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Thaïlande : la covidémence est relancée

Carte montrant l’évolution des nouveaux cas de Covid du 18 décembre au 3 janvier.

28 provinces sont désormais touchées.

Les provinces en rouge (dont Bangkok) correspondent à plus… de 50 cas ! 😉

Le gouvernement a donc réimposé une série de restrictions : fermetures des centres commerciaux, des bars, interdiction des rassemblements publics, restrictions sur les ventes d’alcool(un grand classique en Thaïlande), fermeture des restaurants (ventes à emporter uniquement de 21h à 6h du matin à Bangkok par exemple) mais aussi…. fermeture des écoles durant tout le mois de janvier (une décision scandaleuse et qui a des effets de bord particulièrement redoutables, empêchant de nombreux parents d’aller travailler), etc.

Bref, on est donc reparti pour un tour, à fond les manettes.

Concrètement voici le classement des provinces par nombre de cas :

1 Samut Sakhon 2 401
2 Rayong 386
3 Chonburi 305
4 Bangkok 217
5 Chanthaburi 122
6 Nonthaburi 99
7 Samut Prakan 88
8 Nakhon Pathom 65
9 Ang Thong 30
10 Trad 23

Des chiffres qui devraient faire hurler de rire toute personne saine d’esprit.

Bangkok ? Une méga-ville de plus de 10 millions d’habitants (presque 20 millions pour le “grand Bangkok”)… et 217 cas ! 😉

Rappelons que le Royaume de Siam totalise 69,5 millions d’habitants et affiche un score de…. 65 covidécès depuis janvier dernier, soit 0,9 mort par million d’habitants, quand la France est à 993 et l’Allemagne à 415… (source Worldometer).

Les frontières sont fermées depuis mars dernier. Les Thaïs et les étrangers souhaitant rentrer dans le pays doivent subir une quatorzaine d’isolation contrôlée et obligatoire dans un réseau d’hôtels, principalement à Bangkok (avec 3 tests PCR durant la période de quarantaine).

Le gouvernement a fait face l’année dernière à des manifestations d’opposants, en particulier des jeunes (lycéens et étudiants), l’état d’urgence sanitaire et toutes les mesures restrictives sont donc une véritable aubaine.

Le pays est un cas d’école d’exploitation éhontée du couillonavirus à des fins politiques et de contrôle social.

Mais pas que. La covidémence est très développée au sein de la population, excitée par la propagande gouvernementale.

De nombreux Thaïs sont sincèrement terrorisés par le Covid, et le pays se trouve ainsi sur une ligne de crête de santé publique particulièrement cinglée : le zéro cas.

Ce qui est par définition absurde.

C’est comme si Macron disait que l’objectif était zéro cas de… grippe (ah on me murmure à l’oreillette que son objectif à lui est 5 000 cas par jour 😉 ).

Plus prosaïquement c’est l'”hiver” là-bas, avec un terrain propice aux maladies respiratoires (temps “frais” dans de nombreuses régions au nord).

Donc le cirque se prolongera très vraissemblablement jusqu’en mars (après les fortes chaleurs, l’intensité des UV cuiront littéralement le virus).

Ou alors le jeu sera relancé avec le Covid 2.0, le fameux mutant (qui vient d’être détecté en Thaïlande, sur une famille de 4 personnes revenant d’Angleterre…).

POST-SCRIPTUM

A ce sujet, c’était couru, les autorités viennent d’interdire l’entrée sur le territoire national… des Anglais (source Bangkok Post) !

Prétexte ? Le fameux mutant (de nombreux pays ont déjà interrompu les liaisons aériennes avec l’Angleterre).

AJOUT 06/01/2021

La liste des restrictions par province (en anglais).

 

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Après le canard laqué, la Chine invente le canard laquais : vous

Dirigeant chinois détendu, heureux et décontracté du gland. A la fraîche. “On vous a baisés comme des canards laqués… ! Et laquais. Car vous êtes tous nos larbins maintenant”.

Ceux qui ont eu le courage de se taper les 9386873 signes de mon article séminal (si, si) A qui profite le crime ?  … ne seront pas surpris.

Les autres, prenez-en de la graine et surtout soyez effrayés.

Le plan se déroule comme prévu.

La Chine achève de nous détruire… sans tirer un seul coup de feu. En alimentant simplement notre propre covidémence dans une formidable prise de judo géopolitique. Ou si vous préférez : une maladie auto-immune.

Ce n’est pas formellement la Chine qui nous détruit, mais nous-mêmes (poussés, encouragés, conditionnés, trompés, achetés par la Chine).

En Chine, l’industrie et la consommation ont bien tourné la page du Covid-19. La deuxième puissance mondiale confirme sa sortie de crise et accélère sa montée en puissance. […] Mais l’épidémie n’empêche pas Pékin de creuser l’écart avec les autres puissances économiques, voire d’accélérer la progression de son influence sur le marché mondial. (source Le Figaro).

Vous devez vous souvenir que la covidémence est un mille-feuille d’intérêts et d’effets collatéraux.

Ainsi, je ne dis pas que la domination chinoise est l’objectif ultime de la covidémence (de la même manière que l’élimination de Trump primait sur le fait que des labos se fassent de l’argent avec les vaccins etc.).

Le mille-feuille est très épais.

Ma thèse est qu’au bout du bout, il y a l’épuisement des ressources et la principale d’entre-elles : l’énergie.

Et l’énergie principale, c’est-à-dire fossile.

Et donc la mort programmé, inévitable de nos systèmes basés sur la “croissance“…

La pseudo pandémie permet de couvrir “naturellement” ce phénomène que l’on voit déjà à l’oeuvre depuis des années : l’appauvrissement global.

Il se voit bien entendu d’abord là… où il est le plus facile à discerner : les pays dits “riches”, donc en gros l’Occident.

Et cela se voit même comme le nez au milieu de la figure avec l’anéantissement des classes dites “moyennes”.

Vous noterez que ce sont précisément ces pays qui sont frappés le plus durement par la covidémence.

Mais à l’intérieur de ces jeux de force, des sous-ensembles pourraient se retrouver malgré tout mieux lotis qu’avant : c’est clairement le cas de la Chine, qui est la grande gagnante de la covidémence, même dans le cadre d’un épuisement des ressources (l’Occident est mortellement blessé, donc consomme moins… ce qui permet de basculer une partie des “économies” ainsi réalisées… vers la Chine).

POST-SCRIPTUM

Heureux zasard… la presse mainstream, c’est-à-dire veule et achetée, commence à comprendre.

Bloomberg en est encore tout mouillé, après avoir publié un gros dossier intitulé :

PEAK OIL IS SUDDENLY UPON US…

Non ? Sans déconner ? Horrible. Terrifiant.

Mais comment c’est possible ? Nous pensions que c’était une théorie complotiste, voire un fantasme d’extrême-droite à tendance islamophobe très soutenue (pétrole = désert = chameaux = pas d’eau pas d’idées mais du pétrole = chèvre et rolls en or = arabes = islam, vous suivez ?) 😉

Le pic du pétrole conventionnel c’était 2005 les gars… Dissimulé -littéralement- ensuite par le “miracle” du schiste aux Etats-Unis… le dit-miracle étant déjà en train de disparaître, encore plus rapidement que les poils de Barack Hussein Obama blanchissent.

Et puis pouf… la Fée Clochette le couillonavirus apparaît.

Ca pour le coup ça relève du miracle (en terme de timing). 😉

La Fée Clochette est en grande forme : “Répétez après moi : le pic pétrolier est une théorie complotiste. Et il n’y a aucun lien avec le coronavirus”.

 

 

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Asie Pays

Chine : dites bonjour au RCEP… un bloc qui pèse un tiers du PIB mondial

“Alors les gueux ! Vous êtes au chômage ? Vous êtes confinés ? On vous rassure, tout va très bien en Chine”.

Pendant que les pays occidentaux détruisent avec obstination leur économie, rendent leur population psychotique au prétexte d’une “pandémie” de rien… la Chine avance.

Imperturbable. Pas covidémente. Rationnelle.

La Chine poursuit sa course vers la première place du podium… planétaire.

Et moi je poursuis les ajouts à ma grande série “A qui profite le crime ?“… 😉

Car oui c’est un crime. Et oui la Chine en profite.

Dernière illustration :

Le Partenariat économique régional global [RCEP pour Regional Comprehensive Economic Partnership] a été signé dimanche 15 novembre dans le cadre du 37e Sommet de l’ASEAN et les conférences connexes.

Le Partenariat économique régional global est un accord de libre-échange entre les dix pays membres de l’ASEAN et cinq partenaires que sont la Chine, le Japon, la République de Corée, l’Australie et la Nouvelle-Zélande. Il devient désormais le plus grand accord de libre-échange du monde, comprenant 15 pays membres avec 2,2 milliards de personnes

Un tiers du PIB mondial. Un tiers de la population mondiale.

Ah bon ? Mais on nous disait que c’était la fin du monde, le couillonavirus, la terrible pandémie, les morts, la misère tout ça ?

Autre coup de génie de Pékin : quand les Américains et leurs copains globalistes dégénérés s’échinent à monter des accords commerciaux truffés de contraintes constructivistes à la con (les pays signataires doivent procéder à de nombreux changements dans leurs lois, leurs manières de faire, au nom de l’uniformisation, exemple le Partenariat TransPacifique)… Pékin n’en a rien à foutre : le monde c’est lui.

Donc Pékin demeure sur l’épure : on fait du commerce sans barrières, et ce que tu fais chez toi et comment tu le fais, je m’en cogne le coquillard.

Qui pourra dire que ce n’est pas un énième succès chinois, et qui intervient -énième miracle- durant cette étrange année couillonavirale… avec un virus mystérieusement parti de Chine… et qui a tout aussi mystérieusement disparu depuis ?

“Oh les gars, it’s good to be me. Qu’est-ce que je me marre”