
Pour rigoler, voici les titres successifs pondus par l’Insee, pour ses mises à jour mensuelles des naissances en France cette année :
- Janvier – Un nombre particulièrement faible de naissances
- Février – Un nombre de naissances toujours faible
- Mars – Un nombre de naissances toujours très faible
- Avril – Un nombre de naissances de nouveau très faible
Eh les gars, c’est un peu répétitif, non ? Trouvez des synonymes ou des périphrases ! Faites nous rêver !
Quelques exemples :
- silence on ne naît plus
- quand le vaccin Covid remplace le préservatif et la pilule
- ce qui est rentré, ne sortira pas. Plus jamais
- une piqûre ARNm n’est pas une piqûre d’amour
- spermatozoïdes vaccinés, sperme vicié
Les fonctionnaires bas de plafond de l’Insee n’apprécient pas notre humour. Tant pis.
Il faut dire que collabos n’est pas un travail facile.
Et depuis 2020, ils ont délibérément installé leurs pénates et leurs ordinateurs foireux (ceux qui calculent le taux d’inflation) rue Lauriston (ah la boulette, j’allais écrire “rue Fauciston“, pardon !)
Bref.
Alors ? C’est l’été, on a le sang chaud, la sève monte, où sont nos belles cigognes ?
Où sont les nouveaux-nés ? Les bébés ? Les p’tits Jésus Mohamed en culotte de velours-Nike ?
Hein ? Où ?
Dans ton cul !
L’Insee nous annonce ainsi pour le mois de mai :
Mai 2023 – La baisse du nombre de naissances se confirme
On appelle cela le comique -involontaire- de répétition…
Donc… c’est “confirmé” ? Vraiment ? Sans déconner ?
En cumul, sur la période allant de janvier à mai, on compte près de 20 000 naissances de moins en 2023 qu’en 2022 (soit une baisse de 6,7 %).
(en avril, nous étions à -6,44 %).
Au niveau des régions, la Nouvelle-Aquitaine continue sa grosse dépression (-9,68 %, contre -9,89 % en avril). Idem pour l’Occitanie avec -8,62 %. L’Ile-de-France, plus grosse maternité du pays, s’enfonce à -5 % (en avril, -3,77 %).
Zut.
On va continuer longtemps comme ça ? C’est quoi le projet ? Brûler la bougie par les deux bouts ?
On a déjà les vieux boomers qui ont le bon goût de passer l’arme à gauche (merci le… euh… le “Covid” et tous les autres miasmes de la Création, sans oublier le cancer de l’âme ainsi que la chiasse alsacienne).
Alors si en plus, le nombre des naissances chute, et continue de chuter… la France sera cuite.
Ah ? On me parle dans l’oreillette… Ce serait donc ça le projet ? Et on bouche les trous au milieu par… des docteurs en physique nucléaire importés d’Afrique et des mineurs non accompagnés âgés de 25 ans ?
Oui d’accord, là c’est cohérent. 😉
Redevenons sérieux une minute. Quelles sont donc les causes scientifiques de cette soudaine natalité déprimée ?
Les experts sont unanimes.
La… canicule.
Après tout dans “canicule” il y a bien le mot “cul” au féminin (ou version non binaire)… donc…
Ou alors… éventuellement… la sécheresse ?
Voilà !
Car c’est médicalement prouvé : la sécheresse vaginale, provoquée par le changement climatique… empêche la procréation !
Et toc !
Mesdames, vous connaissez désormais l’ennemi : le CO2, les strings trop serrés (et Poutine).
En prime, je suis de bonne humeur, je vous livre une idée marketing géniale : vendre un “vaccin ARNm pour faire des enfants“.
Vous le testerez vite-fait sur 3 souris et 2 vieillards (l’un au Brésil, le second en Afrique du sud), et paf, annonce à la presse “98 % d’efficacité“. Explosion du cours en bourse. Explosion de vos bourses. Fortune. Gloire. Reconnaissance. Votre rond-de-serviette chez Bill Gates.

POST-SCRIPTUM
Je recopie ce graphique important qui permet de juger cette baisse de 6,7 %. Car après tout… est-ce grave docteur ?
On voit bien que sur les 20 dernières années… l’amplitude est max -3 % à +3 %.
Donc -6,7 % (en 2023 par rapport à 2022)…. ce n’est pas normal.
A fortiori avec un effet de base très négatif (2022 était déjà en baisse prononcée par rapport à 2021).
Voilà pourquoi, il faudra trouver une explication un peu plus péchue que la “canicule“, le “pouvoir d’achat“, le “changement climatique” voire le méchant Poutine…
Les poisons ARNm qui foutent en l’air le système hormonal, qui saccagent les menstruations, qui peuvent s’attaquer aux ovules et aux spermatozoïdes… sont bien entendu la cause principale de cette chute (qui se constate au même moment dans de NOMBREUX AUTRES PAYS OCCIDENTAUX).
Il sera savoureux de voir jusqu’où les crapules oseront aller dans les délires orwéliens… pour tenter de trouver des explications. 😉
POST-SCRIPTUM
A la demande générale, j’ai modifié le graphique précédent, en ajoutant simplement 2023 et son fameux -6,7 % (5 mois) par rapport à 2022.
Sur 20 ans, c’est parlant, non ? 😉