser pour pister un éventuel lien avec les populations immigrées et/ou couverture vaccinale (à l’instar de la France, la 3ème dose monta en flèche fin novembre 2021).