Données étonnantes venant d’Outre-Manche.
- 196 cas confirmés
- 86 % habitent… à Londres
- 87 % sont âgés entre 20 et 49 ans
- 57 % sont des hommes ayant des relations sexuelles avec des hommes, et utilisant l’application de rencontre Grindr
- seulement 2 femmes infectées
Bref, le profil typique des jeunes queutards dans les grandes métropoles qui baisent à bride abattue (aidés par le Tinder des homos).
Le professeur Peronne déclare que des médecins en région parisienne ayant vu les premiers cas parlent de “vésicules mais essentiellement sur les organes génitaux… pas une forme clinique habituelle de la variole du singe… c’est quelque chose de nouveau“.
Faut décoder : un bouton sur la bite.
Un médecin québécois ayant suivi 2 cas (qui se sont contaminés l’un l’autre), à des milliers de km de la région parisienne, lui aussi donne des détails passionnants et QUI CROISENT PARFAITEMENT le reste.
Homme 20-30 ans.
- -May 6-7 ; sexual contacts with positive cases
-May 15; single ~0,5 cm macule ->papule vesicle -> pustule on the penis. Not painful
-May 16; painful left inguinal lymphadenopathy - -May 17; Progression of the single penis lesion. Small crust at the center. Not painful
- -May 19; Lesion is now ~1,3 cm and mostly crusted with vesicle borders. + 2 or 3 small vesicular «satellite lesions» around it.
- -May 24; mostly crusted lesion(s)
- –Never had other rash/lesion elsewhere
- -Never had fever/ prodrome etc.
Une seule lésion sur le pénis.
Pas un seul problème ailleurs sur le corps ! Alors que la variole du singe, la vraie, les pustules sont partout : visage, paumes, pieds. Ce sont les fameuses photos que l’on voit partout dans les médias et les réseaux sociaux.
2ème cas (contaminé par le premier)
- – May 27: Prodrome with fever, night sweats, fatigue
– May 28 : SINGLE perianal papule/pustule <5mm, not painful (unless we touch it). End of prodrome
– May 30 : Same unique lesion = Ulcerated, PCR+
Une seule lésion sur le pénis (avec fièvre au début)
Ce médecin a conscience que c’est DIFFERENT du tableau clinique habituel. Voilà pourquoi il dit : “méfiance, ce sont 2 cas, donc anecdotiques. Forme atypique“.
CONCLUSION
Cela ne semble pas si… atypitique… que cela dans le cadre du Covipox !
C’est bien nouveau. Transmission par voie sexuelle, via le pénis (ou sextoys). Alors que l’OMS et autres officines s’empressent de dire que ce n’est pas une MST (suivant ainsi le textbook de la variole du singe, alors que le Covipox est objectivement DIFFERENT).
C’est une MST. Principalement.
Rajoutez bien entendu une très grosse couche de politiquement-correct : faut pas stigmatiser… les gay/LGBT. C’est si mal…
Ces crétins allant même jusqu’à dire que les gaypride de l’été doivent absolument avoir lieu. C’est tellement important…
Je le disais sous une forme crue dans un autre papier : ils nous disent en gros “enculez-vous !”
Seuls les Anglais ont osé dire : “stop sexe, abstinence“.
Par dessus le marché, les autorités refusent de communiquer ces données cliniques, pourtant essentielles.
Soit par peur… soit par volonté de brouiller les pistes… afin de donner davantage de temps au virus pour se propager.
Autre élément de preuve : les autorités les plus covidémentes (Canada, France etc.) se précipitent pour… “vacciner” les “contacts” ! Alors que c’est une MST qui donne un bouton sur la queue, et qui disparaît au bout de quelques semaines… Sans rien faire de particulier ?
Réaction totalement disproportionnée et absurde qui signe une fois de plus l’intention maligne, voire criminelle.
QUESTIONS
Ok on a donc compris un bouton sur le pénis. Suite à sodomie.
Ou alors fellation ? Utilisation de sextoys (pas de données) ?
Mais… les gays ou les bisexuels ne sont pas les seuls à pratiquer cela ! Idem en Afrique (voire mon article sur le Nigéria).
Et chez la femme infectée ? La lésion peut-elle se situer dans le vagin, invisible ?
Vous imaginez… les possibilités de foirage ? Un petit bouton… de nombreux médecins penseraient à une MST et renverrait le patient à la maison avec des antibios etc.
A l’inverse, dès que les infos sortiront à large échelle, les médecins flipperont instantanément à la vue du MOINDRE bouton… Commandant des tests PCR, des isolations etc.
Bref, gros potentiel disruptif.
Pourquoi les gays d’abord ? Parce que cette communauté est hypersexuelle (en moyenne).
Ce silence obstiné, ce refus de communiquer les tableaux cliniques, ce qui conduit à une perte de temps, ce qui entraîne mécaniquement une augmentation des cas (puisque les gens ne sont pas informés)… est dans le contexte actuel (2 ans de couillonavirus et de délires absolus) HAUTEMENT SUSPECT.
Entre dire : c’est la variole du singe et… c’est une MST, il y a une grande différence en terme d’impact psychologique.
Si c’est une MST, les gens ayant une activité sexuelle en “cercle fermé” (ou pas du tout d’activité sexuelle) savent qu’ils ne sont absolument pas concernés.
Et donc ils refuseront toute “vaccination”. Et plus largement ne seront pas inquiets. Et quant à ceux qui pratiquent le sexe ouvert, ils peuvent alors prendre leurs précautions (s’abstenir en attendant d’y voir plus clair).
Alors que “variole du singe”… ça fait flipper tout le monde.
On le voit, on y revient toujours : la peur. La sidération.
Pendant que vous pensez aux pustules médiévales, vous ne pensez pas aux ressources pétrolières qui diminuent, à l’inflation ni à la chute de l’imperium occidental.
En gros. 😉
POST-SCRIPTUM
Attention, dire cela (MST) ne permet pas de comprendre pourquoi.
Pourquoi c’est nouveau. Et surtout pourquoi maintenant ?
Car enfin… le sexe n’a rien de nouveau !
On revient donc toujours à nos hypothèses de départ :
- virus ayant muté (naturellement ou en labo).
- Ou modifications chez les hôtes (affaiblissement du système immunitaire, via injections produits ARNm, ou via trop grosse ingestion de saucisses, c’est vous qui voyez).
Allez parce que je suis rationnel, je rajoute une troisième hypothèse : le mélange des deux premières. 😉