La Thaïlande va changer ses méthodes de comptage couillonavirales… !
Aux orties les “cas asymptomatiques“, c’est-à-dire les faux cas, détectés via des tests ATK rapides foireux à 2 balles fabriqués en Chine, voire des PCR tout aussi foireux (et produits aussi en Chine) car mal réglés…
Ils ne compteront désormais plus que les mecs REELEMENT malades et RELLEMENT hospitalisés.
Non ? ! Mais quelle idée ! Ces gens sont dangereux. 😉
“Changes are being introduced to Covid-19 reporting and, after June 1, we plan to report only the cases with symptoms and requiring hospitalisation,” she said. (source Bangkok Post)
Et dire que l’on aurait pu faire ça… depuis le début, il y a 2 ans… !
Non bien entendu. Ca aurait fait échouer la psyop.
Le Covid est has been.
C’est une vieille tapin édentée qui a en fait de la route. Le compteur kilométrique est cassé.
Et maintenant on l’abandonne au bord de la route…
Le remplaçant est arrivé : le Covipox qu’on nous vendra comme une marque de lessive.
Et ça pourrait fonctionner…
Déjà en Thaïlande, les touristes locaux… évitent les lieux avec des singes… Car ils ont entendu à la télé le mot “monkeypox“… 😉
Même plus besoin de confiner de manière autoritaire… les mecs vont se barricader chez eux.
Spontanément… Terrorisés par les pustules médiévales.
Que l’on peut choper simplement… en regardant quelqu’un. 😉
(Et si vous affirmez au contraire que le Covipox est une MST qui se chope en pratiquant de vigoureuses relations sexuelles, vous êtes alors un dangereux complotiste homophobe, voire pire encore transophobe… voire même raciste… antisémite aussi ? Oui c’est une option, pourquoi pas, mais faudrait creuser auprès des autorités compétentes.)
57 % sont des hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes, et utilisant l’application de rencontre Grindr
seulement 2 femmes infectées
Bref, le profil typique des jeunes queutards dans les grandes métropoles qui baisent à bride abattue (aidés par le Tinder des homos).
Le professeur Peronne déclare que des médecins en région parisienne ayant vu les premiers cas parlent de “vésicules mais essentiellement sur les organes génitaux… pas une forme clinique habituelle de la variole du singe… c’est quelque chose de nouveau“.
Faut décoder : un bouton sur la bite.
Un médecin québécois ayant suivi 2 cas (qui se sont contaminés l’un l’autre), à des milliers de km de la région parisienne, lui aussi donne des détails passionnants et QUI CROISENT PARFAITEMENT le reste.
Homme 20-30 ans.
-May 6-7 ; sexual contacts with positive cases
-May 15; single ~0,5 cm macule ->papule vesicle -> pustule on the penis. Not painful
-May 16; painful left inguinal lymphadenopathy
-May 17; Progression of the single penis lesion. Small crust at the center. Not painful
-May 19; Lesion is now ~1,3 cm and mostly crusted with vesicle borders. + 2 or 3 small vesicular «satellite lesions» around it.
-May 24; mostly crusted lesion(s)
–Never had other rash/lesion elsewhere
-Never had fever/ prodrome etc.
Une seule lésion sur le pénis.
Pas un seul problème ailleurs sur le corps ! Alors que la variole du singe, la vraie, les pustules sont partout : visage, paumes, pieds. Ce sont les fameuses photos que l’on voit partout dans les médias et les réseaux sociaux.
– May 27: Prodrome with fever, night sweats, fatigue
– May 28 : SINGLE perianal papule/pustule <5mm, not painful (unless we touch it). End of prodrome
– May 30 : Same unique lesion = Ulcerated, PCR+
Une seule lésion sur le pénis (avec fièvre au début)
Ce médecin a conscience que c’est DIFFERENT du tableau clinique habituel. Voilà pourquoi il dit : “méfiance, ce sont 2 cas, donc anecdotiques. Forme atypique“.
CONCLUSION
Cela ne semble pas si… atypitique… que cela dans le cadre du Covipox !
C’est bien nouveau. Transmission par voie sexuelle, via le pénis (ou sextoys). Alors que l’OMS et autres officines s’empressent de dire que ce n’est pas une MST (suivant ainsi le textbook de la variole du singe, alors que le Covipox est objectivement DIFFERENT).
C’est une MST. Principalement.
Rajoutez bien entendu une très grosse couche de politiquement-correct : faut pas stigmatiser… les gay/LGBT. C’est si mal…
Ces crétins allant même jusqu’à dire que les gaypride de l’été doivent absolument avoir lieu. C’est tellement important…
Je le disais sous une forme crue dans un autre papier : ils nous disent en gros “enculez-vous !”
Par dessus le marché, les autorités refusent de communiquer ces données cliniques, pourtant essentielles.
Soit par peur… soit par volonté de brouiller les pistes… afin de donner davantage de temps au virus pour se propager.
Autre élément de preuve : les autorités les plus covidémentes (Canada, France etc.) se précipitent pour… “vacciner” les “contacts” ! Alors que c’est une MST qui donne un bouton sur la queue, et qui disparaît au bout de quelques semaines… Sans rien faire de particulier ?
Réaction totalement disproportionnée et absurde qui signe une fois de plus l’intention maligne, voire criminelle.
QUESTIONS
Ok on a donc compris un bouton sur le pénis. Suite à sodomie.
Ou alors fellation ? Utilisation de sextoys (pas de données) ?
Mais… les gays ou les bisexuels ne sont pas les seuls à pratiquer cela ! Idem en Afrique (voire mon article sur le Nigéria).
Et chez la femme infectée ? La lésion peut-elle se situer dans le vagin, invisible ?
Vous imaginez… les possibilités de foirage ? Un petit bouton… de nombreux médecins penseraient à une MST et renverrait le patient à la maison avec des antibios etc.
A l’inverse, dès que les infos sortiront à large échelle, les médecins flipperont instantanément à la vue du MOINDRE bouton… Commandant des tests PCR, des isolations etc.
Bref, gros potentiel disruptif.
Pourquoi les gays d’abord ? Parce que cette communauté est hypersexuelle (en moyenne).
Ce silence obstiné, ce refus de communiquer les tableaux cliniques, ce qui conduit à une perte de temps, ce qui entraîne mécaniquement une augmentation des cas (puisque les gens ne sont pas informés)… est dans le contexte actuel (2 ans de couillonavirus et de délires absolus) HAUTEMENT SUSPECT.
Entre dire : c’est la variole du singe et… c’est une MST, il y a une grande différence en terme d’impact psychologique.
Si c’est une MST, les gens ayant une activité sexuelle en “cercle fermé” (ou pas du tout d’activité sexuelle) savent qu’ils ne sont absolument pas concernés.
Et donc ils refuseront toute “vaccination”. Et plus largement ne seront pas inquiets. Et quant à ceux qui pratiquent le sexe ouvert, ils peuvent alors prendre leurs précautions (s’abstenir en attendant d’y voir plus clair).
Alors que “variole du singe”… ça fait flipper tout le monde.
On le voit, on y revient toujours : la peur. La sidération.
Pendant que vous pensez aux pustules médiévales, vous ne pensez pas aux ressources pétrolières qui diminuent, à l’inflation ni à la chute de l’imperium occidental.
En gros. 😉
POST-SCRIPTUM
Attention, dire cela (MST) ne permet pas de comprendre pourquoi.
Pourquoi c’est nouveau. Et surtout pourquoi maintenant ?
Car enfin… le sexe n’a rien de nouveau !
On revient donc toujours à nos hypothèses de départ :
virus ayant muté (naturellement ou en labo).
Ou modifications chez les hôtes (affaiblissement du système immunitaire, via injections produits ARNm, ou via trop grosse ingestion de saucisses, c’est vous qui voyez).
Allez parce que je suis rationnel, je rajoute une troisième hypothèse : le mélange des deux premières. 😉
Robert Malone, si vous ne connaissez pas, c’est l’un des co-inventeurs des produits ARNm.
Il a une barbe de père noël et la voix de Clint Eastwood : grave.
Il parle lentement, clairement. C’est un scientifique, un médecin, une pointure. Il fit un remarquable travail de résistance durant la covidémence, précisément grâce son expérience du sérail (lire mon article ici et un autre là).
Il connaît le monde qu’il dénonce à présent.
On peut paraphraser Michel Audiard. Quand des hommes comme Robert Malone disent certaines choses, les hommes avec 60 neurones les écoutent. 😉
Mai 2022. Arrive le Covipox.
Sa première réaction est tout à fait quelconque. Il répète la bible : monkey pox pas grave, il dénonce le “fearporn“, etc.
Pas assez de données.
Son second papier en revanche, daté du 31 mai, change totalement de ton (lien ici).
Car entre temps, il a pris connaissances de la fameuse simulation du NTI (“attaque terroriste au monkeypox trafiqué en labo, début 15 mai 2022”) mais surtout des premiers séquençages de la saleté (par une équipe portugaise, le 23 mai).
Ses conclusions sont chaudes.
In conclusion, the preponderance of current evidence is pointing towards a hypothesis for the origin of this outbreak which is increasingly consistent with prior “war game” scenario planning, remarkably akin to that which occurred during Event 201, which posits emergence of an engineered Monkeypox virus into the human population during mid-May of 2022.
En clair, pour lui la simulation (faite en mars 2021)… est comme un textbook pour décrire ce qui se passe maintenant.
Il termine par un angoissant :
Draw your own conclusions, and do your own diligence.