En représailles, le labo américain vient de bloquer la dernière livraison de 700 000 doses… Allant même jusqu’à utiliser l’expression de… “république bananière” !
Oh ! Cela frise l’antisémitisme…
La banane oui. Par contre pour la république (à coup d’étoile jaune 2.0 et de fanatisme covidémentiel) on repassera.
Vous l’aurez compris… voir les vautours se bouffer entre-eux… est un grand motif de satisfaction. 😉
On rappelle que Pfizer et Israël ont signé un accord faustien du type “tes doses contre mes données“. Voilà pourquoi le pays a été arrosé de suffisamment de doses pour lui permettre une campagne d’injection massive (lancée le 19 décembre 2020).
Le labo se payant ainsi un essai clinique (phase 3, si, si)… à l’échelle d’un pays.
Et le premier ministre espérant se refaire une virginité électorale sur le dos de la santé de ses concitoyens (les résultats des élections fin mars… ne sont, à cet égard… pas très clairs).
Pour rire, voici le graphique long, 1er mars 2020 au 10 avril 2021, des cas et des décès, par jour, moyenne mobile 7 jours.
Ca monte et ça descend = “c’est la nature”. Puis ça re-monte et ça re-descend = “le vaccin marche du feu de dieu”. A votre santé !
“Alors les gueux ! Vous pensiez que ce serait fini avec vos 2 injections de Pfizer ?”
C’était annoncé depuis… le printemps dernier.
Des scientifiques covidéments (anglais en particulier, toujours très ingénus dans la saloperie) affirmaient que les vaccins devraient être semestriels.
Certains labos appelaient de leurs voeux… un vaccin annuel pendant plusieurs années (exemple Johnson&Johnson, lire ici).
Pour une raison évidente : les coronavirus mutent énormément. Les mauvaises langues diront que ça fait partie du business modèle.
Didier Raoult fut le premier à rappeler, au grand public, que le couillonavirus mutait… Alors que des grands scientifiques français comme Hanouna, Casimir ou encore le professeur Karine Lacombe, affirmaient le contraire et le traitaient de charlatan…
Si, si.
Ces faits (comme le passeport vaccinal) étaient alors tous qualifiés de populistes, complotistes, voire d’estrême-drouâte…
Et pourtant, un par un ils se vérifient :
-les labos travaillent DEPUIS DES MOIS sur des “boosters” (en clair des nouveaux vaccins pour suivre les variants)
-le Royaume-Uni (toujours en avance dans la covidémence) a déjà prévu la 3ème injection en septembre pour les personnes fragiles (lire ici)
-Les labos ont lissé leur communication et affirment que leurs produits procurent une immunité de “minimum 6 mois“….
Et maintenant… l’Union Européenne négocie l’achat… de nouveaux vaccins, rendus nécessaires par les variants !
Covid-19 : l’UE va négocier l’achat de 1,8 milliard de doses de vaccins de 2e génération
L’UE va lancer une négociation pour commander 1,8 milliard de doses supplémentaires de vaccins dits de «2e génération» contre le Covid-19, efficaces contre les futurs variants du coronavirus, a indiqué à l’AFP une source à la Commission européenne. (source Le Figaro)
Ici, nous devons nous arrêter sur la sémantique. Les anglais parlent de “boosters“… Les Européens de “vaccins de 2ème génération“…
Les mots -la propagande- sont toujours importants et signifiants.
On ne dira pas “vaccin annuel comme la grippe“, car ça ferait peur. Le cheptel pourrait comprendre qu’on se fout vraiment de lui avec le couillonavirus, décidément bien nommé… 😉
Mais “booster” ou “2ème génération“, c’est plus moderne. Ca glisse davantage…
On passera enfin sur la patamathématique pratiquée par les Bruxellois : 1,8 milliard de doses…. pour 450 millions de personnes enfants compris (car cela demeure l’objectif : vacciner même les nourrissons).
Pourquoi 1,8 milliard ? Pourquoi pas 5 milliards ? Ou 12 ? Les nombres n’ont plus vraiment de signification à ce niveau.
Mais pas de panique… Car le plan est… un vaccin au minimum annuel. Donc, les 5 milliards seront vite atteints. 😉
Le tout… contre une maladie parfaitement bénigne pour l’écrasante majorité de la population mondiale…
Enfin, et c’est le dernier clou du cercueil... lisez bien cette phrase (extraite de l’article) :
… avec un calendrier de livraisons mensuel et contraignant qui débuterait dès cette année et se poursuivrait en 2022 et 2023.
J’espère que certains neuneus ont enfin compris… et qu’ils seront subitement “convertis” au complotisme le plus débridé.
Véran a trop regardé Master Chef : “alors un peu de mort-au-rat, du vaccin Zob, du vaccin Foufoune, une coulée de vinaigre, un brin de remdesivir, un zeste d’alcool à brûler, je mélange le tout… On va se régaler !”
Ca faisait longtemps que le petit Olivier n’avait pas fait la une… Il était discret ces derniers temps…
Effet du vaccin AstraZeneca qu’il a reçu, ou coup de chaud… le voici qui ramène sa fraise, au rayon bricolage ou dans le cadre de l’émission culinaire Master Chef.
Il a eu 2 idées géniales. Coup sur coup.
La première concerne AstraZeneca. Devant le bide total du produit anglo-suédois… Et devant la flippe des cobayes ayant déjà reçu une dose… et devant se faire injecter la deuxième… Véran propose… de substituer un vaccin ARNm (lire ici) !
En clair, du Pfizer ou du Moderna.
Ca revient à mélanger des carottes et des navets ? Aucun problème. Cela reste de la cuisine. Faites pas chier.
Deuxième idée aussi épicée que savoureuse : mélanger les vaccins ARN ! Entre eux.
Pardon : interchangeable.
C’est plus poli.
Le ministre de la Santé Olivier Véran a évoqué ce vendredi à Grenoble la possibilité de rendre «interchangeables» les vaccins à ARN messager pour «simplifier» la campagne de vaccination contre le Covid-19. (source Le Figaro)
Les pauvres chéris ont du mal avec la logistique et la gestion des stocks… Avec 2 vaccins, ça fait vraiment mal à la tête. Solution pour simplifier : les mélanger.
En première dose ? Un coup de Pfizer. Et en seconde dose ? Du Moderna. Ou inversement. Au gré des arrivages, des stocks.
Comme à Rungis.
C’est de la patascience ?
Oui, absolument. 😉
Comme tout ce qui sort de la bouche du petit Olivier.
A ce point de sida mental… il existe une autre solution : mélanger tous les vaccins dans une piqûre unique !
Pas de jaloux ! Finis les ennuis d’inventaire et de logistique.
Prévoir une grande cuve, et zou, on balance toutes les merdes dedans.
Et on touille.
Pour finir sur une note aussi culinaire que suicidaire… la scène excrémentielle de la Grande Bouffe s’impose.
Pour les amateurs avertis, exclusivement.
“Je suis emmerdé ! C’est l’horreur ! C’est monstrueux ! Ne me laissez pas seul !”