Categories
Saloperie et sida mental Vaccinocircus

Vaccination obligatoire : les éléments de langage

La campagne est obscène, si visible.

Les kapos sont de sortie. Objectif ? Pousser le cheptel vers les douches, pardon je m’emporte, vers les vaccinodromes.

En 3 jours :

-Olivier Variant. On ne l’entendait plus beaucoup. Il reprend sa seringue. Et menace :

« Je souhaite qu’au cours de l’été nous fassions fortement grandir la couverture vaccinale de nos soignants, sans quoi, je le redis, vraisemblablement en septembre, je pourrais être amené à proposer une vaccination obligatoire »

-ensuite les barbons de l’Académie Nationale de Médecine qui se fendent d’un communiqué surréaliste : “Pour vaincre la Covid-19, une bonne vaccination vaut mieux que des tests à répétition” !

Leur credo ? Faire pression via le passe vaccinal… en supprimant le remboursement des tests PCR de “convenance personnelle” (par exemple “voyages internationaux” etc.), tout en conservant bien entendu ceux qui permettent d’entretenir la pandémie de faux positifs, les tests dits de “diagnostic“).

-puis le vendeur de savonnettes en costume de tergal, Jean Castex Avé l’Accent, en rajoute une couche :

Si d’ici la fin du mois d’août la situation n’évolue pas, le gouvernement pourrait prendre des mesures plus restrictives, “nous devrions évidemment prendre nos responsabilités”, a averti Jean Castex.

-et enfin Alain Fischer, le “monsieur vaccin” du gouvernement, lui aussi lâche sa crotte et lève la jambe pour faire pipi contre le lampadaire : “La vaccination des soignants contre le Covid-19 est insuffisante, selon le professeur. Un constat qui l’amène à envisager la vaccination obligatoire.

Le vieillard (71 ans) de surenchérir :

Si ça n’est pas suffisant, «il faudrait recourir à l’obligation vaccinale» prévient le professeur. «Cela existe déjà, comme pour l’hépatite B. D’autres pays ont pris ces mesures. Il faudra les considérer si on n’y arrive pas autrement car ce constat ne peut pas être admis, c’est une mise en danger d’autrui.»

Ben voyons la “mise en danger d’autrui ” ! 😉

La vieillesse est un véritable naufrage.

C’est donc une offensive concertée, le tout au milieu du cirque “indien”.

Cette campagne visant à terroriser les gens ne fonctionnera pas.

Plus ces crétins parlent de vaccination obligatoire, plus ils menacent, plus les Français résistants se raidiront.

“Rien à ajouter”.
Categories
Pays Saloperie et sida mental

Angleterre : le covidément en chef tombe par sa braguette

“Slurp, slurp”… Apprécions au passage le beau jeu de mains… Dis bonjour à la caméra Matt ! Au revoir Matt…

Matt Hancock a un nom de circonstance… Le ministre anglais de la santé, marié 3 enfants, vient de se faire gauler en train de rouler des pelles à une collaboratrice (consultante), mariée elle aussi… dans les locaux du ministère ! Mieux encore : il l’aurait embauchée… pour ça…

Ce qui viole bien entendu toutes les règles covidémentielles édictées par ses propres services… Eh oui,  en Angleterre on ne peut pas baiser en dehors de sa “bulle“… Et dans les maisons de retraite, les enfants ne peuvent même pas embrasser leurs parents en train de crever… C’est la “distanciation sociale” à la britannique…

Le type est au sens propre et figuré con comme une bite.

“J’ai le cerveau grand comme ça. Tu as vu mon alliance ? Elle brille. Elle est faite en ivermectine 24 carats, ouais”.

Pas de méprise : personnellement je suis à fond pour le galochage avec mains malaxeuses entre adultes consentants, c’est bon pour la santé, ça renforce le système immunitaire… mais quand il s’agit d’un politicien dont la fonction est d’emmerder son prochain, alors l’hypocrisie, le deux poids deux mesures, deviennent intolérables.

Ce n’est pas la première fois qu’un covidément fanatique démontre son hypocrisie. On se souvient de Neil Ferguson, le cinglé qui prévoyait un demi million de morts… l’homme qui a provoqué le confinement en Grande-Bretagne avec ses modèles mathématiques enfantins, faisait venir chez lui en douce sa maîtresse, mariée elle aussi… alors que tout le pays devait rester enfermé à la maison…

Il s’agit bien entendu d’une belle opération médiaque. D’abord la photo à la une de la presse… et 24 heures après… la petite vidéo qui va bien. 😉

Soixante secondes d’humiliation et de crise de rire.

Eh oui, Matt, les caméras de surveillance sont partout dans le pays orwellien…

Le gland a commencé par dire que non il ne démissionnerait pas…

On ne pleurera pas sur cette petite merde.

Sa position est intenable… Je pense qu’il ne passera pas le week-end et qu’il sera débarqué pronto, même si Boris semble le soutenir (en tout cas pour le moment).

Les députés conservateurs reçoit des coups de fil enragés d’électeurs… La presse se déchaîne…

Les images le suivront toute sa vie…

Les Anglais sont plus puritains que les Français (qui rigolent encore du crétin, le Macron’s boy, Benjamin Griveaux, marié lui aussi, éphémère candidat à la mairie de Paris et qui s’y voyait déjà… mais surtout qui filmait ses érections pour les envoyer à des gonzesses).

MISE-A-JOUR

Bibi avait raison, comme souvent… Hancock a démissionné. Tu parles d’une surprise…

Il faut savoir que jeudi soir, lorsque qu’il a appris la fuite à paraître dans le journal The Sun, il a immédiatement largué… sa femme.

La presse se déchaîne. Certains font le parallèle entre la photo de la pelle malaxeuse “hors bulle” et l’enterrement du prince Philip, lorsque la reine a dû -en raison des règles Covid- rester seule… Ou même de simples citoyens qui ont dû subir aussi les règles de “distanciation sociale” aux enterrements ou dans les ehpad… Règles violées par celui qui les a créées.

De plus, comme souvent, la fange commence à remonter à la surface, une fois que l’hallali sonne… Ainsi, la presse révèle des emails démontrant que Matt a favorisé un pote pour l’obtention de juteux contrats (avec le ministère).

Bref, Hancock est une grosse merde. Son élimination est un acte de… salubrité publique.

Un acte de désinfection.

Categories
Vrac

Confession d’un ex covidément

Bibi passé à la question. “J’avoue ! Je confesse mes crimes !”

Oui. J’avoue. Moi, l’anar d’estrême-droûate, pourfendeur de couillonavirus, j’ai été covidément.

Ceci est ma confession.

Quand je ne prescris pas des drogues dures à mes patients,  ou quand je ne fricotte pas avec mes patientes contre toute règle déontologique, je consomme de la news. Une seconde nature.

Début janvier 2020. Je suis les nouvelles provenant de Chine. Un énième virus là-bas. Dans la région, c’est tout à fait standard. Densité humaine folle, conditions d’hygiène aléatoires, proximité avec des animaux improbables (les Chinois bouffent tout ce qui bouge).

Mi-janvier, l’OMS est prévenue. Il s’agit d’un coronavirus. Une maladie respiratoire. Il y a des rumeurs. On parle d’épidémie à Wuhan, gros centre industriel au centre du pays. Le bruit grossit.

Les autorités de Wuhan organisent un grand banquet officiel façon “tout va bien, il ne se passe rien”.

Réaction classique de la part d’un parti communiste aux prises avec une situation imprévue et qui s’avère délicate.

Jeudi 23 janvier 2020. La nouvelle tombe. Et elle est énorme.

Les autorités chinoises placent la ville de Wuhan, une ville de 11 millions d’habitants… en lockdown. A cause de ce virus.

C’est ahurissant. C’est du jamais vu.

Il est aisé d’établir immédiatement une échelle : même en 2003 avec le SARS qui avait pourtant provoqué une petite panique en Asie… on n’avait pas vu une telle réaction.

Je convoque une réunion de crise avec mes proches à Paris. Mon discours en substance est le suivant : “les gars… tout parti communiste tend à minimiser et cacher les mauvaises nouvelles. Ce confinement d’une ville de plusieurs millions d’habitants à cause d’un virus inconnu, est donc doublement extraordinaire. Ce n’est absolument pas normal. Soyez très vigilants”.

Si on doit faire un parallèle : ce sont les autorités soviétiques en avril 1986 qui face à Tchernobyl ont d’abord menti, puis ont reconnu à la face du monde l’accident nucléaire et ont ensuite évacué 120 000 personnes autour de la centrale…

Je finis en me disant à moi-même : “Liliane fais les valises! “. J’ai toujours été un grand admirateur de Georges Marchais…

Déjà à l’aéroport de CDG, je vois des mecs, asiatiques surtout, avec des masques. Je m’envole et j’arrive à Bangkok le 26 janvier 2020.

Je rejoins immédiatement mon bunker thaï, et je passe en mode “veille 24h24”.

Mon raisonnement est alors extrêmement simple.

  • la Thaïlande a été le premier pays hors Chine à annoncer officiellement un covicas. C’était le 13 janvier.
  • durant tout le mois de janvier, 800 000 touristes chinois ont débarqué en Thailande.
  • je compte jusqu’à 6 vols quotidiens entre Wuhan et la Thaïlande…
  • Bangkok est une mégalopole, comme Wuhan.
  • Bref, sachant que la Chine a pris une mesure stupéfiante face à un virus inconnu, la situation est donc gravissime. Dangereuse. Extrêmement dangereuse. Si l’on ajoute ces mouvements de population massifs… la conclusion est évidente : la Thaïlande va tomber à son tour. Toute l’Asie du sud-est va tomber.

J’attends et je scrute.

Les jours passent. Les semaines s’écoulent… Et il ne se passe rien. Absolument rien.

La première hypothèse, évidente, s’impose : les autorités thaïes se taisent. Prises de court. Elles mentent. Comme d’habitude.

Mais le suivi des réseaux sociaux… n’indique rien. Rien dans les hôpitaux. Pas de morts par terre, qui débordent des brancards dans la rue. Pas de surmortalité suspecte. Pas la moindre queue de truc anormal qui serait hors des clous.

Il ne se passe vraiment rien.

Ailleurs dans la région, c’est kif-kif. Rien au Cambodge (alors que hautement sinisé) etc.

Même en intégrant des délais d’incubation… La conclusion s’impose à moi début mars : quelque chose cloche sérieusement.

Car dans le même temps, durant toute la fin janvier et février, des vidéos hallucinantes “sortent” de Chine : cadavres foudroyés dans la rue, dans les couloirs (lire ici), “hôpitaux de campagne” montés en 10 jours, vidéos fournies à tous les médias internationaux, fermetures des frontières, quarantaines, “tests PCR”, etc…

L’OMS finit par déclarer l’état de “pandémie” le 11 mars 2020 (l’OMS relève alors 120 000 cas diagnostiqués dans 114 pays et territoires).

Comment est-ce possible ? D’un côté, une apocalypse virale totale, dont on n’a pas d’équivalent de mémoire d’homme, une terrible pandémie qu’on nous vend à la télé. De l’autre… dans la même région… rien ?

La suite, vous la connaissez.

Voilà, cette historiette personnelle illustre parfaitement comment les événements montrés, au sens propre, c’est-à-dire mis en scène par la Chine en janvier 2020 et ultérieurement (un spectacle donc) ont pu marquer et créer de fausses inférences dans l’esprit de gens par ailleurs très intelligents et dotés d’une sérieuse culture générale. Comme moi 😉

La seule différence est qu’une fois que les données et l’observation du Réel détruisent l’image renvoyée et orchestrée par la Chine… alors l’honnête homme doit en tirer les conclusions naturelles : la Chine nous manipule, il faut rentrer en résistance et ne pas se laisser entraîner là où Pékin veut nous emmener…

J’ai fait ce cheminement, avec beaucoup d’autres personnes dans le monde, heureusement…

A la différence de toutes les structures étatiques… qui elles ont tout fait… pour se laisser entraîner dans la fiction créée par la Chine… ont tout fait pour endosser les rôles créés pour elles par la Chine : covidémence, confinement, masques, panique, chiffres bidonnés, compteurs quotidien des morts et des cas, etc.

Non tous les gouvernements ne sont pas vendus à Big Pharma. Non, Bill Gates ne contrôle pas le monde. Non les fonctionnaires et les politiciens ne sont pas tous demeurés.

Deuxième conclusion évidente elle-aussi : nous sommes bel et bien face à une conspiration.

Je résume :

  • il était parfaitement rationnel d’être covidément en janvier/février 2020, face à un virus inconnu et des réactions inouïes d’un gros pays : la Chine.
  • Mais après quelques mois, avec les données et les observations… il était totalement irrationnel de continuer à l’être.

Ca fait 25 euros comme d’habitude. Virements, espèces, bite du coin, j’accepte tout. Sur mon compte off-shore.