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Confession d’un ex covidément

Bibi passé à la question. “J’avoue ! Je confesse mes crimes !”

Oui. J’avoue. Moi, l’anar d’estrême-droûate, pourfendeur de couillonavirus, j’ai été covidément.

Ceci est ma confession.

Quand je ne prescris pas des drogues dures à mes patients,  ou quand je ne fricotte pas avec mes patientes contre toute règle déontologique, je consomme de la news. Une seconde nature.

Début janvier 2020. Je suis les nouvelles provenant de Chine. Un énième virus là-bas. Dans la région, c’est tout à fait standard. Densité humaine folle, conditions d’hygiène aléatoires, proximité avec des animaux improbables (les Chinois bouffent tout ce qui bouge).

Mi-janvier, l’OMS est prévenue. Il s’agit d’un coronavirus. Une maladie respiratoire. Il y a des rumeurs. On parle d’épidémie à Wuhan, gros centre industriel au centre du pays. Le bruit grossit.

Les autorités de Wuhan organisent un grand banquet officiel façon “tout va bien, il ne se passe rien”.

Réaction classique de la part d’un parti communiste aux prises avec une situation imprévue et qui s’avère délicate.

Jeudi 23 janvier 2020. La nouvelle tombe. Et elle est énorme.

Les autorités chinoises placent la ville de Wuhan, une ville de 11 millions d’habitants… en lockdown. A cause de ce virus.

C’est ahurissant. C’est du jamais vu.

Il est aisé d’établir immédiatement une échelle : même en 2003 avec le SARS qui avait pourtant provoqué une petite panique en Asie… on n’avait pas vu une telle réaction.

Je convoque une réunion de crise avec mes proches à Paris. Mon discours en substance est le suivant : “les gars… tout parti communiste tend à minimiser et cacher les mauvaises nouvelles. Ce confinement d’une ville de plusieurs millions d’habitants à cause d’un virus inconnu, est donc doublement extraordinaire. Ce n’est absolument pas normal. Soyez très vigilants”.

Si on doit faire un parallèle : ce sont les autorités soviétiques en avril 1986 qui face à Tchernobyl ont d’abord menti, puis ont reconnu à la face du monde l’accident nucléaire et ont ensuite évacué 120 000 personnes autour de la centrale…

Je finis en me disant à moi-même : “Liliane fais les valises! “. J’ai toujours été un grand admirateur de Georges Marchais…

Déjà à l’aéroport de CDG, je vois des mecs, asiatiques surtout, avec des masques. Je m’envole et j’arrive à Bangkok le 26 janvier 2020.

Je rejoins immédiatement mon bunker thaï, et je passe en mode “veille 24h24”.

Mon raisonnement est alors extrêmement simple.

  • la Thaïlande a été le premier pays hors Chine à annoncer officiellement un covicas. C’était le 13 janvier.
  • durant tout le mois de janvier, 800 000 touristes chinois ont débarqué en Thailande.
  • je compte jusqu’à 6 vols quotidiens entre Wuhan et la Thaïlande…
  • Bangkok est une mégalopole, comme Wuhan.
  • Bref, sachant que la Chine a pris une mesure stupéfiante face à un virus inconnu, la situation est donc gravissime. Dangereuse. Extrêmement dangereuse. Si l’on ajoute ces mouvements de population massifs… la conclusion est évidente : la Thaïlande va tomber à son tour. Toute l’Asie du sud-est va tomber.

J’attends et je scrute.

Les jours passent. Les semaines s’écoulent… Et il ne se passe rien. Absolument rien.

La première hypothèse, évidente, s’impose : les autorités thaïes se taisent. Prises de court. Elles mentent. Comme d’habitude.

Mais le suivi des réseaux sociaux… n’indique rien. Rien dans les hôpitaux. Pas de morts par terre, qui débordent des brancards dans la rue. Pas de surmortalité suspecte. Pas la moindre queue de truc anormal qui serait hors des clous.

Il ne se passe vraiment rien.

Ailleurs dans la région, c’est kif-kif. Rien au Cambodge (alors que hautement sinisé) etc.

Même en intégrant des délais d’incubation… La conclusion s’impose à moi début mars : quelque chose cloche sérieusement.

Car dans le même temps, durant toute la fin janvier et février, des vidéos hallucinantes “sortent” de Chine : cadavres foudroyés dans la rue, dans les couloirs (lire ici), “hôpitaux de campagne” montés en 10 jours, vidéos fournies à tous les médias internationaux, fermetures des frontières, quarantaines, “tests PCR”, etc…

L’OMS finit par déclarer l’état de “pandémie” le 11 mars 2020 (l’OMS relève alors 120 000 cas diagnostiqués dans 114 pays et territoires).

Comment est-ce possible ? D’un côté, une apocalypse virale totale, dont on n’a pas d’équivalent de mémoire d’homme, une terrible pandémie qu’on nous vend à la télé. De l’autre… dans la même région… rien ?

La suite, vous la connaissez.

Voilà, cette historiette personnelle illustre parfaitement comment les événements montrés, au sens propre, c’est-à-dire mis en scène par la Chine en janvier 2020 et ultérieurement (un spectacle donc) ont pu marquer et créer de fausses inférences dans l’esprit de gens par ailleurs très intelligents et dotés d’une sérieuse culture générale. Comme moi 😉

La seule différence est qu’une fois que les données et l’observation du Réel détruisent l’image renvoyée et orchestrée par la Chine… alors l’honnête homme doit en tirer les conclusions naturelles : la Chine nous manipule, il faut rentrer en résistance et ne pas se laisser entraîner là où Pékin veut nous emmener…

J’ai fait ce cheminement, avec beaucoup d’autres personnes dans le monde, heureusement…

A la différence de toutes les structures étatiques… qui elles ont tout fait… pour se laisser entraîner dans la fiction créée par la Chine… ont tout fait pour endosser les rôles créés pour elles par la Chine : covidémence, confinement, masques, panique, chiffres bidonnés, compteurs quotidien des morts et des cas, etc.

Non tous les gouvernements ne sont pas vendus à Big Pharma. Non, Bill Gates ne contrôle pas le monde. Non les fonctionnaires et les politiciens ne sont pas tous demeurés.

Deuxième conclusion évidente elle-aussi : nous sommes bel et bien face à une conspiration.

Je résume :

  • il était parfaitement rationnel d’être covidément en janvier/février 2020, face à un virus inconnu et des réactions inouïes d’un gros pays : la Chine.
  • Mais après quelques mois, avec les données et les observations… il était totalement irrationnel de continuer à l’être.

Ca fait 25 euros comme d’habitude. Virements, espèces, bite du coin, j’accepte tout. Sur mon compte off-shore.

5 replies on “Confession d’un ex covidément”

Vouspouvez rentrer au pays docteur
La maladie est terminée
Le pays se réforme enfin
Il fait très beau
5% de croissance au moins cette année
Les français sont optimistes:tout ne sera que fleurs miel et lumière….

Nous aurons bientôt un an et demi de recul face à cette comédie.
Tous ceux qui croient encore à l’existence de ce virus, et de cette pandémie… sont irrécupérables !
Qu’ils aillent donc se faire vacciner, ou plutôt empoisonner, pour une menace imaginaire !

Si vous permettez, il manque quand même les variables d’ajustement buzyn et levy dans votre équation…

Oui et non.

Car ce ne sont que des variables… franco-françaises.

En clair, c’est uniquement en observant le monde qu’on comprend l’ampleur et donc la nature de la covidémence.

Buzyn ne pèse pas lourd. Les conflits d’ego, les jalousies (Inserm contre IHU Marseille, etc).

La covidémence utilise ces matériaux bien entendu, mais cela reste l’écume nationale.

“Qu’elle est la différence entre une théorie du complot et la vérité?
– Environ 6 à 12 mois ..”
Sauf si on peut aller vérifier sur place, ou à côté.

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