
Le 22 juin 2020 le magazine Forbes écrivait, tout émoustillé :
the secret to Japan’s “success” – so far – has been in some significant part due to the widespread proliferation of mask-wearing.
Toujours en juin 2020, le New York Times, temple woke de la covidémence, se pâmait :
Is the Secret to Japan’s Virus Success Right in Front of Its Face?
In America, masks have become a weapon in the culture wars. In Japan, wearing one is no big deal, and deaths have stayed low.
Le Japon sert de symbole et entretient la mystique du masque… Car dans l’archipel, c’est une vieille coutume. Dès qu’un Japonais est malade, il porte un masque (par respect pour le collectif).
Une coutume qui a longtemps amusé les Occidentaux.
La covidémence a bien entendu changé cela… Et le Japon est devenu la preuve que le masquage était efficace pour lutter contre le couillonavirus.
Les gogos, les journalistes les pseudos scientifiques de plateaux TV et les crapules factorisaient cet exemple.
Exemple :
A study published in April by a team of researchers in Hong Kong, France, the UK and Finland found “a near perfect correlation between early universal masking and successful suppression of daily case growth rates and/or reduction from peak daily case growth rates,” and that 80% to 90% masking has the potential of “eventually eliminating the disease.”
Une corrélation parfaite ? Un outil pour éliminer la maladie ?
Deux ans après, les faits démontent à coup de cric cet énième mythe.

Bref, il est aujourd’hui évident que ces petits bouts de papier ou de tissus… ne servent à rien. Surtout lorsque des gouvernements vendus aux Chinois l’imposent à l’extérieur (n’oublions jamais que les Occidentaux furent capables de les imposer… sur les plages, ou encore à la montagne, en plein-air).
Le masque est un grisgris, un totem de la patascience. Mais c’est surtout une composante essentielle de la psyop, afin d’incarner visuellement la terrible pandémie.
Une terrible pandémie sans masque, c’est comme un MacDo sans un Coca Cola, ou Valou Pécresse sans son prompteur ; ça cloche.
C’est également un outil de conditionnement basé sur la gêne, voire même la torture physique et psychologique (chez les jeunes enfants à l’école en particulier).
Et c’est pour cela que les covidéments les plus fanatiques s’accrochent à lui, si désespérement, et souhaitent même le conserver… pour toujours.