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IHU Marseille : phénomène des Covid “post” vaccination

Vidéo hebdomadaire de Didier Raoult (IHU de Marseille).

Gros pavé dans la marre des covidéments et des vaccinofanatiques. Des personnes développent un Covid… dans la semaine qui suit l’injection de leur vaccin !

Verbatim :

Une chose très étrange…. Nous avons maintenant un nombre significatif, 46 patients, qui ont fait un Covid dans la semaine qui a suivi l’injection.

La chance que vous ayez un Covid dans la semaine si on ne vous vaccine pas est moins importante que si on vous vaccine. C’est très frappant. Etaient-ils asymptomatiques et la vaccination aurait déclenché une réaction ? C’est un phénomène nouveau, important dont il faut tenir compte.

Il faut savoir que ce phénomène a également été documenté en Angleterre (lire mon article ici).

Je rappelle cette phrase choc extraite du rapport anglais :

We observed an abundance of patients admitted to hospital within 7 days of vaccination

La même observation est donc faite à l’IHU de Marseille…

Enfin, à une échelle plus large, il est difficile de ne pas voir que dans de nombreux pays qui vaccinent… le nombre de cas augmente fortement (Seychelles, Maldives, Uruguay etc.).

Si ce phénomène est confirmé alors son potentiel explosif… est tout bonnement vertigineux

Bref, on va se régaler… 😉

Lien vers la séquence vidéo : https://youtu.be/0-7R3r5_-EA?t=548

MISE-A-JOUR

Nouvelle vidéo qui donne les détails chiffrés des Covid vaccinés à l’IHU Marseille depuis janvier.

4 replies on “IHU Marseille : phénomène des Covid “post” vaccination”

A ce rythme, l’affaire du sang contaminé d’il y a trente ans, va être considérée comme une bluette…

C’est peut-être le but recherché : provoquer une pandémie – réelle celle-là – grâce à la vaccination.
Sûrement à cause de cette protéine Spike qui endommage les poumons et les rend très vulnérables aux infections et bactéries…

Je crois que c’est exactement ça! De plus si on vaccine les animaux de compagnie en particulier les chats surtout avec le moderna dont les concepteurs se vantaient d’utiliser un rétrovirus animal comme vecteur , ensuite le terme de lentivirus modifié pour ne pas faire fuir le chalands avant d’utiliser finalement le vocable arn messager plus passe partout,on a de bonne chance de transformer nos matous en bombes bactériologiques aussi bien pour les animaux et les humains.Avec un risque de perte de contrôle de nos apprentis sorciers.

Pas si étrange que cela. D’une part un vaccin qui marche déclenche une réaction et peut entrainer une grosse fatigue (les vieux ayant fait leur service militaire se souviennent du TABDT qui était redoutable de ce point de vue) qui rend temporairement plus réceptif à une maladie. D’autre part le principe de ces vaccins est de faire produire en quantité de la protéine S. Un organisme confronté au virus avant d’avoir eu le temps de s’immuniser sera alors confronté à un flot de protéine S induites et un flot de virus. Cela peut donc saturer les défenses (les S dues aux vaccins agissant comme des leurres qui occupent le système immunitaire au lieu de lui laisser mettre tous ses moyens contre le virus) et laisser passer quelques vrais virus.
Mais pour être honnête, passé cette fenêtre hypothétique (une élucubration de non-médecin !) de faiblesse (le vacciné récent serait bien avisé de garder le repos et ses distances des risques de contamination pendant quelques jours), l’organisme ayant bien stabilisé son immunisation devrait être plus résistant. Il est donc possible que dans l’année qui suit son risque cumulé (l’immédiat après vaccin plus la suite) soit bien plus faible que s’il n’avait pas été vacciné. A suivre !

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