On nous signale que 3 pauvres Japonais sont morts après avoir reçu l’hostie couillonavirale signée Moderna.
Un lot paraît-il aurait été “contaminé “.
Non ? Vraiment ?
Contaminé ? C’est hautement ironique puisqu’il s’agit d’un produit destiné à lutter contre une terrible maladie… infectieuse.
On parle de “particules métalliques” dans le fion, pardon, présentes dans les fioles.
Pas de bol.
Les nippons en colère ont retiré au total 2,5 millions de doses de cette merde américaine (source Marianne).
L’histoire est un poil loufoque (les Japonais ne disent peut-être pas tout).
Mais, et là soyons sérieux une minute, je souhaite faire un parallèle avec Astra Zeneca, le produit anglo-suédois… et le gag avec leur usine en Italie… lorsque Luigi le responsable de la prod’, complètement bourré à la Grappa, se gourait dans les proportions…
Tout ça pour bien comprendre un fait fondamental : tous ces gens sont non seulement des escrocs, parfois des criminels, mais en plus des neuneus qui cumulent les erreurs, et qui marchent à répétition dans des bouses de vache, en lâchant “crotte”.
Et ce sont les produits qu’ils fabriquent que vous vous faites injecter dans les veines ?
La connerie à ce stade là, c’est un emploi CDI à plein temps.
Le programme spécial des autorités thaïlandaises faisant de l’île de Phuket un “bac à sable”, “sandbox” en anglais dans le texte, c’est-à-dire la porte d’entrée aux touristes internationaux impatients de revenir… est un bide.
Un bide solaire (enfin presque car en ce moment c’est la saison des pluies).
Un programme totalement absurde, les “touristes” devant :
être vaccinés (2 doses)
faire plusieurs tests PCR (payants) avant et pendant leur séjour
rester 14 jours sur l’île
acheter une assurance médicale spéciale et supplémentaire (locale bien entendu, donc énième arnaque)
réserver dans un hôtel ayant reçu un label “spécial”
remplir une montagne de papiers
arriver par liaison aérienne uniquement directe (pas question de faire un Paris-Bangkok-Phuket)
prendre le risque d’être enfermés dans un hôpital en cas de test positif (y compris si simple cas contact… dans l’avion d’arrivée !)
Rajoutez à cela :
-la météo un peu merdique
-et surtout le fait que TOUT EST FERME sur l’île !
Il est même impossible de commander une binouze avec votre kebab. La loose.
Les restos quasiment fermés, tous les bars fermés, la vente d’alcool interdite dans les restos encore ouverts, toutes les attractions touristiques fermées (sorties en speed boat, jet ski etc.), les rues sont vides, c’est zombie land ! Même les écoles sont fermées (c’est bien la preuve de ce délire collectif).
Super les vacances au Siam.
Ce qui devait arriver donc… arriva. Inévitablement.
Seuls quelques milliers d’expats (comme moi) voulant échapper à la quarantaine dans un hôtel fermé à Bangkok (interdiction de sortir) ont utilisé ce programme pour rentrer au pays (avec une solution un peu plus confortable).
Et quelques vrais touristes égarés qui ont vite compris… l’arnaque.
Meanwhile elsewhere in the Thai media came a damning assessment from tourism advisor Sarayuth Mallam who said “farang” had told him that they had been conned into coming to Phuket.
He said that he had received complaints from tourists that not only could they not move around as promised but it was ridiculous that they could not get a beer or a glass of wine.
Foreigners had said that they were misled into thinking that Phuket was really open when in reality it was not.
Et le plus ironique est que… très peu de “cas” sont apparus parmi les étrangers arrivant via ce programme… Le Covid sur l’île de Phuket se propage parmi la population locale, alors même que cette dernière a été… massivement vaccinée.
En clair, ce sont les Thaïs qui mettent en danger les étrangers !
Une brochette de loose donc… mais pas assez pour empêcher les autorités de continuer dans leurs délires psychotiques (invoquer la réouverture du pays… tout en le maintenant fermé)…
Le gouverneur de Phuket vient ainsi d’étendre les restrictions Covid… Les officiels passent leur temps à se branler la nouille, à faire des stats grotesques et à compter les entrées/sorties sur l’île…
Schools are to remain closed and the ban on restaurants serving alcohol or allowing alcohol to be consumed on the premises remains in place after a new order was issued yesterday extending the COVID restrictions in effect across Phuket. (source PhuketNews)
Chaque jour qui passe (la fermeture des frontières remonte au 3 avril 2020)… tue littéralement des milliers de gens (plus de boulot, plus d’assets, plus rien).
Car autant un restaurateur en France par exemple reçoit des aides… autant en Thaïlande… rien.
Eh oui, une fois de plus la Thaïlande se distingue. Après le passe vaccinal sans vaccin (lire ici), voici les multi-dosés pour raisons professionnelles.
215 personnels de santé ont ainsi reçu… 4 doses.
Non, ce n’est pas un accident ni une erreur, ni même un problème de traduction.
Démonstration du calcul vaccinatoire :
Ils ont reçu leurs 2 doses réglementaires de Sinovac (la merdouille chinoise).
Ensuite, une dose d’AstraZeneca comme “booster” (la merdouille anglo-suédoise).
Et enfin, pas de bol, comme le produit chinois n’est pas reconnu à l’international… ils ont été obligés d’ajouter une dose de Pfizer (la merdouille germano-américaine) afin de pouvoir se rendre à l’étranger (source TNR) !
Allez, on compte tous ensemble.
2+1+1 = 4
Bon sang, c’est donc juste ! 😉
Quand ils vont rentrer au pays, on leur proposera alors la “troisième dose” (qui va commencer en Thaïlande en septembre, pour 3 millions de personnes).
Ce qui constituera la cinquième dans leur cas.
S’ils ne commencent pas à briller dans la nuit et à émettre des ondes radios sur la bande passante 78 Ghz après tout ce cocktail chimique dans les veines… Ils seront bons pour jouer la grille gagnante à l’Euromillion.
Vous connaissez le slogan ? 100 % des gagnants ont tenté leur chance.
Chez les couillonavirants, 100 % des vaccinés ont -aussi- tenté leur chance… 😉