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Hospitalisations : le gouvernement refuse de révéler le nombre de vaccinés

Au ministère de la Santé, Roger avec son Apple 1 est sur la brèche : il parviendra à “croiser les fichiers”. Peut-être. Dans 14 ans.

“J’ai fait CTRL D, avec F12, et la touche Pomme et ensuite un clic droit sur le mulot, mais je ne comprends pas, ça n’imprime toujours pas. Ca fait error 666”.

Ainsi s’exprime Roger, stagiaire informaticien âgé de 85 ans, dans son petit bureau au 3ème sous-sol du ministère de la Santé, avenue Duquesnes.

Le pauvre, c’est lui qui doit croiser les fichiers pour savoir parmi les couillonavirés hospitalisés et en soins critiques, combien… sont vaccinés !

Une question brûlante. 😉

Comme à mon habitude, je force un peu le trait… ou pas ?

Le Monde nous explique en effet que :

Le cloisonnement entre les différents systèmes d’information ne permet pas d’avoir des indicateurs exhaustifs, publics et régulièrement mis à jour. Or ces systèmes d’information ne sont pas reliés entre eux. Ainsi, difficile de savoir automatiquement si des personnes infectées, hospitalisées ou mortes ont été dûment vaccinées. Il était en conséquence difficile d’en tirer des statistiques globales. Dans son avis du 6 mai 2021, le conseil scientifique qualifiait ce croisement de fichiers comme une « priorité ».

L’Agence Santé publique France ment de manière éhontée :

Interrogée à plusieurs reprises sur le sujet lors de ses points presse hebdomadaires, l’agence Santé publique France (SPF) évoquait à la même période « un travail en cours » compliqué par des « contraintes réglementaires » et un « croisement des bases difficile ». Il fallait s’assurer d’identifier comme une seule et même personne un patient présent dans plusieurs systèmes d’information : « Il faut que le taux d’appariement soit extrêmement élevé. »

Est-il besoin de rappeler à tous ces guignols que pour les vaccinations et les hospitalisations… chaque patient est identifié par… son numéro de Sécu ?

Et ce dernier est unique… Alors ?

Le foutage de gueule est ahurissant, surtout pour la 6ème puissance du mooooooonde, dotée du feu nucléaire et d’un siège permanent au Conseil de Sécurité de l’ONU.

Pas capable de croiser des fichiers relatifs à la santé, sur la base d’un identifiant unique ?

La réalité est bien différente : le gouvernement traîne les pieds et ne veut pas divulguer ces données.

Car forcément elles dérangeraient… En montrant que toutes choses étant égales par ailleurs… euh… les vieillards multi pathologisés… continuent et continueront d’aller en réa, et de crever “du” Covid, avec ou sans vaccin.

Rappelons que les personnes âgées en général ont un système immunitaire dans les chaussettes… la vaccination contre la grippe le démontre chaque année (pas très efficace).

Castex et ses complices préfèrent par contre balancer des données très précises (comme quoi quand on veut on peut)… sur le nombre de vaccinés/non-vaccinés… parmi les tests PCR positifs !

Là encore la manipulation est grossière pour une raison évidente : seuls les non-vaccinés… se font tester.

Enfin, rappelons que les données provenant d’Angleterre et d’Israël démontrent que oui… des vaccinés âgés se retrouvent à l’hosto, voire en réanimation et que l’efficacité annoncée de “95 %” n’était qu’un fantasme de publicitaires aux ordres des grandes sociétés pharmaceutiques.

POST-SCRIPTUM

Pour donner une leçon de chose à Olivier Variant, voici l’exemple israélien.

What do we know about the 143 hospitalized people?

Article du Jerusalem Post.

Sur les 143 personnes actuellement covihospitalisées en Israël, 58 % sont totalement vaccinées, et 3 % partiellement vacinées.

Zut alors.

Plus fort encore, 20 personnes sont covimortes ce mois (contre 270 en juillet 2020, ouh la la tu la sens la 4ème vague)… 15 d’entre-elles étaient totalement vaccinées, soit 75 %.

Re-zut…

Et ce pauvre Olivier Variant qui n’a pas les données pour la France et qui continue de noyer le poisson en parlant de la proportion des non-vaccinés parmi les “cas”.

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Pan sur la piquouze : vaccin traditionnel versus produit ARNm

La drogue c’est mal. Apprenez à bien choisir votre poison.

Le docteur Maudrux a écrit sur son blog un petit bijou de pédagogie.

La première chose qui frappe depuis le début de la terrible pandémie est l’extrême méconnaissance… La vaste majorité des covidéments, enthousiastes ou/et influencés… ne cherche absolument pas à comprendre les mécanismes à l’oeuvre.

Faites ce test autour de vous : “bon Roger, assieds-toi, et explique moi la différence entre le vaccin BCG que ta fille a reçu et le produit de Pfizer que tu viens de prendre avec l’apéro ?”

Grand silence… parsemé au milieu des flatulences façon sphincters serrés de “euh”, “alors, “ouais”, okay je vois”, “donc c’est génétique tu vois”, “haute-technologie”, “désolé je dois y aller, j’ai piscine”.

Voici donc un copié-collé de ce vademecum raisonnable permettant en outre de désamorcer l’infâmante catégorisation de “antivax” (la version 2.0 de “fasciste”, “nazi”, voire même “populiste” au temps du Brexit et de Trump).

Injecter une protéine atténuée, c’est-à-dire un vaccin classique, on se défend en produisant des anticorps, OK.

 

Mais ici, on ne vous injecte pas la protéine, mais le mode d’emploi pour la fabriquer, vous la fabriquez, et après vous la rejetez avec vos anticorps.

 

Ce mode d’emploi, va rester gravé dans la mémoire de nos cellules, on peut continuer à en fabriquer ? Si un jour nos défense diminuent, on en refabrique trop ?

 

Et que devient ce mode d’emploi ?

 

Tant qu’à faire, je trouve qu’il est moins dangereux d’injecter directement la protéine, à petite doses, sans le mode d’emploi pour la fabriquer.

La pression psychologique et sociale est très intense. Et ne vous faites aucune illusion, elle va encore augmenter

La solution est donc de pratiquer la taqîya de nos amis musulmans…

Du style :

Je suis 100 % pour les vaccins, y compris contre le Covid. Mais je préfère prendre un vaccin traditionnel, à virus atténué.

De quoi désamorcer, neutraliser (un peu) la violence exercée contre vous, au quotidien.

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Pfizer, myocardites : risques confirmés en France

Quelle surprise !

Après Israël (info du… 2 mai), l’OMS, et les Etats-Unis, l’ANSM confirme à son tour… les risques de myocardites en effets secondaires du produit de Pfizer.

Au début, les fonctionnaires français parlaient de “signal potentiel” et jugeaient “possible” le rôle du produit.

Ils viennent de découvrir la règle du type “l’eau ça mouille” : les mêmes causes produisent les mêmes effets…

Dans leur dernier bilan de pharmacovigilance, ils notent ainsi :

S’agissant de Comirnaty*, le bilan publié vendredi, qui porte sur la période du 11 au 24 juin, classe désormais les cas de myocardites parmi les “signaux confirmés“.

Il est fait état de 45 cas, dont 14 cas chez des personnes de moins de 30 ans, depuis le début du suivi. La majorité des cas sont rétablis ou en cours de rétablissement.

Les Sherlock Holmes se sont dépassés puisque :

Une analyse a mis en évidence un “excès du nombre de cas rapportés avec le vaccin Comirnaty par rapport au nombre attendu dans la population générale de moins de 50 ans” et le comité de suivi retient désormais l’hypothèse d’un rôle du vaccin dans la survenue des myocardites.

Allô Olivier Variant ? Un commentaire ?

Mais comme d’habitude, la suite devient totalement patascientifique voire patagaguesque…

“Cet effet indésirable rare, d’évolution favorable, ne remet pas en cause le rapport bénéfice/risque du vaccin”, estime l’ANSM.

Ah bon ? Mais si j’ai 30 ans, voire même 18, aucun risque de Covid, et que ce produit endommage mon coeur (le muscle cardiaque ne se régénère pas)… je fais quoi ? J’envoie une carte-postale à Emmanuel Macron ou Olivier Variant ?

Et un plaisir n’arrivant jamais seul, on note que ce produit provoque… d’autres effets secondaires… cardiaques ! Plutôt chez les femmes cette fois, pas de jaloux.

Par ailleurs, 95 cas de péricardite ont été signalés depuis le début du suivi. Ils ont majoritairement concerné des femmes, âgées en médiane de 61 ans et 51 cas sont rétablis ou en cours de rétablissement. Ces événements restent classés parmi les “signaux potentiels”.

Mais n’allons pas trop vite… Il ne faut pas brusquer les choses. Laissons du temps au temps (et injectons des millions de doses suppplémentaires afin d’avoir encore plus d’incidents).

Pour l’instant c’est “potentiel “.

Ouf.

Attendons donc le prochain bilan.

POST-SCRIPTUM

Je vous conseille de lire témoignage d’une mère… Son fils de 18 ans a reçu sa première dose de “vaccin” le 4 juillet.

Voilà le résultat. Myocardite, soins intensifs etc.

Lien : https://lemediaen442.fr/temoignage-de-celine-caron-mon-fils-de-18-ans-a-fait-une-myocardite-suite-au-vaccin/