A chaque fois, la même méthode est employée. Ca devient risible.
-On balance un truc horrifique (“les mutants arrivent !”)
-On fait des hypothèses dessus (“ils semblent plus dangereux. On va tous mourir.”)
-On laisse mijoter dans les médias, les gouvernements en profitent pour rajouter une couche de covidémence en se basant sur ces hypothèses.
Encore une fois, à part l’existence (réelle) de ces mutants (le couillonavirus a déjà produit des milliers de mutants, c’est naturel)… il n’y a aucune donnée pour étayer ces affirmations.
Puis quelques semaines, mois plus tard… on commence à dire “ah ben non finalement, non, nous ne sommes pas sûrs… Euh en fait non. Prout”.
C’est exactement ce qui vient de se passer avec le désormais célèbre “mutant anglais” (souche du Kent, dite encore B117).
Tout ests grossi, survendu.
Is the Kent variant REALLY deadlier than original Covid strains? Symptom-tracking study claims mutated virus does not alter symptoms, severity or duration of illness
King’s College London scientists say there was ‘no difference’ between regions
This suggests that the Kent variant is not triggering more severe symptoms (source DailyMail)
La saleté covidémente Patrick Vallance, conseiller scientifique du gouvernement anglais (mélange de Salomon et de Delfraissy avec un zeste de Vérandouille, je ne sais pas si vous imaginez le cauchemar), n’avait pas hésité à foncer dedans et à mentir de manière éhontée, début janvier.
Sir Patrick said that data suggested the new variant could kill 13 or 14 of every 1,000 men over the age of 60 who caught it, compared to 10 in 1,000 of the old variant.