Une superbe démonstration chiffrée, parfois hors de porté mathématique du commun des mortels, mais aiguisée de clarté avec la démonstration des biais classiques qui nous aveuglent.
Le point original de cette étude, indubitablement : la quantification des “refus de soins”…
Kezako ?
De fait, une politique étatique “sanitaire”, assumée : réduire les moyens des hôpitaux publics et précipiter le décès des vieillards… alors que cette population ne cesse de croître.
la COVID-19 est nettement visible, non pas en tant que drame sanitaire mais comme un moment de profonde désorganisation du système de santé, incapable de faire accéder aux soins les personnes qui en avaient besoin
L’auteur prend soin de rappeler la définition de certains mots… et via une belle pirouette à la fin, refuse de donner son nom.
Je signale un article remarquable écrit par un chercheur français (PDF disponible ici). Il s’agit d’une étude de la covimortalité, sous l’angle démographique (dans la veine des travaux déjà présentés ici), mais avec surtout le rappel de quelques vérités arithmétiques… inévitables… pour demain.
“Avec 40% de personnes âgées de plus de 65 ans en plus dans
vingt ans, il ne faut pas se bercer d’illusions : le nombre de décès de 2020 sera certainement un des plus bas des décennies à venir. Notre système hospitalier, dimensionné pour accompagner la fin de vie de la “génération silencieuse”, ne l’est plus pour celle des baby-boomers, 50% plus nombreux”.
On ne peut pas tricher avec la démographie, énorme paquebot impossible à manoeuvrer sur des temps courts…
Le bordel “sanitaire”, les hôpitaux qui débordent, les masques partout, les fermetures, les vaccins, l’hystérie… de 2020 et 2021… ne sont rien à côté de ce qui se produira les années suivantes.
Le moindre couillonavirus, grippe, rhume correctement instrumentalisé, mettra à bas tout le système. Et le pire : les générations nombreuses des baby boomers l’exigeront très probablement !
La covidémence à la demande. Et souhaitée. Rien de plus redoutable.
Egoïstes et terrifiés à l’idée de mourir, car ils se croient indispensables… ils préfèreront faire crever l’entièreté du corps social avec eux. Ces gens sont nihilistes (mais cela dépasse le cadre du débat).
Si on ne prend pas conscience de ce fait et des raisons fondamentales qui le sous-tendent alors mes chéris… ce sera confinement non-stop, covifolie, covicarnaval permanent et plus si affinités !
😉
Voilà pourquoi notre position est très inconfortable, covidémentiellement parlant.
Il suffira d’une équipe de politiciens et fonctionnaires dégénérés et/ou malveillants pour utiliser ce fait démographique comme levier, et mettre à genou tout le pays.
Ca fait longtemps que je n’ai pas fait un comparatif entre pays européens. Allez, zou (source base de données).
Rappel de la politique maison : les “covicas” ne veulent rien dire. Les gazillons de “cas positifs asymptomatiques“, et my arse c’est de la dinde, merci bien. Donc poubelle.
Je prends comme indicateurs (et encore imparfaits), les covidécès et les hospitalisations. Par million.
Du 1er octobre 2020 au 12 février 2021.
Que penser de tout cela ?
On voit les pentes… descendantes. Et donc clairement les terribles effets des… “mutants“… 😉
La Suède continue de prouver que toutes les covidingueries dont les pays d’Europe de l’Ouest raffolent… relèvent de la pensée magique, de la patascience.
Confinement, couvre-feu, fermetures sont aux virus ce que les sextoys sont à l’amour. En clair : de la merde dans une chaussette de soie sale.
Au mieux, c’est neutre, ou ça marche à la marge. Au pire : c’est contre-productif (sanitairement parlant, car sur tous les autres aspects, c’est bien entendu totalement négatif).
La terrible pandémie fonctionne à peu près de la même manière dans ces pays : à l’automne, le virus sème, et au début de l’hiver, il “moissonne”.
Comme tous les virus hivernaux chez nous.
On est davantage malade et on meurt davantage en hiver, et les hôpitaux sont systématiquement pleins en hiver.
Incroyable découverte… Révélation copernicienne.
Merci le couillonavirus grâce à toi la science, la vraie, avance ! 😉
Les fameux mutants ne bouleversent pas fondamentalement -pour le moment- la mécanique couillonavirale. Ils relèvent du “marketing de la terreur”.
Comme prévu, ils sont instrumentalisés à outrance par les gouvernements, en permettant l’application de la covidémence dite “préventive”, au conditionnel : “le variant X pourrait… et donc nous devons…“.
La France se distingue par son long “plateau” qui arrange bien le gouvernement.
Dans un mois, c’est le début du printemps… On verra, mais normalement les virus iront faire la sieste, avant d’aller emmerder l’hémisphère sud (le cinglé de Victoria et sa copine néo-zélandaise sont dans les starting blocks, ils piaffent d’impatience les bougres !).
Et les vaccinations dans tout ce fatras ? Au vu du sketch européen… à part la Grande-Bretagne, il n’y a pas grand-chose à en dire pour le continent.
Cela demeure une pantalonnade.
Affaire à suivre donc, sur le moyen et long terme.
Si l’épidémie reprenait du poil de la bête en juin/juillet/août dans notre hémisphère, alors il y aurait une vraie couille dans le potage.