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Cancer : des nouvelles de la machine qui fait “crac, paf, wizz”

“Tu cliques là, tu pousses le bouton ici, tu passes la 5ème, ensuite ça fait wizz, et paf le cancer disparaît !”

En mai dernier, j’ai publié un article… séminal (c’est le genre de la maison, comme vous le savez)… au sujet d’une technologie au nom absolument ridicule, mais très prometteuse contre le cancer.

Histotripsy.

Neuf mois après, je suis toujours autant traumatisé par cette appellation. 😉

Rappel des grandes lignes :

  • cela fait plus de 20 ans que le principe a été décrit… mais désormais la technologie est déployée (aux Etats-Unis, mais uniquement pour le cancer du foie… pour le moment).
  • elle consiste à bombarder les tumeurs avec des ultra-sons (sous anesthésie générale).

Fait troublant : le géant pharmaceutique américain Johnson & Jonhson a investi massivement dans la société (des dizaines de millions de dollars).

Avantage : cette techno est parfaitement “agnostique”. En clair, elle se moque totalement des causes du cancer (tout le débat autour des mutations génétiques ou autres causes, y compris des micro-organismes pathogènes, voir la thèse de Mark Lintern).

Elle “liquéfie” l’enveloppe extérieure des tumeurs (qui rappelons-le est souvent DURE). Et ensuite, le système immunitaire (étrangement) reprend ses droits et fait le ménage : il s’attaque aux cellules malades.

On mesure immédiatement le potentiel révolutionnaire d’un tel traitement. Chirurgie traumatique, rayons ionisants, poisons chimiques… Poubelle. Et surtout, poubelle de l’Histoire.

Une étude vient d’être publiée qui montre (en le quantifiant) ce qui se passe concrètement quand on applique cette technologie sur une tumeur.

Ultrasound-Guided Histotripsy Triggers the Release of Tumor-Associated Antigens from Breast Cancers.

Lien : https://pmc.ncbi.nlm.nih.gov/articles/PMC11764245

This study is the first to quantitatively characterize tumor antigen release by histotripsy and show how it is impacted by histotripsy dose delivery.

Après l’application du bouzin, les chercheurs constatent une HAUSSE des protéines antigènes libérées dans l’environnement tumoral… ce qui permet au système immunitaire adaptatif (le plus efficace… versus le système immunitaire “inné” que les vaccins ciblent) de pouvoir enfin “voir” les cellules cancéreuses et de se mettre en chasse.

C’est un point fondamental.

Le système immunitaire est notre meilleure arme contre le cancer, contrairement à ce que racontent tous les maniaques des mutations… une protection qu’il s’obstinent d’ailleurs à AFFAIBLIR voire à DETRUIRE avec leurs traitements absurdes et ce depuis plusieurs décennies…

Le problème est que le système immunitaire est “trompé” voire “manipulé” par les cellules cancéreuses (qu’on continue de présenter comme “folles” alors qu’elles sont supérieurement organisées… comme un parasite).

La gangue “dure” qui entoure la tumeur serait un de ces mécanismes d’échappement, comme un “voile d’invisibilité” que le cancer opposerait aux défenses naturelles de l’organisme.

Histotripsy “assouplit”, “liquéfie” cette barrière protectrice…

Bref. Je le répète : c’est intéressant et réellement “novateur” (un mot si galvaudé, piétiné dans le domaine de l’oncologie).

Un bémol : le cancer du… pognon pourrait être un obstacle. On parle déjà d’introduction en bourse de la société et de valorisation délirante (plusieurs milliards de dollars).

Les gars n’ont toujours pas compris. Si cette technologie tient réellement ses promesses… alors les Chinois s’en empareront, la perfectionneront et la balanceront sur le marché au fameux “prix chinois”.

Donc, personnellement, je vois déjà poindre l’hubris, la démence du système de “santé” (malade) américain… mais qui sera intenable à terme.

Le cancer est bien trop universel et bien trop dangereux pour laisser une seule société avec tel ou tel brevet, faire la pluie et le beau temps.

Les gens n’ont toujours pas reçu -ni compris- le mémo. Depuis la pseudo pandémie du “Covid”, Big Pharma a les fesses sur un volcan…

La fête est finie.

Trump et Kennedy aux commandes… plus les Chinois en embuscade (avec leurs moyens colossaux et leur volonté de revanche) cela risque de faire mal.

Tout en nous faisant… du bien.

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Médicament

Cancer : vous saurez tout sur les médicaments repositionnés

“C’est dans les vieux pots qu’on fait les meilleurs soupes et les meilleurs traitements anticancéreux” (note de la direction : toutes mes excuses, mon stagiaire chinois au service illustrations s’est encore gouré. Ou alors le bougre se fiche de nous…).

Repurposed drugs. Ou “médicaments repositionnés”. L’hystérie covidémentielle a popularisé ce principe (oui, le Covid a eu des avantages).

On se souvient tous de Didier Raoult utilisant l’hydroxychloroquine contre le virus alors qu’elle est prescrite contre la malaria et certains rhumatismes inflammatoires.

La pharmacopée (moderne, chinoise) contient des gazillons de molécules… dont les propriétés n’ont pas été toutes systématiquement testées/étudiées/cataloguées.

Autre avantage : on connaît les posologies tolérées et les éventuels effets secondaires (par définition puisqu’elles sont anciennes). Et enfin, autre avantage… elles ne coûtent rien.

On utilise l’hydroxychloroquine depuis des décennies, voilà pourquoi quand les autorités françaises ont subitement déclaré en 2020 que ce médicament était très dangereux (en instrumentalisant des études bidonnées, voir le Lancetgate)… Raoult et les vrais médecins éclatèrent de rire.

En ce qui concerne le cancer, on assiste au même mouvement. Des scientifiques ont compris qu’il valait mieux D’ABORD tester l’existant AVANT de développer des nouvelles molécules (ce qui prend des décennies, du moins quand on est sérieux et qu’on ne prétend pas créer un pseudo “vaccin” basé sur une nouvelle technologie génétique en moins d’un an… suivez mon regard couillonaviral…).

Je signale ainsi le PDF du livre (215 pages) “Cancer care : The role of repurposed drugs and metabolic interventions in treating cancer“, du docteur Paul Merik (il est également dispo sur Amazon en version papier).

De quoi s’agit-il ?

D’une liste de produits repositionnés contre le cancer, avec pour chacun un exposé de la littérature scientifique disponible, ses mécanismes antitumoraux, les éventuels tests cliniques (mais oui, il y en a !), les posologies etc.

C’est un travail fondamental car il met en lumière un fait peu connu : il existe des CENTAINES d’études dédiées à ces molécules et leurs actions contre le cancer.

P.Marik s’appuie ainsi sur 1 201 références !

Je reformule : dans un océan de bidonnages, de tests farfelus, d’articles foireux voire frauduleux, de pseudos médecins, de corruption… il existe encore de véritables scientifiques qui bossent vraiment

Ces effets peuvent être classés en 4 groupes :

  • rétablir l’apoptose (mort cellulaire)
  • action sur le micro environnement tumoral afin de rétablir les fonctions immunitaires
  • limiter l’angiogénèse (formation de nouveaux vaisseaux sanguins) et la progression métastatique
  • inhiber les cellules cancéreuses souche

Le docteur Marik fait la distinction entre les molécules “fortement recommandées“, celles avec des effets plus faibles et enfin celles controversées (comprendre manque de preuves).

Dans le premier groupe on trouve :

  • vitamine D
  • mélatonine
  • thé vert
  • metformine (contre le diabète)
  • curcumine
  • mebendazole/ fenbendazole/albendazole (antiparasitaires)
  • ivermectine (antiparasitaire)
  • acides gras Oméga 3 (exemple : l’huile de foie de morue de grand-mère)
  • berbérine (réduction glycémie)
  • atorvastatine (statine, contre cholestérol)
  • disulfirame (contre l’alcoolisme)
  • cimétidine (antihistaminique)
  • gui (la plante)
  • ashwagandha (ginseng indien)
  • sildenafil (et ses dérivés, eh oui… le bon vieux Viagra contre les troubles de l’érection !)
  • itraconazole (antifongique)

Prenons un exemple frappant : le disulfirame… utilisé contre l’alcoolisme.

C’est quoi le rapport avec la choucroute cancéreuse ? ! 😉

Un poivrot au volant ? Ou un cancéreux qui se soigne ? La science hésite.

Je cite :

Its anti-tumor effect has been reported in many preclinical studies and recently on seven types of cancer in humans: non-small cell lung cancer (NSCLC), liver cancer, breast cancer, prostate cancer, pancreatic cancer, glioblastoma (GBM) and melanoma and has a successful breakthrough in the treatment of NSCLC and GBM. (747)

 

Anticancer pathways and mechanisms

DSF inhibits NF-kB signaling, proteasome activity, and aldehyde dehydrogenase (ALDH) activity. It induces endoplasmic reticulum (ER) stress and autophagy and has been used as an adjuvant therapy with irradiation or chemotherapy drugs. DSF not only kills the normal cancer cells but also targets cancer stem cells. (748) Disulfiram binds to nuclear protein localization protein 4 (NPL4), induce its immobilization and dysfunction, ultimately leading to cell death. The cytotoxicity of DSF depends on copper (Cu). (749) DSF penetrates cancer cells and chelates Cu intracellularly. Compared with normal tissues, many cancers exhibit higher levels of
intracellular Cu (2–3 fold). (750) Copper plays a crucial role in redox reactions and triggers the generation of reactive oxygen species (ROS). DSF/Cu is a strong inducer of ROS production and an effective proteasome inhibitor, resulting in the inhibition of NF-κB. NF-κB is an ROS-induced transcription factor with strong anti-apoptotic activity, which in turn reduces the pro-apoptotic effect of ROS. (749, 751) DSF/Cu simultaneously activate the ROS-JNK pro-apoptotic pathway and downregulate anti-apoptotic pathways such as NF-kB signaling. (752)

 

The activation of executioner caspases, such as an increased ratio of Bax and Bcl2 proteins, indicated that the intrinsic apoptotic pathway may be involved in DSF/Cu-induced apoptosis. (753) As a bivalent metal ion chelator, DSF has been considered to form a complex with Cu (DSF/Cu), which is more readily taken up by cells and exerts cytotoxic effects on a variety of cancer cells while sparing normal cells. When chelated with copper, DSF down-regulates the expression of several genes involved in DNA repair pathways.

 

Recently, an increasing number of clinical trials have verified the hypothesis that the binding of disulfiram or its metabolites to copper produces antitumor effects. In a study of head and neck squamous cell carcinoma, a DSF/Cu injection markedly inhibited tumor growth at a
concentration of 50 mg/kg, while DSF alone showed limited efficacy compared to DSF in combination with copper. (754) DSF ultimately exerted inhibitory effects on head and neck carcinoma cell lines mainly by inducing autophagic cell death and inhibited tumor progression in xenograft model. DSF shows cytotoxicity towards several model cancer cell lines in vitro, including breast, lung, pancreatic, prostate, liver, and ovarian cancer, as well as acute myeloid leukemia, glioblastoma and melanoma, effectively inducing apoptosis in cancer cells.

 

For example, DSF inhibits the growth of temozolomide-resistant glioblastoma (GBM) cells, (IC90 = 100 nM), but does not affect normal human astrocytes. These classically temozolomide-resistant cells were sensitive to 500 nM DSF, a sufficient concentration to suppress tumor cell growth over 72 h, and the self-renewal ability of these cells was also completely inhibited. (755, 756) Tumor-associated macrophages (TAM) affect tumor progression and resistance to chemotherapeutic agents. FROUNT is highly expressed in macrophages, and its myeloid-specific deletion impairs tumor growth. Further, DSF acts as a potent inhibitor of FROUNT and decreases macrophage tumor-promoting activity. (757) In preclinical studies, when administered in combination with other conventional therapies, DSF exerts a synergetic therapeutic effect on cancer.

 

According to in vivo studies, the activities of chemotherapeutic drugs such as cisplatin, temozolomide cyclophosphamide, 5-fluorouracil,
sunitinib and auranofin are all potentiated by DSF. (747)

 

Clinical studies
In a double blind trial, 64 women with breast cancer were treated with sodium ditiocarb (diethyldithiocarbamate) or a placebo. (758) After 6 years, a significantly higher overall survival rate was observed in the ditiocarb group than in the placebo group (81 vs 55%, respectively).

The disease-free survival rates were 76 and 55% in the ditiocarb and placebo groups, respectively. Ditiocarb is the main DSF metabolite in the human body that contributes to its mechanism of action.

 

In a phase IIb clinical trial the addition of DSF to a combination regimen of cisplatin and vinorelbine was well tolerated and appeared to prolong survival in patients with newly diagnosed non-small cell lung cancer. (759) The addition of DSF plus copper to temozolomide appears to prolong the disease-free survival in patients with glioblastoma. (760-762)

 

Types of cancers disulphiram may be beneficial for
DSF may be beneficial in the following cancers: breast, lung, pancreatic, prostate, liver, and ovarian cancer, as well as acute myeloid leukemia, glioblastoma, and melanoma. DSF and copper may have a particular role in patients with glioblastoma. (747, 749)

 

Dosing and cautions
DSF is inexpensive, and its tolerability and safety have been demonstrated over years of clinical experience with many patients. DSF is generally administered at a dose of 80 mg three times a day or 250 mg once daily, which appears to be the maximal tolerable dose. (760, 762) Copper at a dose of 2 mg three times a day should be added. (761)

Quels sont les oncologues qui sont au courant de tous ces travaux ? De toutes ces PREUVES qui s’accumulent ?

Ces clowns qui achèvent les malades à grandes lampées de “chimios” sont trop occupés -contre du pognon et des avantages- à promouvoir les “nouveaux protocoles”  de Big Pharma, comprendre des poisons toujours aussi mortels, mais légèrement différents.

Dernier point important : derrière cette littérature scientifique… il y a des malades qui UTILISENT ces molécules et AVEC SUCCES (en plus des traitements classiques ou pas).

Et ce mouvement prend de l’ampleur… Cela se voit sur plusieurs groupes Facebook (ou via de nombreux livres publiés).

Là encore, on mesure mal les effets bénéfiques du… Covid ! (certains individus ont enfin compris la nullité crasse de la plupart des médecins et la corruption insensée qui pollue Big Pharma).

Faites l’effort de lire ce bouquin, faites le tourner. Prenez le pouvoir sur votre santé !

Aux débiles mentaux qui vous traitent de “charlatan” opposez… la “science” !

La vraie, celle des scientifiques besogneux

J’insiste : on doit être optimiste.

Des gens sérieux bossent dans l’ombre. Ils progressent. A la fois sur les traitements et la compréhension de la maladie, sa nature, ses mécanismes (car dans le cas du cancer, la théorie officielle des mutations ADN est mise en échec depuis six décennies).

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Médicament Résistance

Quand l’ail nous donne un cours de géopolitique

Je vous présente Monsieur Gousse, professeur émérite de géopolitique culinaire et médicinale, rattaché au Collège de France et à l’Université de Melbourne.

Certains pensent encore que le “coronavirus” était terrible et que nous avons failli tous mourir dans d’atroces douleurs, selon la formule consacrée.

Voici un reportage diffusé sur la télé australienne (pourtant très covidémente), pas daté mais durant lequel ils évoquent le variant “delta” (donc fin 2020/début 2021).

De quoi s’agit-il ? D’une variété d’ail cultivé en Australie… et qui… ô surprise !… casse la gueule de la terrible arme bactériologique développée par des scientifiques sino-américains déjantés et des pangolins hystériques.

De l’ail…

Je l’ai souvent répété… on finira par avouer que l’eau gazeuse, le vin rouge, le munster fermier coulant… sans oublier le chocolat noir… la masturbation, les Pokémon, et le Requiem de Mozart, tout… virtuellement… tout est capable de détruire le terrible virus responsable de la plus grande pandémie de toute l’histoire des vertébrés…
😉

Bref.

Outre ses miracles culinaires et sa capacité à pimenter les véritables baisers des véritables amants, l’ail possède de nombreuses vertus médicales.

Et c’est même un fongicide. A garder dans un coin de son nez lorsque le Grand Crabe viendra vous croquer les miches.

Et vous allez voir que d’une simple gousse d’ail à la géopolitique il n’y a guère qu’une brandade de distance !

Un lecteur attentif sur Twitter a en effet retrouvé un test clinique IRANIEN… durant lequel ils filaient de l’ail à des  couillonavirés… en PLUS DU REMDESIVIR, le fameux poison de Gilead, le géant pharmaceutique américain !

Lien : https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC10011030/

Ici, un brin de culture est nécessaire… Si vous ne vous souvenez pas que l’Iran avait construit une usine pour fabriquer le Remdesivir… alors vous ne pouvez pas comprendre l’absurdité d’une telle étude.

Politiquement, c’est très parlant aussi.

Je rappelle que l’Iran fut “frappée” très tôt par le mystérieux virus, lequel affichait un goût aussi certain qu’étonnant pour… les officiels du pays (ministres, députés, fonctionnaires etc.).

L’Iran qui a des liens très étroits avec… la Chine.

Eh oui, on y revient toujours.

La Chine qui se gorge des hydrocarbures bon marché des Perses.

Et je l’ai écrit très tôt : quoi de mieux pour resserrer les liens avec son fournisseur, inverser les rôles et le rendre encore plus dépendant de vous ? Lui faire peur avec un terrible virus…

Mais tout ceci est bien entendu l’expression d’un complotisme effréné… 😉

Bref, il faut bien prendre la mesure du délire : des Mollahs en guerre contre les Etats-Unis depuis 40 ans, qui construisent une usine pour fabriquer un poison américain pour lutter contre un virus chinois mais qui aurait été répandu par les Etats-Unis, tout en vendant du pétrole aux chinois et en étudiant les effets de… l’ail sur les malades… et qui finissent par utiliser… l’ivermectine (lire ici) ! 😉

C’est un fait indépassable : le Réel est toujours un peu plus complexe que ses représentations sur BFMerde ou dans Le Monstre.

Un mollah iranien en pleine réflexion culinaire : “ce soir, je me fais une brandade de morue, un canard laqué ou un ragoût de Remdesivir ?”