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Suisse, mortalité toutes causes : la comparaison annuelle avec 2015… qui tue

Si vous me suivez depuis le début, vous connaissez mon dada : la mortalité annuelle toutes causes confondues, seul juge de paix, seul indicateur chiffré impossible à bidonner.

Et la logique est imparable : tu me dis que l’on subit une terrible pandémie qui tue, qui nécessite le confinement, le masque etc… Alors je te réponds : on doit donc voir une surmortalité. En clair : le virus tue des gens qui n’auraient pas dû mourir pendant l’année.

Car une terrible pandémie qui ne tuerait personne… n’aurait aucun intérêt, n’est-ce pas ?

Bien entendu… cela ne se passe pas du tout comme cela avec le couillonavirus… ! 😉 Voir mes articles à ce sujet pour la France et la Suisse.

Aujourd’hui, nous allons compléter l’analyse du cas suisse, avec leurs données officielles : https://www.bfs.admin.ch/bfs/fr/home/statistiques/catalogues-banques-donnees/tableaux.assetdetail.14287322.html

C’est carré, c’est précis, c’est ponctuel… En un mot : suisse. Respect. 😉

Mais surtout, c’est du lourd !

Ce graphique montre le nombre de décès total par semaine, depuis la semaine 1 jusqu’à la semaine 34 (soit mi-août), pour 6 années.

Note : j’ai mis en ordonnée le début à 800, afin de faciliter la lecture (ce qui évite de compresser les lignes).

Que voit-on ?

Une chose qu’on savait déjà : le couillonavirus a sur-tué en avril… mais au total sur l’année 2020 (jusqu’à mi août)… il y a moins de morts que les années précédentes (exactement comme en France).

Pour la terrible pandémie, faudra donc repasser, et appeler le petit Olivier Véran et ses complices.

Mais on voit une deuxième chose, extraordinaireL’hiver 2015… il y a eu un pic de surmortalité PLUS LONG et donc PLUS IMPORTANT que 5 ans plus tard lors de la terrible pandémie Covid…

On note que la semaine la plus meurtrière du Covid c’était la 14 avec 1 869 morts (30 mars au 5 avril)

Et en 2015, la semaine 7 a totalisé 1 805 décès (9 au 15 février) ! Quasi kif kif. Etonnant, non ?

Et quelle cause a pu provoquer cette terrible hécatombe chez nos amis suisses, pendant l’hiver 2015 ? Hum ?

Le couillonavirus 2014 ? Le sournois Proutvid 2014 ? Voire le très dangereux Enculovid 666 ? Ebola ? La peste ?

Non. La bonne vieille grippe. Qui tue (oh la vilaine !)… des personnes âgées en hiver. Chaque hiver… Chaque année.

C’est ballot, hein ? 😉

Nombre total de décès par an (du 1er janvier à la mi-août), en Suisse.

A mi-août… C’est donc 2015 qui tient toujours la première place du podium mortifère

Je pose donc une question aux lecteurs qui habitent en Suisse.

En 2015, étiez-vous con-finé(e) ? Vous sortiez masqué(e) dans la rue ? Dans les magasins ? Au boulot ? Vos enfants allaient à l’école avec un masque ? Votre gouvernement vous faisait peur chaque soir à la télé avec le bilan de la terrible pandémie de grippe ? Et en annonçant les “nouveaux cas” de grippe ?

Ne répondez pas non, SVP ! Ne cassez pas le monde virtuel du petit Olivier Véran ! 😉

Mais ce n’est pas fini… Comme je suis un brin pervers, j’ai recherché si cette sale grippe de l’hiver 2015 avait -par le plus grand hasard- franchi les Alpes, pour venir taquiner les Français… Ce qui aurait constitué ainsi, de facto, une pandémie. 😉

Et ?

Vous avez deviné bien entendu…  😉 La grippe 2015 a été très forte en France… et nous dit-on, a même provoqué une “surmortalité record de 18 000 décès“… Et “les plus de 65 ans ont représenté 90 % de la surmortalité en France.” !

C’est le Parisien qui l’écrit en gros titre.

L’épidémie de grippe de «forte ampleur», qui a durement frappé les personnes âgées, a contribué à une surmortalité hivernale record de 18 300 décès en France, selon le bilan définitif de l’Institut de veille sanitaire (InVS) publié vendredi.

 

Il s’agit de l’excès de mortalité le plus élevé depuis la mise en place du système d’évaluation de l’excès de décès hivernal, c’est-à-dire depuis l’hiver 2006-2007.

Et ça ne vous rappelle rien… cinq ans après ? 😉

Incroyable coïncidence.

J’espère que vous commencez -enfin- à comprendre l’intromission rectale dont vous êtes tous et toutes victimes…

A ce stade de la démonstration, un rappel de l’essence de la pensée macronienne s’impose…

Conclusion ? Décidément la vie est bien difficile pour les covidéments. Car on ne triche pas impunément avec le Réel.

A un moment, il finit par revenir. Vous rattraper. Toujours.

Et souvent, dans de tels cas, après de si scandaleuses et grossières manipulations, après le viol répété de nos libertés, de notre intelligence et du bon sens, le Réel prend alors un surnom : la Justice.

Et la Justice peut prendre ensuite de nombreuses formes.

En France, lors d’un passé glorieux, on a eu celle-ci… Superbe machine, au fonctionnement impeccable. Si robuste. Si précise…. Quasiment une horlogerie… suisse. 😉

Traitement antiviral très puissant. Et définitif. Mieux que le gel hydroalcoolique. Mais en revanche, ne fait pas revenir l’être aimé, ni gagner au Quinté+.
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Chiffres Saloperie et sida mental Tests PCR

Tests PCR et explosion des “nouveaux cas” : le scandale est énorme

Depuis début juillet, le gouvernement vous harcèle, vous terrorise avec la “seconde vague“… et les “nouveaux cas” dont le nombre explose chaque jour, un peu plus (lire ici).

“Liliane ! Fais les valises !” (source). La hausse des nouveaux cas est en effet terrifiante, depuis fin juillet.

On a atteint 9 000 “nouveaux cas” en 24, la semaine dernière !

On est presque à 1 million de tests PCR effectués chaque semaine.

La dissonance cognitive commence lorsqu’on constate que les hôpitaux sont vides, y compris en réanimation, et que les morgues sont vides itou.

Le nombre des infections explose, mais… tous ces gens ne sont pas malades. 😉

“Je suis infectée. Mais pas malade. Pas contagieuse. Et pas morte… Zut. C’est pas le bon moment pour arrêter la picole !”

Ce délire qui revient à tester des gens, jeunes, absolument pas à risque, et qui n’ont aucun symptômes, qui ne sont pas contagieux, en clair qui ne sont pas malades, coûte en plus un pognon de dinnnnnnnnnnnnngue (lire ici).

Passons dans l’arrière-cuisine à présent. Pourquoi le nombre de cas explose ? Parce qu’on teste davantage bien entendu. Parce que oui le virus est brassé pendant l’été, un peu plus que d’habitude, et qu’il continuera toujours à infecter et tuer quelques vieillards malades.

Mais surtout, parce que les tests PCR sont manipulés.

Le New York Times, grand quoditien américain, a vendu la mèche. Le professeur Didier Raoult a également alerté l’opinion publique à 2 reprises : dans son IHU… les “cas positifs” qu’on lui envoie… étaient à 20 % en fait négatifs… Fin août, ce pourcentage est passé à 30/40 % !

L’arnaque tient dans la sensibilité de ces tests, exprimés en “cycles”. Plus ce nombre est élevé, plus il y aura de “positifs”. Mais n’ayant alors plus aucun rapport avec le Réel biologique et épidémiologique : le patient ne sera absolument pas malade et encore moins contagieux.

Son organisme contient des traces de virus… comme nous en avons tous en permanence des gazillons.

Donc, ce sera un faux positif (certains pensent que l’expression est impropre, peu importe), et qui pourtant viendra incrémenter le bilan des “nouveaux cas“, annoncé chaque jour par les autorités.

Et ce nombre n’est pas anodin puisque le gouvernement l’utilise pour ensuite justifier des mesures de restrictions de nos libertés. Tel préfet constatera alors que son département est passé en “zone rouge” et hop, comédie du masque partout, décrets scandaleux etc.

Les “nouveaux cas” sont donc de facto un outil pour les autorités. Un outil de propagande.

Ce scandale est énorme. Car il vient après plusieurs mois… de scandales en France. On ne peut donc pas invoquer des “erreurs“, la “précipitation” ou encore le “manque de données“.

C’est une manipulation délibérée menée par les autorités françaises (avec la complicité de très nombreux pays hélas), dans le but de terroriser les populations et de justifier le maintien de la fiction couillonavirale et la prise de nouvelles mesures coercitives.

Voici un texte important écrit par Peter El Baze, ancien médecin à Nice, et publié sur son compte Facebook et qui complète parfaitement l’article du New York Times.

J’ai décidé de le copier intégralement de manière éhontée et sans lui demander l’autorisation (car je tiens à mon anonymat). La fin justifie les moyens, et même l’impolitesse. 😉

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Explications complémentaires sur les tests P-C-R pour comprendre pourquoi ils donnent autant de FAUX POSITIFS

Dans un test P-C-R il y a un facteur trés important qui n’est pas mentionné dans les résultats, c’est le CT (Threshold Cycle).

Il s’agit du coefficient d’amplification de l’ADN .

Le test ne détecte pas des virus entiers en état de marche, mais des morceaux de ce virus actif ou non.

Donc il peut détecter des petits morceaux de virus d’une infection qui date de plusieurs semaines, voir plus.

Dans les prélèvements il y a très peu de morceaux d’ARN viral, donc ils ne peuvent pas être détectés tel quel.

Il faut augmenter le nombre de morceaux de manière très importante pour pouvoir les détecter.

On transforme cet ARN viral en ADN puis on met un produit qui fait que tous les ADN du prélèvement sont dupliqués de nombreuses fois.
On répète plusieurs fois cette opération.

Plus on la répète, plus on amplifie leur nombre, plus le CT est grand, plus on risque d’avoir des faux positifs.

Moins on la répète moins on a de faux positifs mais plus on peut avoir des faux négatifs.

Suivant les appareils et les labos on peut utiliser des valeurs de CT plus ou moins grandes.

On peut déterminer un seuil de CT ou on arrête la duplication.

CT = de 25 à 30 => charge virale importante, peu de faux positif, si positif on est certain qu’il y a bien infection au CO VIDE. Mais risque de faux négatifs

CT = 35 => compromis utilisé par l’IHU, quelques faux positifs et peu de faux négatifs

CT = 40 ou plus => charge virale pratiquement inexistante, plus de 90% des positifs sont FAUX sans virus CO VIDE, pas de faux négatifs

Les recommandations des scientifiques sont un CT = entre 20 et 30
La pratique des labos en France est un CT à 40 ou plus !

Ce qui explique que 40 à 90% des résultats positifs sont des FAUX positifs mais très peu de faux négatifs

Raoult a constaté que 40% des gens testés en ville comme positifs étaient re testés à l’IHU négatifs.

Ces tests P-C_R auraient été très utiles en Février ou Mars 2020 pour isoler les positifs avec CT à 25

Depuis 5 mois ils n’ont plus aucun intérêt car avec un CT à 25 on ne trouve plus personne de positif.

Bullard J. et al., 2020, n’ont pas retrouvé d’infectivité pour une CT supérieure à 24

Leur SEUL intérêt d’annoncer tous les soirs “5000 nouveaux cas” dont 4500 sont faux et 500 sans symptômes, donc pas malades, est POLITIQUE et certainement pas médical.

Docteur Peter EL BAZE
Ex Médecin Attaché des Hôpitaux de Nice
Ancien Chef du Service de Médecine Interne A1, Les Sources, Nice

 

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Chiffres Humour Saloperie et sida mental Tests PCR

Tests en folie : “c’est pas cher c’est l’état qui paye”… 250 millions par mois !

Toujours plus de pognon, pour toujours plus de conneries. Signé : le Gnéé.

La campagne de terreur délirante du gouvernement qui consiste à faire des millions de tests PCR, dans l’unique but de générer des faux positifs comptés alors en “nouveaux cas“… coûte un bras à la Sécu, donc aux veaux à qui on impose justement cette campagne. 😉

Brillant.

Aussi vicelard que les rouges chinois qui faisaient payer le prix de la balle à la famille de chaque condamné à mort.

Ces tests parfaitement inutiles (on paye un pognon de dingue pour trouver des “nouveaux cas” qui ne sont ni malades, ni contagieux !) sont donc :

pris en charge à 100 % par l’Assurance-maladie, la facture dépasse 250 millions d’euros par mois. (source Le Figaro)

Comme disait un fameux gland… “C’est pas cher, c’est l’état qui paye ! “.

Et d’ailleurs, comme on dit sur France 2, François Hollande -c’est de lui dont il s’agit- a une actualité.

L’endive veut revenir, et il a des opinions très marquées en matière de covidémence (exclusif, lire ici).

Si.

“Entre les gueux, les veau et les endives, qu’est-ce qu’on se marre !”