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Comparaison pays européens : l’hiver va toucher à sa fin

Ca fait longtemps que je n’ai pas fait un comparatif entre pays européens. Allez, zou (source base de données).

Rappel de la politique maison : les “covicas” ne veulent rien dire. Les gazillons de “cas positifs asymptomatiques“, et my arse c’est de la dinde, merci bien. Donc poubelle.

Je prends comme indicateurs (et encore imparfaits), les covidécès et les hospitalisations. Par million.

Du 1er octobre 2020 au 12 février 2021.

On voit les effets dévastateurs de tous les mutants (anglais, sud-africain, albanais, vosgien et somalien) apparus en décembre.
Autre preuve que tous les mutants apparus en décembre (tchèque, panaméen, huttu, auvergnat et kosovar) mettent à mal nos systèmes hospitaliers. Ca se voit. C’est très clair : ça baisse. 😉

Que penser de tout cela ?

On voit les pentes… descendantes. Et donc clairement les terribles effets des… “mutants“… 😉

La Suède continue de prouver que toutes les covidingueries dont les pays d’Europe de l’Ouest raffolent… relèvent de la pensée magique, de la patascience.

Confinement, couvre-feu, fermetures sont aux virus ce que les sextoys sont à l’amour. En clair : de la merde dans une chaussette de soie sale.

Au mieux, c’est neutre, ou ça marche à la marge. Au pire : c’est contre-productif (sanitairement parlant, car sur tous les autres aspects, c’est bien entendu totalement négatif).

La terrible pandémie fonctionne à peu près de la même manière dans ces pays : à l’automne, le virus sème, et au début de l’hiver, il “moissonne”.

Comme tous les virus hivernaux chez nous.

On est davantage malade et on meurt davantage en hiver, et les hôpitaux sont systématiquement pleins en hiver.

Incroyable découverte… Révélation copernicienne.

Merci le couillonavirus grâce à toi la science, la vraie, avance ! 😉

Les fameux mutants ne bouleversent pas fondamentalement -pour le moment- la mécanique couillonavirale. Ils relèvent du “marketing de la terreur”.

Comme prévu, ils sont instrumentalisés à outrance par les gouvernements, en permettant l’application de la covidémence dite “préventive”, au conditionnel : “le variant X pourrait… et donc nous devons…“.

La France se distingue par son long “plateau” qui arrange bien le gouvernement.

Dans un mois, c’est le début du printemps… On verra, mais normalement les virus iront faire la sieste, avant d’aller emmerder l’hémisphère sud (le cinglé de Victoria et sa copine néo-zélandaise sont dans les starting blocks, ils piaffent d’impatience les bougres !).

Et les vaccinations dans tout ce fatras ? Au vu du sketch européen… à part la Grande-Bretagne, il n’y a pas grand-chose à en dire pour le continent.

Cela demeure une pantalonnade.

Affaire à suivre donc, sur le moyen et long terme.

Si l’épidémie reprenait du poil de la bête en juin/juillet/août dans notre hémisphère, alors il y aurait une vraie couille dans le potage.

Les paris sont ouverts.

15 replies on “Comparaison pays européens : l’hiver va toucher à sa fin”

Je crois que les indicateurs de morts de covid ne sont pas fiables.Quand on voit comment la France trafique ces chiffres….Il est plus sage de se référer a la mortalité globale et d’observer ses modifications sur les 10 dernières années.
Dickus et son hyper-administration carcérale ont fait beaucoup de morts(présents et futurs),il faut le rappeler dès maintenant,inlassablement et avec insistance.

Soudain, je fais le parallèle avec le boucan de la première guerre du Golfe où des hystériques balançaient du conditionnel de fort calibre sur les ondes 24h/24. Les ‘zexpèrts’ militaires à la mord-moi’l, les journalistes qui patinaient dans la semoule pour essayer de trouver du nouveau, les interviouz de trouffions égarés et de gradés qui faisaient scrupuleusement mine d’en savoir plus qu’ils ne pouvaient en dire, tout en n’en sachant pas plus que le trouffion standard.
Allez, on remplace ‘Saddam’ par ‘Covid’ et ‘Bush’ par ‘vaccin’ et on peut ressortir les éditoriaux de l’époque en changeant juste la date.

Ah bon sang… c’était le bon vieux temps !
😉
Et en effet vous avez raison, ce fut la première guerre type “CNN”.

Pendant DES JOURS… les mecs étaient à l’antenne non stop… car “ça pourrait”… Je me souviens le 16 janvier, quelle délivrance ! Enfin, le feu d’artifices à la télé.

Et ensuite, le sketch continuait : à l’antenne en permanence… pour ne rien dire (tout était verrouillé).

Ceci posé, et au-delà du gag, les techniques de manips se sont considérablement améliorées depuis.

La covidémence s’appuie bien entendu sur toutes ces expériences passées.

C’est flagrant.
Ce parallélisme est évident mais il fallait y penser.
Les souvenirs me reviennent et ces deux époques se superposent en tout points.
Merci !

Sans compter le bon vieil anti américanisme avec qui on peut être d’ accord ou pas, je me souviens à un moment où les journalistes disaient ” Ca y est, ils ralentissent ,ils ont des problèmes on vous l’ avait bien dit, ça va mal mal mal !” alors que simplement les unités de pointe allaient tellement vite que la logistique avait du mal à suivre et qu ‘ils avaient juste levé le pied un ou deux jours !

Ce fut toute la magie de Mitterrand. Vendre aux Français, assez largement anti-US par tropisme gauchiste… une guerre totalement “américaine”. Et tout le monde a plongé… on voit les résultat depuis…
Même cirque pour la Libye, Syrie sans oublier la guerre permanente de basse intensité contre l’Iran…

Ah oui ! La guerre du Golfe j’y étais… Qu’est-ce qu’on était naïfs à l’époque : les armes chimiques et tout le reste… Qu’est-ce qu’on a pu s’embêter dans le désert… 7 mois. C’est fait.
Au fait,très bien votre dernière intervention sur le site du docteur Maudrux.

Ce que j’indiquais il y a quelques jours (suite au changement de cap de Vérandouille sur le confinement), se confirme de jour en jour le site Johns Hudson University montre désormais 54% de baisse des covicas mondiaux sur son pic (autour du 7 janvier) on est revenu au niveau de septembre 2020.
En France en 7 jours on a sorti presque autant de patients de l’Hôpital (1251) qu’il n’en était entré en excès sur le mois qui vient de s’écouler (1458), montrant que le catastrophisme est sans fondement. Le reflux très puissant en Angleterre comme en Afrique du Sud, montre que les variants sont des épouvantails en carton qui en se répondant. Seul le Brésil ne connaît pas encore cette évolution favorable, mais il y a un frémissement.

L’analyse des morts et hospitalisations hivernales peut s’analyser comme suit : un hiver comme les précédents avec son lot de maladies habituelles auxquelles il faut ajouter, sans parler de covid : la baisse des soins notamment en phase précoce et de détection, l’influence délétère sur la santé de la propagande de l’angoisse, de la privation de contacts sociaux, du port continu des masques faciaux, et désormais des effets « secondaires » de l’injection. A ce stade de l’analyse, nous avons tous nos chiffres, sans même faire référence au covid ou alors en tant qu’infection hivernale comme une autre, dont il n’aurait même pas été question si toute cette affaire n’était pas qu’une grosse manipulation. A ce titre il est bon de rappeler que l’an passé les hospitalisations ont explosées à la fin de l’hiver, une dizaine de jours après que la population ait été contrainte de rester chez elle, privée des remèdes habituels de la médecine de ville dans un climat angoissant. L’objectif de la politique massive du test a été de créer un lien ARTIFICIEL entre la situation banale des infections hivernales agrémentée par les mesures politiques telle que décrites dans ces premières lignes et un virus spécifique. Ainsi l’histoire est ficelée. Les autorités ont désormais beau jeu dans l’interprétation des chiffres et gagnent sur tous les tableaux : ça monte, il faut confiner, masquer, injecter ; ça baisse, c’est grâce au confinement ou à l’injection selon ce qu’elles souhaitent promouvoir. A ce stade des évènements, l’analyse des chiffres sera ainsi toujours vaine car elle est prisonnière du narratif officiel et des mesures politiques.

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