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Médicament

La nigelle (cumin noir) contre le couillonavirus

Un article intéressant publié en mai 2021, dans la revue Phytomedicine.

Potential influence of Nagella sativa (Black cumin) in reinforcing immune system: A hope to decelerate the COVID-19 pandemic

La nigelle (nigella sativa) ou cumin noir, est une plante médicinale ayant des vertus anti inflammatoires, en particulier lors d’infections respiratoires.

Certains de ses composants, comme par exemple le thymoquinone, le principal, ont été étudiés dans le cadre du Covid (papier publié en juin 2021)

Possible therapeutic effects of Nigella sativa and its thymoquinone on COVID-19

La thymoquinone possèderait de nombreuses propriétés (anti inflammatoire, antihistaminique, immunomodulateur, analgésique, antitumorale etc.)

Des Saoudiens ont même effectué une étude clinique randomisée sur 173 malades du Covid (résultats publiés en septembre 2021).

Conclusion :

N. sativa L. oil was associated with a higher chance of resolution of symptoms and faster recovery in adult patients with mild COVID-19.

Protocole suivi :

500 mg NSO (1 capsule de MARNYS Cuminmar) twice daily for 10 days

Le tableau clinique si j’ose dire, mais surtout politique, n’a pas changé depuis 2 ans : une foule de molécules, banales, anciennes, sont actives contre le couillonavirus.

Au lieu de dépenser des dizaines de millards de dollars sur des pseudo “vaccins”, aux effets inconnus, et des milliers de milliards en mesures absurdes de “soutien à l’économie” (visualisez ici la trogne du crétin Burno Lemerde) (après avoir détruit volontairement ces mêmes économies à coups de confinements etc.)… la recherche devrait mettre le paquet sur ces molécules.

Les sociétés privées ne feront jamais ce travail, car il n’y a rien à gagner à travailler sur des molécules issues de… plantes ou tombées dans le domaine public.

Les états ont failli, et continuent de nous trahir.

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Vrac

Pêle-mêle : “vivre-avec”, données bidonnées et le privé privé

[un pêle-mêle 100 % british]

Aujourd’hui, Britannia qui règnait sur les mers… est devenue un canard en plastique. Fabriqué en Chine.
VIVRE-AVEC

Après le “vivre-ensemble “… voici le “vivre-avec “.

Avec quoi ?

Mais le Covid, of course !

Boris Johnson annonce un plan pour “vivre-avec-le-Covid ” et “revenir à la normale” en mars

Sauf que… comme d’habitude, c’est vicelard. Pourquoi mars ?

C’est dès aujourd’hui qu’il faudrait tout arrêter, faire taire les covidéments, les médias, etc.

Il n’en sera rien.

Et bien entendu au moindre pseudo nouveau variant, le gouvernement replongera. On a connu ça avec Delta, puis Omerdon

Singapour par exemple qui fut le premier à parler du “vivre-avec“… chimérique en mai dernier… et qui replongea des 2 pieds et des 2 mains (lire ici et )…

Boris Johnson ment. L’appareil covidémentiel ne sera absolument pas démantelé en mars, comme il devrait l’être.

Au mieux, il sera mis en sommeil pour… l’été… comme ce fut le cas en 2020 et 2021…

PRIVE SI PRIVE QU’ON NE LE VOIT PAS

Le ministre de la santé demande au NHS (l’hôpital public) d’envoyer les cancéreux en attente de traitement, ayant été “déprogrammés” (comme en France)… dans les hôpitaux privés.

Ah bon ? Alors comme pour le Covid, et comme en France, le gouvernement britannique n’a jamais fait appel aux établissements privés ?

Alors que terrible pandémie, la guerre, les hôpitaux débordés, tout ça ?

Deux ans pour s’en apercevoir ? Deux ans pour se rendre compte que si l’hôpital public subit un “tsunami” de Covid, au point de devoir “déprogrammer” des soins, des examens… les établissements privés se tournent les pouces ?

Et pendant 2 ans, combien de cancéreux et autres malades sont crevés à cause de la politique “Tout-Covid” ?

DONNEES SANS DONNEES

Les fonctionnaires anglais ont fourni des données bidonnées au ministre de la santé.

200 000 cas Omicron par jour à la mi-décembre !

Ce slogan (car ce n’était rien d’autre) a ensuite été repris par le ministre, et martelé dans les médias ainsi qu’à la chambre des Communes.

Sauf que… on apprend aujourd’hui que “the statement was ‘initially also unsupported by data“.

Ah zut. Donc ces données n’étaient pas étayées par… des données  ? 😉

Encore une regrettable erreur… que l’on admet après… après avoir engrangé les profits du crime…

Car les députés anglais ont voté des règles covidémentielles à la con… précisément à cause de ces données horrifiques.

Rincez, répétez.

Les Anglais, je l’ai déjà souligné à plusieurs occasions, sont les spécialistes de ce trollage.

Ils bidonnent à mort. Puis la bouche en cul de poule, reconnaissent le bidonnage quelques semaines ou mois après…

Autre constante observée PARTOUT dans le monde : ces malheureuses “erreurs” (de calcul, de communication, de couleur du slip choisi le matin etc.) vont systématiquement dans le même sens.

Un sens unique.

Celui du grossiment de la menace couillonavirale.

Bizarre, non ?

Boris aux cheveux blonds, l’homme qui donné corps au Brexit… est totalement subordonné à la covidémence.

Il y a là une ironie suprême, ou alors… une terrible vengeance des globalistes : on vote le Brexit pour ensuite accepter la domination covidémentielle… ?

Où est la souveraineté nationale dans ce cas ? Dans un test PCR (made in China) ?

L’Angleterre n’est plus que l’ombre d’elle-même, à l’image de tout l’Occident.

Le fameux Rule Britannia ! Britannia rule the waves… est un lointain souvenir.

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Saloperie et sida mental

Cultivons notre serial killer intérieur

La fête est finie. C’est l’heure de la gueule de bois carabinée.

Vous me connaissez, je ne vais pas vous casser le moral, le jour du sabbat. Ce n’est pas le style de la maison !

Et pourtant… ça me gratouille.

Je signale ainsi un superbe article de Franck Boizard qui part d’une fiche de lecture Des Hommes Ordinaires, de C.R.Browning.

Ce livre documente un bataillon de réservistes de la police allemande, 500 hommes, pères de famille, plus de 40 ans, qui ont massacré 83 000 personnes, principalement des juifs, en 1942, en Pologne.

La moitié à la main, l’autre par déportation.

En toute simplicité, et en bon ordre.

Je vous laisse découvrir la suite…. covidesque bien entendu.