L’adolescent perturbé de l’Elysée s’en donne à coeur joie.
Et se lance des fleurs, au propre et au figuré.
La crise n’impacte visiblement pas tout le monde de la même manière. Alors que la pauvreté explose dans le pays, que l’État a plus que jamais besoin de ses deniers pour contenir les effets économiques et sociaux désastreux de la crise sanitaire, Emmanuel Macron, lui, explose le plafond du budget fleurs passant de 134.000 euros hors taxe en 2015 sous François Hollande à… 600.000 euros en 2020. (source Politis)
Alors même que le palais de l’Elysée est bouclé pour cause de terrible pandémie (plus de grandes réunions, moins de visiteurs).
Macron vous conchie. Et en est fier.
Une pensée émue à tous les crevards qui ne peuvent plus travailler, qui ont tout perdu, qui sont lessivés par la covidémence et les actions de Macron et de ses complices…
(ps : le scandale est même repris par la presse étrangère ! Exemple : le DailyMail).
POST-SCRIPTUM
Vous allez me demander : quel rapport avec la choucroute couillonavirale ?
Nous avons accepté l’inacceptable. Nous avons intégré l’irrationnel et l’absurde dans nos vies.
Parlons covifatigue.
Ou “la grenouille dans la casserole d’eau chaude”.
Ou encore “On s’habitue à tout, même à ce que l’on n’acceptera jamais”.
Voire -et là je balance du lourd, poussez-vous – Dostoïevski : 😉
Un être qui s’habitue à tout, voilà, la meilleure définition qu’on puisse donner de l’homme.
J’ai pris l’avion récemment, court et long courrier.
Puis, j’ai vu ce photo-montage quelque part sur les réseaux.
On rit bien entendu, forcément comme disait notre chère Marguerite.
Mais on doit aussi en faire une analyse plus sérieuse, plus sinistre.
Car c’est la toile de fond de la covidémence : l’habitude enfoncée dans nos gosiers grâce à toutes ces petites absurdités.
Ces absurdités provoquent littéralement des courts-circuits psychiques qui nous affaiblissent, très rapidement.
Nous nous habituons donc, nos réactions (immunitaires pour le coup) s’émoussent et finissent par céder.
C’est ainsi que le nouveau “normal” est créé. Une succession de petites agressions qui violent la Raison, qui piétinent le bon sens.
Et concrètement un an après (posez-vous la question, pratiquez l’introspection), voilà où cela nous mène… on commence à parler de troisième confinement.
L’opération médiatique a débuté… et… bof… on l’a intégré… On proteste un peu, mais sur la forme.
Autre illustration : le couvre-feu, totalement absurde.
Cette mesure devrait nous révolter, d’une manière adamantine, brutale même.
Or nous en sommes réduits à constater qu’on le passe de 20 h à… 18h dans tel ou tel département. Là encore, on proteste mais mollement.
On fait avec.
Au lieu de parler du fond, de cette intolérable privation de liberté doublé du piétinement de la Raison (l’avancer de 2 heures…) on se dit : “oh zut, comment je vais faire les courses chez Franprix ? Chérie on mange quoi ce soir ? ”
Idem pour les vaccins.
Le fond a été escamoté. On ne parle que des frigos pas branchés par le technicien Darty et des doses livrées mais qui n’ont pas été livrées, de la taille des aiguilles…
L’absurde érigé en mode de gouvernement nous mine, nous détruit de l’intérieur.
Ce mécanisme est aussi simple que terriblement efficace.
C’est ainsi que survient la covifatigue.
Nous avons collectivement baissé les bras.
Nous avons accepté l’inacceptable.
Une seule question demeure : à quel étage “inacceptable” somme nous descendus ? Est-ce le dernier ?
On peut craindre que la descente ne soit pas terminée…
Cet homme est dangereux. Xi Jinping entrave délibérement la science. Il a quelque chose à cacher concernant l’origine du virus.
Comme d’habitude, l’information a glissé comme un ski sur les pistes de Megève.
Alors qu’elle est profondément choquante et inquiétante dans le cadre de la terrible pandémie qui concerne la planète entière par définition…
La Chine bloque l’enquête de l’OMS sur les origines du SARS-CoV-2
Les dix experts-enquêteurs internationaux n’ont toujours pas reçu les autorisations pour entrer sur le territoire chinois (source le Monde)
La Chine a instrumentalisé le couillonavirus pour son plus grand profit.
Elle a menti, continue de mentir sur une question pourtant essentielle : l’origine du virus.
C’est scientifiquement très important, car cela nous permettrait de mieux comprendre le virus, son mode de fonctionnement, et son fameux “réservoir animal” (lire article OMS), et la manière dont le virus a pu passer de l’animal à l’homme.
Et alors qu’on nous bourre le mou depuis un an sur l’aspect terrifiant et terrible de la pandémie… la Chine continue de bloquer toute enquête, réelle, sérieuse, relative à cette question.
Il y a un d’un côté la vérité du Parti Communiste Chinois, le virus est passé de la chauve-souris au fameux pangolin, lié au marché de Wuhan, et allez vous faire foutre.
De l’autre… rien.
Enfin si, de plus en plus de scepticisme quant à ce conte pour enfants.
On rappelle qu’à l’été 2020, la Chine avait déjà bloqué une mission de l’OMS. Mission est un bien gros mot. Un couple de scientifiques envoyé par l’agence onusienne avait passé 3 semaines à jouer au scrabble dans leur chambre d’hôtel dans la capitale chinoise.
Sans bien entendu être autorisé à… se rendre à Wuhan, pourtant le berceau de la terrible pandémie.
L’OMS qui est à la solde de Pékin n’en pouvait plus de tortiller du cul pour tenter de justifier l’injustifiable.
Exemple :
«L’équipe avancée de l’OMS qui s’est rendue en Chine a maintenant achevé sa mission consistant à jeter les bases d’efforts conjoints pour identifier les origines du virus», a déclaré le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus (source Le Figaro)
Une mission pour jeter les bases, ben voyons… 😉
La veulerie de Tedros n’a d’égale que sa compromission avec la Chine. Ce type est un scandale vivant, mais il garde le sourire (et pour cause… ses patrons sont très satisfaits de son travail).
Revenons à cette fin 2020.
Il faut se concentrer et revenir à l’épure face à la propagande : la Chine bloque obstinément les enquêtes car elle a quelque chose a cacher. CQFD.
Tout autre conclusion c’est faire le jeu de la momenklatura chinoise qui parallèment est en train de tuer nos pays, nos économies grâce au levier de la covidémence qu’elle a supportée (voire créée de toute pièce) et continue de promouvoir (confinements durs etc.).
Ce refus obstiné et continu signe le crime de Pékin.
C’est une entrave à la compréhension scientifique du virus, et donc indirectement une attaque contre la santé du monde entier. Il n’y a pas d’autres mots.
Les états occidentaux étant faibles, hélas ils réagissent peu.
Autre exemple de mensonge créé de toute pièce par Pékin et qui fut docilement relayé par l’OMS (courroie de transmission de la propagande).
Voici un message daté du 14 janvier (à l’époque Pékin sait déjà que le virus se transmet rapidement et de manière inter-humaine) (source)
Tout a été fait au début, sous direction chinoise, pour minimiser la menace. Le temps de bien étaler le virus un peu partout. Ce n’est que le 11 mars… que l’OMS finalement acceptera de qualifier la situation de “pandémie”
Lire aussi
–article DailyMail : Fury as China denies entry to WHO experts investigating origins of Covid pandemic as Number 10 calls decision ‘disappointing’ amid growing suspicions of a cover-up
–article ZeroHedge : China Again Denies Pathetic WHO Access To Investigate COVID Outbreak
POST-SCRIPTUM
Les autorités chinoises passent également les archives et les bases de données de l’Institut de Virologie de Wuhan, à l’eau de javel.
Details of more than 300 studies, including many investigating diseases that pass from animals to humans, published online by the state-run National Natural Science Foundation of China (NSFC) are no longer available. (source DailyMail)
MISE-A-JOUR
Ca y est. La mission de l’OMS pourra enfin débarquer le 14 janvier en Chine. Au menu : visite de la Grande Muraille, spectacle de marionnettes, sculptures sur glace, visite guidée (très guidée) de la Cité Interdite, discussion de la pluie et du beau temps avec des fonctionnaires pékinois, visite d’une école primaire modèle, cours de chant dans un karaoké, sans oublier Disneyland à Shanghai. 😉
Bref, tout sauf Wuhan.
Du tourisme.
Ce voyage est une farce. Il fallait le faire l’année dernière… Un an après, la Chine a eu le temps de nettoyer les preuves, et même physiquement (le labo de Wuhan), d’identifier les témoins et de les faire taire, du moins de sécuriser leur collaboration et leur faire apprendre par coeur le discours qu’ils chanteront devant les enquêteurs de l’OMS…
Le pangolin se marre. La chauve-souris bat des ailes… Et le couillonavirus court toujours…