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Pays Saloperie et sida mental

Angleterre : 1er concert covido-compatible

Mes amis… je n’arrive plus à suivre.

Je vais devoir songer à embaucher.

J’ai souvent dit que les Anglais avaient un fond de vice. Une fois de plus, ils viennent de s’illustrer avec le premier concert covidémentiel-compatible ou si vous préférez, distanciation-socialo-couillonaviral-compatible.

2 500 crétins moutons ont eu la chance d’assister à cet événement aussi historique qu’estival à Newcastle (nord-est du pays). Un beau cheptel !

Allez Samantha et Kevin ! Bougez votre corps ! Mais si vous sortez de votre cage, malheur à vous. On ne plaisante pas avec la pandémie.

Les organisateurs, très fiers, expliquent :

On a normal day you can get 45,000 people in here, but our capacity for the gigs will be 2,500.

(source ZeroHedge)

Tout ça c’est bien joli, mais ça manque de contremesures sérieuses. Douves, grillages électrifiés, miradors, chiens d’attaque, nids de mitrailleuses, etc.

Et dire que ce vieux grand pays a eu le génie -et les ressources morales nécessaires- pour voter le Brexit.

Mais c’était en 2016.

Une éternité déjà…

On n’oubliera pas que Georges Orwell était anglais…

L’Angleterre est hélas à la pointe de la covidémence et de la covidiocie, en Occident.

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Humour

Véran apprend à lire : “ABCD” ? “CQFD” !

Le petit Olivier est demandé à l’infirmerie de la maternelle. Il a oublié son ABCédaire.

Le ministre a ainsi évoqué «la règle ABCD», moyen mnémotechnique pour se rappeler à quelles occasions le masque est nécessaire d’être porté. «A : quand on est À risques, B : quand on est dans un lieu Bondé, C : dans les endroits Clos et D : quand la Distance est impossible à gérer», a détaillé Olivier Véran. Cette technique va de pair avec la «règle des 3M», ««3M» : «Mètre, Mains, Masques», énoncée par la Direction générale de la santé.

(source le Figaro)

Pour une fois, je ne ferai aucun commentaire.

😉

ABCD ? Non mais allô quoi !
CQFD.
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Chiffres Pays

Officiel : les chiffres anglais étaient bidonnés

Benny Hill est un vilain menteur…

Caramba, encore raté !

Vous saviez déjà que les chiffres de mortalité étaient bidonnés aux USA (lire ici et et encore là), ainsi qu’en Belgique.

J’avais ajouté l’Angleterre et l’Italie, mais sans préciser mes sources.

Londres vient de nous obliger.

La méthode de comptabilisation des morts du couillonavirus vient en effet d’être modifiée !

Et miracle de cette arithmétique politique : on passe ainsi d’un bilan de 46 706 morts à 41 329. Soit une baisse de 11 %.

Que s’est-il passé ?

«Un patient qui a été testé positif, mais a été soigné avec succès, sera compté comme mort du Covid même s’il a eu une attaque cardiaque ou s’est fait écraser par un bus trois mois plus tard», dénonçait l’étude publiée mi-juillet, qui demandait à «réparer cette erreur statistique conduisant à une sur-exagération des décès associés au Covid».

(Source le Figaro)

Deux bémols : ce changement officiel de méthode… n’intervient que :

à la suite des critiques émises par une étude de l’Université d’Oxford, intitulée «Pourquoi personne ne peut jamais guérir du Covid-19 en Angleterre – une anomalie statistique».

En clair, ils ont été pris la main dans le sac de la manip, humiliés publiquement… donc le ministre de la Santé, Matt Hancock, a dû réagir.

Deuxième bémol : la nouvelle méthode permet de continuer de surestimer les chiffres. Car l’ancienneté du test n’a jamais été le seul problème !

Le problème de fond demeure entier : un homme de 90 ans, diabétique, cancéreux et qui meurt soudainement d’une crise cardiaque.. sera toujours compté en covidécès… s’il est positif au Covid.

Que le test date de 28 jours ou moins, est un sous-problème, un faux-problème.

On reconnaît bien ici le vice des Anglais.

Ils reconnaissent un petit mensonge, on espérant pouvoir s’en sortir avec le plus gros.

Lire aussi l’article du DailyMail.