Que de sarccasmes et haussements d’épaules de la part des covidéments.
Une preuve supplémentaire que le couillonavirus n’a rien de sanitaire, mais est géopolitique…
Il y a un parfait recoupement entre les globalistes fanatiques anti-Russie et les covidéments.
En août dernier, il n’y avait… aucun vaccin. Sauf le Russe. Dans le même temps, les covidéments affirmait que le seul espoir de l’humanité contre la terrible pandémie… c’était le vaccin…
Et pourtant, ils ont toujours rejeté ce produit.
Or voilà que le Lancet publie une étude montrant qu’il a une efficacité de… 91,6 %.
Zut.
Et que… 30 pays ont déjà passé des commandes (source ZeroHedge).
Re-zut.
Il n’est pas cher et peut se conserver jusqu’à 8 degrés (forme lyophilisée).
Re-re-zut.
Sputnik V est le premier vaccin enregistré au monde basé sur la plateforme de vecteurs d’adénovirus humains bien étudiée. Sputnik V est déjà enregistré dans plus d’une quinzaine de pays du monde.
Malgré le mépris, voire la haine des covidéments anti-Russie… Sputnik V apparaît ainsi comme un des vaccins leader.
De fait, il est l’anti Pfizer/Moderna par excellence. Et il enrage les covidéments les plus extrémistes qui vivent encore au temps de la guerre froide (toute la clique américaine qui a viré Trump).
De bonnes raisons pour en faire sa promotion ! 😉
Et cela arrive pile au milieu du naufrage vaccinal européen (campagne contre Astra-Zeneca, difficultés d’appro pour Pfizer/Moderna etc.).
Tant mieux. L’hypocrisie des Européens va devenir de plus en plus visible…
En novembre 2017, il donne une petite conférence TED (courte) au sujet de la fameuse technique du “ARN messager” que vous connaissez tous maintenant grâce aux produits couillonaviraux de Moderna et de Pfizer.
Son expression choc : “The information therapy“.
La thérapie informationnelle (c’est moche je sais, mais c’est ce que j’ai trouvé de plus approchant).
Le mRNA est l’information qui détermine ce que fera une cellule
Nous le voyons comme un système d’exploitation
Si vous pouviez changer cela, ce que nous appelons le logiciel de la vie, si vous pouviez introduire une ligne de code ou changer une ligne de code, cela aurait des conséquences profondes sur tout, depuis la grippe jusqu’au cancer
Prenons le vaccin contre la grippe. On vous injectes des petits morceaux du virus, de protéines, votre corps apprends à les reconnaître.
Imaginez qu’au lieu d’injecter la protéine, on injecte les instructions pour fabriquer ces protéines, le corps pourrait alors fabriquer son propre vaccin.
Ensuite, il parle des cancers. Et des vaccins personnalisés (basés sur le profil des tumeurs du patients).
Mon patron est venu me voir. Il me demande : “est-ce que ça va marcher” ?
Je lui réponds : “je ne sais pas. Mais nous avons toutes les pièces pour essayer et répondre. Nous devons essayer. Aujourd’hui, je ne sais toujours pas si ça va marcher.
Nous avons essayé sur une patiente, la première avec un vaccin personnalisé.
Les prochains mois et années, nous aurons la réponse, si nous pouvons réveiller le système immunitaire contre le cancer de quelqu’un, grâce à un vaccin personnalisé.
Troisième exemple : une maladie rare (acidémie méthylmalonique).
Dans une souris malade, grâce à la technique mRNA, ils ont pu injecter le code génétique manquant.
Que penser de tout cela ?
L’espoir est à la mesure du véritable enjeu : les cancers. C’est ça la véritablepandémie, réellement mondiale, et qui tue massivement et à tous les âges !
On comprend pourquoi Moderna et Pfizer se sont précipités sur le couillonavirus. Il s’agit en réalité d’un formidable accélérateur pour cette technologie avec une application massive, dans le monde entier, et sur des populations très différentes les unes des autres.
L’intérêt scientifique est évident, sans oublier la thune, le tsnunami de pognon que la covidémence représente.
Demande et offre.
Il n’en reste pas moins que les produits génétiques pour lutter contre le couillonavirus sont parfaitement inutiles pour la grande majorité de la population. Et c’est là où on peut critiquer ces sociétés pharmaceutiques. Elles n’agissent pas en véritables médecins.
Ce n’est pas parce qu’on peut faire, qu’on doit faire.
Imaginez que que l’on parvienne à développer un vaccin contre… le rhume. Et profitant d’une “pandémie” de rhumes (en gros tout le temps, chaque année !), on finit par l’imposer aux populations.
Quel serait l’intérêt médical d’une telle vaccination ? Aucun. Injustifiable.
Avec le couillonavirus, on a créé une fausse demande, et ces laboratoires se précipitent pour créer une vraie offre.
Pour en revenir à la présentation TED. Une patiente cancéreuse a donc été traitée en 2017…
Nous sommes en 2021… En clair, si le truc avait fonctionné parfaitement, cela aurait fait du bruit.
Cet article de novembre 2020 d’ailleurs reparle du vaccin anti-cancer de Moderna. Il y a des tests phase 1 sur des petites cohortes qui montrent des effets bénéfiques (mais pas sur tous les types de cancer).
Nous sommes donc au tout début, aux balbutiements de cette technologie.
Plus largement, l’application aux cancers est-elle pertinente ? Et quid d’éventuels effets secondaires, sur le long terme ?
Car et pour filer la métaphore informatique utilisée en permanence par Moderna (lire ici)… des lignes de code foireuses qui font ensuite planter tout le système… c’est le lot quotidien des informaticiens. 😉
Vous avez sans doute vu cette photo. Et pour cause, c’était voulu. Elle fut prise à Wuhan par un photographe de l’AFP et diffusée ensuite dans tout l’Occident.
Par une formidable coïncidence, le photographe de l’agence de presse française passait par là, au bon moment.
C’est donc une photo… officielle, n’ayons pas peur des mots.
Mais à l’époque… d’autres clichés et vidéos du même genre étaient diffusées vers le monde extérieur (via Twitter etc.), sous la forme d’image “volées”, de fuites et ensuite transmises -clandestinement- bien entendu pour contourner l’affreuse censure Internet pratiquée en Chine comme chacun le sait…
Cadavres foudroyés par le Covid évidemment, gisant sur les trottoirs, dans des postures grotesques.
Images très frappantes.
Ajoutons le confinement dur de villes entières, de dizaines de millions de personnes : le décor de la covidémence était dressé.
Il s’agissait donc bien d’une terribleet mystérieuse épidémie…
Un an après, ce qui devrait frapper les consommateurs occidentaux de ces images, est le fait… que NULLE PART AILLEURS on a assisté à de telles scènes (une photo identique à Hong Kong de mémoire, mais HK est chinois).
Je reformule : c’est arrivé SEULEMENT EN CHINE et seulement AU DEBUT de la covidémence (février 2020), alors même que l’Occident compte aujourd’hui infiniment plus de cas, de malades et alors même qu’on a sur les bras de terribles “mutants”, plus contagieux et plus dangereux (du moins c’est le discours officiel).
En clair : d’autres mecs devraient tomber comme des mouches dans les rues… Partout. Dans de nombreux pays.
Or rien. Absolument rien.
Tout cela ne tient pas debout, c’est le cas de le dire.
Il s’agissait de mises en scènes, créées en Chine et destinées à être diffusées à l’extérieur.
Pourquoi ?
L’objectif est évident : distiller la terreur, justifier toutes les mesures covidémentes et restrictives. Ce qu’on a baptisé le modèle Chinois.
C’est la Chine qui a donné le “LA” covidesque au monde. Et sa propagande s’est déchaînée.
Mais là où l’opération touche au génie… c’est que des médias occidentaux se permettent un an après d’y revenir, pour illustrer le fait qu’au fond la Chine… a menti… Sous-entendu dissimulé, minimisé la réalité de la terrible pandémie !
Il y a un an, l’image d’un homme resté sans vie de longues heures sur le trottoir de la ville avait fait le tour du monde.
C’est un bijou de propagande où chaque argument est littéralement retourné, comme un gant de toilette, pour créer une histoire.
Ce rappel au drame d’il y a un an cadre mal avec le récit imposé par le régime communiste, qui tente de faire oublier le chaos des premières semaines de l’épidémie.
L’objectif de cet article “anniversaire” est de remettre une couche de peur dans l’esprit des Français, tout en accusant la Chine de mentir.
Diversion totale, puisque le mensonge principal n’est pas le covibilan, mais l’origine du virus, ainsi que la volonté de la Chine de tout faire A L’EXTERIEUR pour rendre le couillonavirus aussi terrifiant que possible.
Il est très intéressant de constater que Pékin nous refait le même coup… un an après, via une vidéo postée sur Twitter, soit disant fuitée par des… opposants chinois.
La boucle est bouclée.
Récapitulons :
-contrairement au discours officiel, la Chine a délibérement grossi la réalité couillonavirale, via confinements très dur, images mises en scène et diffusées à l’étranger (lire cet article ou encore celui-là) et de nombreuses psyops (par exemple le premier hôpital de campagne construit en quelques jours à Wuhan).
-la Chine accepte de se laisser accuser d’avoir… minimisé et caché l’ampleur de la terrible pandémie
-et surtout la Chine, un an après, continue son petit jeu.
Il y a donc bien une unité, de lieu, de responsables et de temps !
La covidémence est par essence chinoise. Et elle continue de plus belle (en Chine et partout ailleurs).
La seule interrogation, pressante, qui demeure : POURQUOI ?