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Chiffres Humour Tests PCR

France : le pays des 300 fromages et des gens qui font 15 tests PCR

“Tu as été un vilain garçon, petit Olivier… Pour la peine, tu vas refaire un quinzième test PCR”

Quand on ouvre en grand le robinet, c’est-à-dire tests PCR pour tous payés intégralement par la Sécu… il ne faut pas s’étonner de certaines…  dérives.

C’est un coup de gueule que pousse ce médecin du CHU de Rennes. Alors que les équipes chargées de réaliser les tests sont débordées et que le laboratoire fonctionne 24 heures sur 24, des personnes multiplient inutilement les dépistages. Jusqu’à en réaliser plus de quinze en quelques semaines ! (source Ouest-France)

Ce qui est magique ici c’est que le test PCR n’est pas agréable en soi... L’expérience peut même devenir traumatisante.

Alors imaginez… quinze fois de suite !

Ce n’est pas comme frauder la Sécu par exemple pour choper des allocations qui permettront ensuite d’envoyer du cash à Bamako, de s’acheter un nouvel écran plat.

Là, le plaisir, l’intérêt peuvent facilement être déterminés. 😉

Donc, aujourd’hui en France, il y a bel et bien des malades mentaux, en liberté, qui se font ravager le nez 15 fois de suite… Pour une chose inexistante : le couillonavirus.

La nature humaine a des méandres parfois bien sombres…

Ou alors, s’agirait-il d’une perversion masochiste ?

Après tout, se faire fouetter, percer les tétons ou faire un test PCR… le plaisir serait-il au bout du virus (du moins dans son absence) ?

😉

Voire une action conspirationniste du gouvernement… afin de multiplier les… covicas détectés ?

En tout cas, une chose est certaine : ça coûte un pognon de dingue.

350 millions par mois, au profit de quelques sociétés complices, lire mon article ici.

Vous savez quoi ? Il est temps d’appeler Marsault.

“Rien à ajouter”.
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Humour Saloperie et sida mental

Star Trek : Grasse teste un portique de désinfection à énergie ionique et vibratoire

Tu mets une pièce de 2 euros dans la fente, tu cliques, tu appuies sur le bouton, et pouf, tu es désinfecté. Atomisé le couillonavirus ! (sur la photo notre équipe d’astrophysiciens en pleine conférence technique avec distanciation sociale, mais sans les masques).

D’abord, on croit à un gag.

Et puis on creuse. Non ce n’est pas une plaisanterie.

Le Maire de Grasse a décidé de tester le premier portique de désinfection et prise de température, entièrement créé sur la Côte d’Azur. (source)

Cet engin s’appelle la SANIBOXX (avec 2 X).

Alors, concrètement comment ça marche ?

J’ai bien entendu contacté Michel Chevalet.

Ses explications sont parfaitement claires, comme d’habitude.

La “brume sèche électrostatique attire les éléments en suspension dans l’air”, tandis que “l’ozone et les UV ont un pouvoir oxydant sur les germes et virus, ce qui conduit à leur dégradation”. Le cycle complet d’utilisation “n’excède pas les 7-8 secondes”, précise le dirigeant de la société, Eric Peltier. (source LCI)

C’est Star Trek. C’est un aller (qu’on n’espère pas simple) pour la Lune.

L’électrostatisme va attirer et dresser tes poils de cul, ensuite l’ozone, les UV (et un brin de Zyklon B, deutsche qualität) les coupent (tes poils, faut suivre) et avec eux le couillonavirus, bien entendu !

Mission accomplie.

“Ici la base de la Tranquillité, l’Aigle s’est posé”.

Manque plus que la sonde rectale pour… pour… mais pour quoi au juste ? Le fun, mais passons, c’est un autre sujet et cela ne nous regarde pas.

Alors la technologie, les étoiles et les galaxies, fort bien, mais quid de la sécurité de l’appareil ?

Les questions abondent parmi les ménagères de moins de 90 ans.

Vais-je perdre mon maquillage, ma peau, mon bronzage, ma coiffure ? Et ma robe Yves Saint-Laurent, on y a pensé hein ? Qui va me payer les frais de teinturier si je me retrouve à poil, avec un morceau de tissus troué et totalement décoloré ?

Pour s’assurer de la sécurité du dispositif, “nous avons fait appel au Docteur Alain Burr, chercheur au CNRS”, ajoute-t-il. “Ses calculs ont permis de déterminer des temps d’exposition et par sécurité nous avons programmé nos portiques en dessous de ces valeurs.”

Un fonctionnaire chercheur du CNRS a fait des… quoi ? Des calculs !

Nous voilà donc rassurés… 😉

Les explications laborieuses qui suivent, le sont un peu moins (rassurantes).

Pour ne prendre aucun risque, la durée d’exposition a été réduite par rapport aux seuils maximum tolérés, un choix assumé “quitte à ce que l’efficacité soit un brin réduite”. 

Ah bon ? Y’a des seuils maximum ? Ah zut.

LCI enfonce le clou et finit par nous foutre franchement la pétoche.

Que sait-on des techniques utilisées avec ce portique ? “Elles sont bien connues et validées”, note Dr Bruno Grandbastien, président de la Société française d’hygiène hospitalière (SF2H), mais “sans présence humaine”. Les UV en particulier sont les plus utilisée, “notamment aux Etats-Unis où l’on s’en sert pour désinfecter des pièces, que ce soit des chambres à l’hôpital ou des blocs opératoires”.

Eh oui… les UV c’est bien pour désinfecter des objets… mais pour les humains (nous !) … euh… non c’est pas validé. 😉

La tuile.

Enfin, cet engin, coûte un “peu moins de 16 000 euros“. C’est cadeau ! C’est la Côte d’Azur.

A présent, c’est l’heure de la conclusion pratique.

Tu passes dans le portique qui te défonce la gueule à coup d’UV et d’ozone. Parfait.

Ensuite, tu es totalement désinfecté, rendu vierge tel Adam à poil du côté de chez Eden, même ton slip sale et plein de miasmes ressort plus blanc que blanc (les enzymes sont gloutons, surtout là !)… tu pénètres ensuite dans le bureau de la mairie.

Et là tu peux tousser, cracher tes poumons et infecter tous les fonctionnaires fainéants (car tu as l’esprit de contradiction, sans oublier le glaive vengeur et le bras séculier).

Eh oui, le couillonavirus se cache profond dans le nez et les bronches… Là où les rayons UV ne pénètrent pas.

Zut. Faut tout recommencer.

Captain Kirk peut aller se rhabiller. Tu peux pas lutter contre la Côte d’Azur.
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Humour

Virus : requiem pour un con

Dédicace spéciale pour le petit Olivier…

 

Après la chanson, ce sera… la zonzon.

Longtemps.

(note de la direction : après Benny Hill, Biggus Dickus, l’Enclume et la Guillotine, cette chanson du grand Serge a été choisie comme illustration -sonore- récurrente pour le site covidemence.com. Au terme d’une longue recherche, et en raison du sujet traité, il fut impossible de trouver oeuvre d’art plus appropriée et pertinente…)