Categories
Saloperie et sida mental

Masques : on change d’échelle et un cran au-dessus

Le préfet de l’Oise en pleine réflexion covidémentielle…
“Zut, faudra que je demande à bibiche d’acheter des lames pour mon rasoir Bic Con 3”

On a décrit la mécanique liée à l’imposition du masque à l’extérieur.

D’abord, quelques bleds. Quelques rues. Avec des restrictions horaires… On touche déjà au sublime dans la connerie avec le nouveau maire de Bordeaux… qui décréta le masque obligatoire dans… 2 rues (Bordeaux en compte 2 000 !). Un peu trop de vin rouge ?

Ensuite, cela s’étend à des villes plus importantes : Nice par exemple (son édile étant particulièrement veule et cherchant en permanence les caméras de télévision).

Puis Lille. Puis Paris. Quelques axes au début.

Les quais de la Seine à Paris par exemple, où les (salopards de) jeunes ont l’habitude de sortir, danser et picoler. Et ça, coup de règle sur les doigts, c’est verboten dans le covimonde.

Puis, dans un second temps, la carte des voies publiques concernées par la nouvelle règle est étendue… On en arrive au fameux “motif léopard” que j’ai décrit pour les villes de Martine et d’Anne (superbe couple).

La suite était si facile à prévoir...

Voici le “prochain cran”, dans la covidémence, avec la décision du préfet de l’Oise.

Ahurissante de part son échelle ; c’est désormais tout le département qui est concerné.

Y compris à Gouy-les-Groseillers ? Petit bled de 27 habitants ? Voire à Rouvroy-les-Merles et ses 54 âmes (près de Tartigny et de ses 281 habitants) ? 😉

Un couillonavirus s’est caché dans cette photo de Rouvroy-les-Merles. Sauras-tu le découvrir ?

Oui ma bonne dame. Car la République, une et indivisible, ne souffre aucune exception (sauf dans les banlieues islamisées “quartiers difficiles”, faut quand même pas déconner).

Et enfin, ahurissante dans ses détails pratiques.

La préfecture de l’Oise a rendu obligatoire, jusqu’au 7 septembre, le port du masque dans l’ensemble du département pour tout rassemblement public de plus de 10 personnes.[…]

(Source le Figaro)

Cet arrêté concerne les personnes de onze ans et plus, dans les rassemblements publics à caractère festif, culturel, économique, sportif ou mémoriel, soumis à déclaration auprès du préfet de département organisés sur la voie publique ou dans un lieu ouvert au public et mettant en présence de manière simultanée plus de dix personnes.

(source Préfecture)

Pourquoi 10 ? 12 ce serait mieux, non ? Ca sonne mieux. Ou neuf, nombre impair ?

Pourquoi 11 ans ? Une sortie scolaire de CM1 ça ne rentre pas dans les critères ?

En clair, c’est un condensé de diarrhée mentale, littéralement déféquée par des fonctionnaires covidéments et cons comme des enclumes.

En outre, on prépare déjà le futur.

Ce nouvel arrêté prendra fin le lundi 7 septembre à minuit, mais pourrait être « très certainement reconduit », estime-t-on déjà dans certaines mairies du département.

(Source Courrier Picard)

Les maires sont tous ravis, ça se voit. Ils ont l’impression d’exister. Ce sont les résistants de la dernière heure, dans la guerre contre le terrorisme le virus.

Plus le temps passe, plus nous avons des données, des faits, des preuves démontrant le très faible risque mortel du couillonavirus, ainsi que la baisse de la mortalité sur le temps (voir vidéo de D.Raoult). Ici et ailleurs. Partout dans le monde.

Alors pourquoi, les autorités augmentent-elles la pression ?

Pourquoi persistent-elles à faire comme si la pandémie s’aggravait et devenait chaque jour plus dangereuse ?

C’est parfaitement illogique, et pourtant cela se déroule sous nos yeux, simultanément, en France, Europe et Amérique du nord.

Cela signe le crime.

MISE A JOUR

Là encore, j’ai démontré mon don de voyance. 😉

La cause était entendue…

Masque obligatoire dans les entreprises d’ici la fin août, y compris dans les bureaux open space. Seuls les bureaux privés sont épargnés.

On va bien s’amuser…

Ceci est le département de l’Oise.
Ah… non… désolé… la régie me signale qu’il s’agit d’Elisabeth Borne qui serait, selon des informations encore non confirmées, ministre du Travail.
A prendre donc au conditionnel.