«Si on laisse le virus se propager comme une traînée de poudre dans les pays du Sud, il mutera encore et encore» avec «de nouveaux variants plus transmissibles, plus mortels qui menaceront potentiellement l’efficacité des vaccins», a-t-il averti.
«Nous devons faire en sorte que tout le monde, partout, puisse être vacciné le plus rapidement possible», a-t-il réclamé, (source Le Figaro)
Verbatim Antonio Guterres, le portugais qui dirige l’ONU (et grand covidément devant l’Eternel).
Le vaccinocircus doit s’appliquer à la planète entière.
Le couillonavirus n’existe pas dans la plupart des pays africains ?
Aucune importance. Il faut tous les vacciner.
L’âge médian au Niger est de… 15 ans, et 18 ans au Nigéria, les excluant de facto de toute infection couillonavirale ?
Aucune importance. Il faut tous les vacciner, nouveaux-nés compris (pour les foetus, ils y travaillent aussi).
Car sinon le méchant couillonavirus continuera de… muter.
Quelle horreur. 😉
L’adolescent perturbé de l’Elysée a tout de suite accusé réception de sa feuille de route, puisque il propose d’envoyer en Afrique 13 millions de doses (vous savez les fameuses doses qui… n’existent pas en France !).
C’est à cela qu’on reconnaît un bon employé : obéir prestement aux ordres.
Alors après l’Afrique, quelle sera la prochaine cible ? Facile.
L’Antarctique.
On y trouvera bien quelques ours polaires. Après tout ce sont des sortes de grands… pangolins blancs.
Bref, des animaux pas clairs.
Il faut les vacciner aussi.