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Asie Pays Saloperie et sida mental

La Chine continue de bloquer toute enquête sur l’origine du virus

Cet homme est dangereux. Xi Jinping entrave délibérement la science. Il a quelque chose à cacher concernant l’origine du virus.

Comme d’habitude, l’information a glissé comme un ski sur les pistes de Megève.

Alors qu’elle est profondément choquante et inquiétante dans le cadre de la terrible pandémie qui concerne la planète entière par définition…

La Chine bloque l’enquête de l’OMS sur les origines du SARS-CoV-2

Les dix experts-enquêteurs internationaux n’ont toujours pas reçu les autorisations pour entrer sur le territoire chinois (source le Monde)

La Chine a instrumentalisé le couillonavirus pour son plus grand profit.

Elle a menti, continue de mentir sur une question pourtant essentielle : l’origine du virus.

C’est scientifiquement très important, car cela nous permettrait de mieux comprendre le virus, son mode de fonctionnement, et son fameux “réservoir animal” (lire article OMS), et la manière dont le virus a pu passer de l’animal à l’homme.

Et alors qu’on nous bourre le mou depuis un an sur l’aspect terrifiant et terrible de la pandémie… la Chine continue de bloquer toute enquête, réelle, sérieuse, relative à cette question.

Il y a un d’un côté la vérité du Parti Communiste Chinois, le virus est passé de la chauve-souris au fameux pangolin, lié au marché de Wuhan, et allez vous faire foutre.

De l’autre… rien.

Enfin si, de plus en plus de scepticisme quant à ce conte pour enfants.

On rappelle qu’à l’été 2020, la Chine avait déjà bloqué une mission de l’OMS. Mission est un bien gros mot. Un couple de scientifiques envoyé par l’agence onusienne avait passé 3 semaines à jouer au scrabble dans leur chambre d’hôtel dans la capitale chinoise.

Sans bien entendu être autorisé à… se rendre à Wuhan, pourtant le berceau de la terrible pandémie.

L’OMS qui est à la solde de Pékin n’en pouvait plus de tortiller du cul pour tenter de justifier l’injustifiable.

Exemple :

«L’équipe avancée de l’OMS qui s’est rendue en Chine a maintenant achevé sa mission consistant à jeter les bases d’efforts conjoints pour identifier les origines du virus», a déclaré le directeur général de l’OMS, Tedros Adhanom Ghebreyesus (source Le Figaro)

Une mission pour jeter les bases, ben voyons… 😉

La veulerie de Tedros n’a d’égale que sa compromission avec la Chine. Ce type est un scandale vivant, mais il garde le sourire (et pour cause… ses patrons sont très satisfaits de son travail).

Revenons à cette fin 2020.

Il faut se concentrer et revenir à l’épure face à la propagande : la Chine bloque obstinément les enquêtes car elle a quelque chose a cacher. CQFD.

Tout autre conclusion c’est faire le jeu de la momenklatura chinoise qui parallèment est en train de tuer nos pays, nos économies grâce au levier de la covidémence qu’elle a supportée (voire créée de toute pièce) et continue de promouvoir (confinements durs etc.).

Ce refus obstiné et continu signe le crime de Pékin.

C’est une entrave à la compréhension scientifique du virus, et donc indirectement une attaque contre la santé du monde entier. Il n’y a pas d’autres mots.

Les états occidentaux étant faibles, hélas ils réagissent peu.

Autre exemple de mensonge créé de toute pièce par Pékin et qui fut docilement relayé par l’OMS (courroie de transmission de la propagande).

Voici un message daté du 14 janvier (à l’époque Pékin sait déjà que le virus se transmet rapidement et de manière inter-humaine) (source)

Tout a été fait au début, sous direction chinoise, pour minimiser la menace. Le temps de bien étaler le virus un peu partout. Ce n’est que le 11 mars… que l’OMS finalement acceptera de qualifier la situation de “pandémie”

Lire aussi

article DailyMail : Fury as China denies entry to WHO experts investigating origins of Covid pandemic as Number 10 calls decision ‘disappointing’ amid growing suspicions of a cover-up

article ZeroHedge : China Again Denies Pathetic WHO Access To Investigate COVID Outbreak

POST-SCRIPTUM

Les autorités chinoises passent également les archives et les bases de données de l’Institut de Virologie de Wuhan, à l’eau de javel.

Details of more than 300 studies, including many investigating diseases that pass from animals to humans, published online by the state-run National Natural Science Foundation of China (NSFC) are no longer available. (source DailyMail)

MISE-A-JOUR

Ca y est. La mission de l’OMS pourra enfin débarquer le 14 janvier en Chine. Au menu : visite de la Grande Muraille, spectacle de marionnettes, sculptures sur glace, visite guidée (très guidée) de la Cité Interdite, discussion de la pluie et du beau temps avec des fonctionnaires pékinois, visite d’une école primaire modèle, cours de chant dans un karaoké, sans oublier Disneyland à Shanghai. 😉

Bref, tout sauf Wuhan.

Du tourisme.

Ce voyage est une farce. Il fallait le faire l’année dernière… Un an après, la Chine a eu le temps de nettoyer les preuves, et même physiquement (le labo de Wuhan), d’identifier les témoins et de les faire taire, du moins de sécuriser leur collaboration et leur faire apprendre par coeur le discours qu’ils chanteront devant les enquêteurs de l’OMS…

Le pangolin se marre. La chauve-souris bat des ailes… Et le couillonavirus court toujours…

(source Le Figaro)

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Asie Vaccinocircus

Vaccin chinois : “73 effets secondaires”

Bon eh bien vous pouvez faire vos adieux au docteur Tao Lina… Il est possible que sa dépouille ne soit jamais retrouvée…

Un docteur à Shanghai (qui doit regretter et appeler sa maman en ce moment) a balancé la sauce sur le vaccin du labo étatique chinois, Sinopharm.

Et le pauvre bougre avait en plus 4,8 millions de followers sur Weibo, le twitter chinois.

Bref, une petite star.

Le docteur Tao Lina a écrit que ce vaccin provoquait jusqu’à “73 effets secondaires négatifs” ce qui faisait de lui “le vaccin le moins sûr du monde” (source DailyMail).

Au regard de la notorité de l’auteur, le message est vite sorti du pays… Erreur… Fatale ?

Le cher docteur doit regretter amèrement ce coup de projecteur… Il a immédiatement effacé ses propos et a ensuite posté des excuses en affirmant que son message était “extrêmement sarcastique”, que le vaccin était “très sûr” et que son choix de mots était “imprudent”, et qu’il “méprisait  les actions diaboliques des médias étrangers“…

Rien de moins.

Bref, le type se voit déjà en camp de rééducation, option froid sibérien, ou pire encore… 😉

Alors qu’en Occident ce sont les Trois Grâces qui occupent le terrain sanitaire et médiatique (et même politique), Pfizer (USA), Moderna (USA) et AstraZeneca (UK)… on oublie que d’autres vaccins sont déjà dispo et déjà utilisés dans le reste du monde : le russe (Spoutnik V) et le chinois.

Formellement, celui de Sinopharm a été approuvé en décembre par les autorités sanitaires locales, et 4 millions de personnes ont déjà été vaccinées (au 4 janvier).

D’autres pays ont d’ailleurs passé des commandes (citons la Thaïlande, Egypte, Indonésie etc.)

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Asie Pognon

Grâce au virus, la Chine exploite le maillon faible européen

“Le virus accélère de nombreux dossiers… systématiquement à mon avantage. Vous croyez au hasard ? A la chance ? Gentils petits scarabées occidentaux…”

(ajout à ma série A qui profite le crime ?)

Et un miracle couillonaviral de plus !

La Chine et l’UE négocient depuis 2013 un accord d’investissements. De nombreux points d’achoppement embourbaient les discussions les deux dernières années (droits de l’homme, conditions de travail en Chine, situation à Hong-Kong sans oublier le traitement des Ouïghours, etc.)

Et subitement, fin décembre, pouf, crac, boum, hue, le dossier a connu un coup d’accélérateur, sous les bons auspices de la Fée Merkel, grande covidémente et collabo bruxelloise renommée (l’Allemagne assurait jusqu’au 31/12… la présidence tournante de l’UE ! Elle en a donc profité).

L’UE accepte un accord d’investissements avec la Chine malgré des engagements limités sur le travail forcé

Pékin et Bruxelles sont parvenus à un accord pour permettre un meilleur accès des investissements européens au marché chinois, mais les concessions de Pékin sur le travail forcé paraissent minces. La signature et l’éventuelle ratification de ce texte attendront plusieurs mois. (source Le Monde)

Paraissent minces ? Superbe understatement.

Une fois de plus le Coronavirus se révèle être de facto un… allié de Pékin.

Je ne suis pas le seul a être surpris par ce coup de chaud calendaire, surtout à quelques semaines… de la prise de fonctions du grabataire Biden.

“It’s just mind-boggling that the EU would even consider rushing to agree an investment pact with Beijing weeks before Biden takes office after claiming for several years that they wanted transatlantic cooperation on China.” (Guardian)

L’UE, une fois de plus, est le dindon de la farce et surtout… de la force.

Rappelons qu’en raison de la faiblesse crasse des Européens, de leur lâcheté et pour certains de leur collaboration active avec les communistes chinois, et du système prédateur organisé par la Chine… l’UE subit chaque année un déficit commercial ahurissant avec l’Empire du milieu.

150 milliards d’euros !

Les exportations chinoises au cours des dernières années étaient en moyenne deux fois plus élevées que les exportations de l’Union européenne vers la Chine. (source Euronews)

Notons que la France, pays veule et terriblement affaibli, enregistre pour sa part un déficit commercial… de 30 milliards d’euros par an avec la Chine (source LCI) !

C’est une constante depuis l’entrée de la Chine dans l’Organisation mondiale du commerce (OMC) en 2001 : le déficit commercial entre la France et la deuxième puissance économique mondiale ne cesse de s’alourdir.

Vraiment ? 😉 Mais personne n’a manifestement l’intelligence de percevoir la relation de causalité… et de constater la prédation organisée que nous subissons depuis 20 ans. Et d’en tirer les conséquences.

Trump a vu cette cause, a compris la menace existentielle posée par la Chine, et a pris des mesures. Raison supplémentaire pour le mettre en tête de la hit list du couillonavirus (on ne rappellera jamais assez que c’est grâce à la pandémie que Biden a pu tricher et donc l’emporter. Le virus a tué la réelection de Trump qui en janvier 2020 dernier était garantie.).

On rappellera que de nombreux dirigeants français sont très copains-copains avec Pékin et que ces liens sont consubstantiels à la covidémence (Vérandouille, Macron, E.Philippe liés à la France China Foundation)

L’entrée de la Chine dans l’OMC, sous la pression des collabos américains démocrates (le président Bill Clinton et sa femme, et tous leurs amis de Wall Street) fut le coup de poignard fatal porté à l’Occident et à sa puissance, c’est-à-dire son industrie (cette dernière est la conséquence et la cause premières de la puissance).

Un acte de haute trahison ni plus ni moins.

Pour revenir à l’accord d’investissement (qui sera ratifié, c’est une certitude), il signe la déchéance terminale de l’Europe.

Voici le mécanisme :

La Chine continuera de ravager l’industrie européenne avec ses exports… et en même temps grâce à ce nouvel accord pourra racheter des pans entiers de l’économie européenne pour des cacahuètes, resserrant encore son contrôle politique sur l’UE.

Dans le pire des scénarios, c’est la vente à la découpe et au rabais de l’Europe occidentale. Les soldes. La liquidation.

Quant à l’inverse, c’est-à-dire les investissements européens en Chine, c’est un mythe, une carotte, mais qui ne se matérialisera jamais, en tout cas absolument pas dans les mêmes proportions.

Les 20 dernières années le prouvent : la Chine a systématiquement et de manière organisée, triché, violé les accords commerciaux. Combien de sociétés occidentales ennivrées par le mirage extrême-oriental ont été totalement plumées, pillées ?

Ce double mouvement (exports/investissements) c’est le combo de la mort, faisant de facto de l’UE le larbin, l’esclave, la prostituée, la gagneuse de Pékin.

Et la terrible pandémie, une fois de plus et de manière objective, sert les intérêts de Pékin.

(lire aussi ce remarquable article publié par ZeroHedge).

POST-SCRIPTUM

(autre article de fond publié par ZeroHedge)

The so-called Comprehensive Agreement on Investment (CAI), concluded on December 30, was negotiated in great haste by German Chancellor Angela Merkel, French President Emmanuel Macron, the President of the European Commission, Ursula von der Leyen and European Council President Charles Michel. Other EU countries were excluded from the negotiations. Merkel, under pressure from China, reportedly wanted an agreement at any cost before Germany’s six-month EU presidency ended on December 31.

The deal — the details of which have not yet been made public — ostensibly aims to level the economic and financial playing field by providing European companies with improved access to the Chinese market. Currently, China has far more access to the European market than the other way around.

China, however, made only limited concessions in just three sectors — electric vehicles, telecommunications and private hospitals — and with many caveats that will restrict investment opportunities for European companies.

Moreover, on December 19, just days before the EU-China deal was reached, China approved a new national security review system for foreign investment. The new rules allow China to block foreign investment whenever it is deemed to harm China’s national security.