Les gens intelligents (il en reste… quelques uns) finiront pas comprendre que le “cancer” est bien plus compliqué (ou simple) que ce que l’on radote depuis des décennies.
De quoi s’agit-il ?
Mais voyons ! De la Sainte Trinité de l’Oncologie !
- mauvaise mutation
- malchance
- cellule folle
Selon l’Exégèse, cela fonctionne bien de cette façon. Nos cellules se multiplient. Pouf, un jour pas de bol , une cellule mute. La tuile. Cette cellule devient alors folle… Et c’est le début des emmerdements, le cancer se développe (ou pas, ça dépend, on ne sait pas de quoi exactement, ne posez pas trop de questions SVP !).
La vie est vraiment mal fichue.
Et au bout du bout, quand on a suffisamment empoisonné le malheureux cancéreux avec des gaz de combat et qu’on a démoli son système immunitaire avec des radiations… il finit par crever.
Vision quasi infantile… comme toutes les religions. Car c’est bien une religion avec son clergé, ses prêtres, ses moines (et ses maladies sexuellement transmissibles, bien entendu).
Figurez-vous qu’une étude menée sur des femmes jordaniennes atteintes d’un cancer du sein… montre que dans 20 % de cas environ… on trouve des virus !
Au menu de ces réjouissances virales :
- papillomavirus
- cytomégalovirus
- Epstein-Barr
(alors que pas loin de 0 dans le groupe contrôle, sans cancer du sein, ça pique.)
(cette étude vient d’être publiée).
Conclusion de nos amis jordaniens ?
nos résultats mettent en évidence la prédominance de l’infection HR-HPV parmi une sous-population féminine jordanienne et la coexistence de co-infections HR-HPV, CMV et EBV, suggérant une association avec le grade et le stade de la tumeur.
J’en entends déjà au fond de la salle qui vont s’exclamer : “corrélation n’est pas causalité, nana nananère, prout !“…
On n’en sortira jamais. Bref.
Les joyeux lurons du désert ajoutent ensuite une sorte de “médaillon”, très important pour obtenir de futurs financements : l’appel à la vaccination, forcément !!! 😉
Cette enquête propose qu’un vaccin contre le VPH pourrait potentiellement être utilisé pour prévenir le développement et la progression de sous-types spécifiques de cancer du sein, mais le rôle oncogène du VPH dans le cancer du sein nécessite une analyse plus approfondie.
Le point important n’est pas là ! Je le répète, ces chercheurs sont obligés de respecter le catéchisme… sinon, le robinet à pognon se fermerait, avec en bout de course la mort scientifique et sociale.
Le point fondamental est le suivant : quand on cherche des virus dans le cancer… on en trouve !
Vous voyez où je veux en venir… Si on cherchait des levures/champignons… on en trouverait aussi !
On savait déjà que des bactéries étaient à l’origine du cancer de l’estomac, et que des virus provoquaient le cancer du col de l’utérus ou de celui du nasopharynx (papillomavirus, Epstein-Barr).
Répétons-le : les tumeurs ne SONT PAS STERILES… Elles abritent au contraire tout un monde de bric et de broc (bactéries, virus, levures, et un mélange de nos propres cellules).
Et de ce monde, de ses interactions, de ses causes, de ses effets… nous ne savons rien ou presque rien… PUISQUE NOUS NE CHERCHONS PAS.
Plus que jamais le modèle de Mark Lintern (voir mon article qui présente son livre) apparaît à la pointe.
Il donne une clé qui rétablit la cohérence de l’ensemble (car l’idéologie du cancer “ADN centré” est incohérente, avec des contradictions, des trous, des paradoxes).
Répétons cette vérité aussi ontologique que bouleversante voire même bouleversifiante : quand on ne cherche pas , on ne trouve pas. 😉
Ca fait 60 ans qu’on bourre le mou des jeunes scientifiques… avec l’obsession ADN/mutation/malchance… Donc ces derniers ne cherchent RIEN D’AUTRE, CQFD !!!!
Voilà comment on peut mouliner dans la semoule pendant six décennies, mobiliser des énergies folles et dépenser des montagnes d’argent… sans parvenir à guérir les malades…
Car on ne guérit pas les cancéreux…
Certains s’en sortent MALGRE les traitements (hyper toxiques), et encore… souvent pendant un laps de temps limité !
Le crabe REVIENT TRES SOUVENT.
Les autres passent tous à la casserole, la seule variable étant le temps qu’ils mettent à s’éteindre (et surtout le nombre de chimios et autres “nouveaux protocoles” qu’ils peuvent encaisser).
Ces médecins et scientifiques ne voient pas toutes ces bactéries, ces virus étranges présents EN PLUS des cancers, avec les cancers, à côté des cancers et même dans les cancers !… ni bien entendu ces levures (qui sont en nous de manière permanente).
Encore moins même (car c’est un fait, elles sont bien moins étudiées que les bactéries et les virus).
Il faut tout reprendre à zéro.
Et cette fois réellement sortir de nos ornières mentales !
Il faut travailler sur la théorie de Mark Lintern (et d’autres), la soumettre à la question.