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Des nouvelles de la machine qui fait wizz : suivi sur 12 mois

Amis cancéreux, bonjour. Voici des nouvelles -fraîches et croustillantes- de la machine qui fait “crac, paf, wizz”.

Bref rappel : à la poubelle la chirurgie, place à des ultrasons concentrés qui “liquéfient” les tumeurs. Le système immunitaire se charge ensuite de finir le sale boulot.

Nom du procédé ? Histotripsy.

Décidément, ça ne passe pas, mais foin de nos sensibilités langagières.

Méthode non invasive, non traumatique (anesthésie générale toutefois). Autorisée en 2023 par la FDA pour les tumeurs du foie.

Pour les retardataires, lire mes articles précédents ici et .

Un essai clinique, HOPE4LIVER,  fut mené avec 47 malades en fin de course (chirurgie pas possible, métastases, la totale, tout le who’s who) aux Etats-Unis, UK, et Europe continentale.

Une étude intérim de suivi sur 12 mois vient d’être publiée (lire article ici).

Au menu :

  • 19 patients avec cancer du foie et 28 avec des métastases hépatiques
  • 52 tumeurs traitées. Taux de contrôle : 90 %.
  • Survie à 1 an : 73,3 % pour le foie, 48,6 % pour le groupe métastases.
  • 6 effets secondaires sérieux (pas décrits) dans les 30 jours (1 seul, mais non sérieux, au delà de 30 jours)

De tels indicateurs sont raccord avec les traitements conventionnels, affirment les auteurs.

Dommage : l’historique médical de ces malades n’est pas publié. Combien avaient subi des chimios à répétition auparavant, etc. ?

Histotripsy est déjà utilisé en production si j’ose dire. Il y a un groupe Facebook dédié (avec 4 200 membres, excusez du peu).

Alors que penser de tout cela ? Je répète ma position :

-c’est prometteur

-c’est non invasif, pas traumatique, énorme progrès en soi

-c’est agnostique (ce traitement ne prétend pas expliquer les causes du cancer, ce n’est pas le sujet)

-est-ce que cela peut guérir ? La réponse raisonnable est sans doute négative (des cellules cancéreuses demeurent toujours présentes et le crabe peut reprendre sa progression). Mais cela permettrait de le “contrôler” (chaque fois qu’une tumeur pointe le bout de son nez, paf, on la fait “bouillir”).

-la solution gagnante à mon sens : utiliser histotripsy sur des cancers avant stade 4 (on a pris des crevards pour le test clinique, cela influence forcément l’optique et les résultats).

-enfin -c’est un élément fondamental- il faut associer ce traitement aux médicaments repositionnés (beaucoup moins toxiques que les chimios et rayonnements ionisants, outils conventionnels totalement délirants).

Que faire à présent ?

Attendre.

Suivre sur le temps (12 mois, trop court) les patients déjà traités. Cette cohorte grossit peu à peu (puisque des malades en dehors du test clinique sont effectivement traités, aujourd’hui). Et parmi eux, certains prendront des médicaments repositionnés.

Suivre les infos sur le groupe Facebook. Cette technologie va s’affiner et sera sans doute autorisée/appliquée à d’autres types de cancer.

D’autres médecins seront formés (un aspect essentiel, comme pour la chirurgie). Des hôpitaux vont s’équiper.

Un point qu’il convient de garder en tête : le géant pharmaceutique Johnson&Johnson a investi dans cette société… des dizaines de millions de dollars.

Autre point : la société (HistoSonics) a reçu des propositions de rachat… Elle envisagerait une valorisation -folle- de… 2,5 milliards de dollars ! Donc attention à l’hubris… Attention aux “bulles”…

Ma pensée confucianiste du jour :

Le cancer rend fou. L’argent du cancer rend encore plus fou. 😉

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Cancer : et si on parlait… d’excréments ?

Oui, c’est difficile. Mais il faut regarder le Réel en face.

Printemps 2020. Tim Story, professeur de sport dans un lycée du Mississippi (Etats-Unis), apprend qu’il souffre d’un cancer du côlon, stade 3. Il a 49 ans (source NBC News).

Printemps 2022, les médecins sonnent la cloche (avant le requiem). Il lui reste quelques mois à vivre.

Entre temps, le pauvre Tim a tout enduré : plusieurs cycles de chimios, de la chirurgie et de l’immunothérapie. Rien à faire. Le crabe progresse toujours. Il a métastasé.

Le pronostic est dès lors imparable : les carottes sont cuites, ou si vous préférez en raison des circonstances, le cheeseburger est cuit.

Brûlé même.

On lui dit : il reste un truc expérimental qui traîne là, dans une clinique, au fond d’un couloir, à la cave. Vous n’allez sans doute pas aimer. Une thérapie avec… du caca.

En langage médical : une transplantation fécale.

Aïe.

Mais quel rapport avec… le cancer ? !

Pour un béotien, autant parler des liens entre le trésor des Templiers, la course à pied et la recette de la ratatouille marocaine (ou algérienne ? Je ne sais plus).

Mais inévitablement… notre cancéreux finit par accepter, selon le fameux principe existentiel : “foutu pour foutu”

Se faire injecter dans le fion une préparation méphistophélique à base… de merde prélevée sur un individu “sain” (on parle pudiquement de “super donneur“, c’est un poil plus engageant)… au point où l’on en est (30 kilos à sec sur la balance, le teint vert de gris, l’haleine fétide et des cernes sous les yeux)… balancez l’étron fraîchement démoulé, envoyez le nouveau protocole, j’achète. Le père Pascal peut aller se rhabiller chez Zara avec son pari à la noix.

On procède donc fissa (et surtout recta) à la transplantation.

Automne 2023. Tiens, tiens… Tim Story se sent un peu mieux. Ah bon ? Stupéfaction stupéfiante : des tumeurs commencent même à disparaître !

Automne 2024… sapristi… non seulement le bougre n’est pas mort, mais les médecins le déclarent “cancer free” !

Ces pirouettes merdiques, pardon fécales, ne sont pas nouvelles. D’autres tests, ailleurs, ont également provoqué des rémissions, y compris avec d’autres pathologies (infection récidivante à Clostridium difficile, maladie de Crohn, syndrome de l’intestin irritable, autisme, etc.).

Le problème n’est pas là. La SEULE VERITABLE question est : comment ?

Et même comment se fesse, pour filer la métaphore…

“Un cul de bonne femme Oh ! Il est magnifique. J’vais le peindre en vert, en bleu, en rouge, en jaune”… Ah, Jean-Pierre, si tu savais…

Quel est le lien entre la santé du microbiote (les gazillons de bactéries, virus et champignons qui colonisent nos entrailles) et un cancer métastasé ?

C’est quoi le rapport avec la choucroute ? (Il y en a, c’est ça le plus drôle ! Les micro-organismes bénéfiques issus de la fermentation du chou, mais je m’égare… ).

On connaît la réponse et elle est évidente (sauf pour l’écrasante majorité des oncologues et des médecins, cela va de soi) : le système immunitaire.

Un “cul” sain, une flore intestinale bétonnée aux petits oignons… c’est un système immunitaire performant, qui fait son boulot du mieux possible, et vice-et-versa.

Les deux sont liés, désolé.

Cela vous troue sans doute un deuxième fondement… excuse my french… mais c’est ainsi.

Et n’oubliez pas : au sujet des intestins, on va même jusqu’à évoquer un… “deuxième cerveau” ! 😉 …

Notre fameux système immunitaire apparaît ainsi le mieux placé pour casser la gueule des tumeurs.

Cette simple expérience, par la bande ou plutôt par le derrière… PROUVE que les traitements conventionnels “contre” le cancer (chimiothérapies et rayonnements ionisants), en réalité le font FLAMBER puisqu’ils endommagent consciencieusement le système immunitaire des malades !

Les preuves s’accumulent quant à l’importance de nos défenses naturelles (et des moyens par lesquels les cellules cancéreuses tentent de s’en protèger, mais ceci est un autre débat)… mais cela ne percute toujours pas.

Les oncologues de Molière continuent de se couvrir de ridicule avec leur pseudo science, leurs obsessions génétiques et leurs “protocoles” sinistres.

Ils continuent ainsi, laborieusement, d’assassiner des millions de personnes.

Oh rassurez-vous… au nom de la science, toujours !

La même science qui vous dit que la transplantation fécale est “expérimentale” (sous-entendu, certainement dangereuse, malsaine, vaudou)… Oubliant que la médecine traditionnelle chinoise la pratiquait (sous une certaine forme)… au IVè siècle contre les problèmes digestifs (diarrhée, etc.).

“Messieurs, nous avons utilisé 15 chimios et un total de 290 Gy de radiations… Le cancéreux refuse de mourir. Que faire maintenant ? Une saignée !”

On me rétorquera sans doute : “responsables mais pas coupables, prout“…

Des clous.

Cela fait des DECENNIES que vous faisons la même chose (chimios, rayonnements ionisants)… et cela fait des DECENNIES que cela ne marche pas car la théorie des mutations somatiques est tout simplement loufoque et la quête des “oncogènes”, puérile.

Au mieux, au bout de soixante ans, nous sommes parvenus à donner corps à la définition de la démence (“La folie, c’est de faire toujours la même chose et de s’attendre à un résultat différent“)… !

Dès lors, si des individus avec un bac + 15 continuent leurs combines, l’air de rien et avec la satisfaction du travail bien fait… cela signe non seulement leur profonde stupidité

Mais aussi et surtout leur culpabilité.

POST-SCRIPTUM

Vous connaissez mon art de l’à-propos et surtout du parallèle fulgurant…

Qui dit excréments dit odeurs. Qui dit odeurs dit… cancer… et même maladie de Parkinson (entre autres pathologies).

Hein ? C’est quoi ce bazar ?

Lisez cet article publié par The Telegraph.

Synthèse : une mamie anglaise équipée d’un sens de l’odorat hors du commun a, durant sa carrière d’infirmière, appris à “sentir” les malades et leurs problèmes de santé.

Si, si.

On savait déjà que les chiens pouvaient renifler, littéralement, des tumeurs cancéreuses.

La mamie british -elle- se spécialise dans… la maladie de Parkinson. Cela paraît fou, n’est-ce pas ?

Comment un fonctionnement neuronal -normal ou anormal- pourrait-il “sentir”, émettre telle ou telle odeur ?

Si on accepte la théorie selon laquelle la plupart des pathologies lourdes… sont provoquées par des infections chroniques de microbes, de parasites ou de champignons (lire l’excellent bouquin de Paul W. Ewald, Plague Time : The New Germ Theory of Disease)… alors tout s’éclaire.

Ces micro-organismes libèrent des toxines et génèrent en permanence des métabolites (des molécules que notre corps dégrade). Lesquels sont ensuite évacués (urines, sueurs, excréments).

Ce sont tous ces sous-produits qu’un… “nez” pourrait donc capter, sentir.

Vous allez me dire qu’une fois de plus je déconne à plein tube à essai… 😉

Accrochez bien votre string ou votre culotte victorienne.

Connaissez-vous l’histoire du petit vers (Caenorhabditis elegans) qui est attiré par l’urine de femmes cancéreuses et qui est repoussé par l’urine de femmes saines ?

Comment réalise-t-il cet exploit ? Il “sent”, littéralement, des métabolites spécifiques… qui proviennent des tumeurs.

De multiples expériences le démontrent.

Lien : https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/25760772

Alors… pourquoi pas ? Cela pourrait valider la théorie de Paul W. Ewald ?

La maladie de Parkinson -dont nous ne connaissons toujours pas la ou les causes, comme le cancer et l’Alzheimer malgré les salades rabâchées par ces messieurs de l’Académie- serait-elle un ensemble de symptômes neurologiques provoqués par… une infection chronique, impliquant un ou plusieurs micro-organismes ?

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Aspirine et cancer : une plaisanterie qui dure depuis 50 ans

 

Oncologue venant de découvrir l’aspirine.

Aspirine et cancer ? Et puis quoi encore ! Pourquoi pas lait fermier et cancer ? Ou salade auvergnate et cancer ? On en parle car… les médias en parlent.

Ils relaient en effet une étude publiée dans Nature, début mars. Son titre ?

L’aspirine prévient les métastases en limitant la suppression de l’immunité des lymphocytes T par le TXA2 plaquettaire

Ce que les médias traduisent par :

Cancer : les surprenantes vertus anti-métastatiques de l’aspirine (Le Figaro)

 

Scientists crack how aspirin might stop cancers from spreading (BBC)

Diantre ! Foutritude surprenifiante !

Madame Michu qui lit consciencieusement son quotidien le matin et qui regarde BFM-TV et LCI (alternativement) le reste de la journée, en est toute secouée.

Avant de revenir sur cette fameuse étude… pourquoi j’ai utilisé le mot “plaisanterie” dans le titre de mon billet ? Plutôt gonflé, non ?

Non.

Allez sur PubMed (la base de données des articles scientifiques). Tapez “cancer aspirin” (sans le “e”, en anglais donc). Résultats ? 6 450 papiers !

Si, si.

L’article le plus ancien que j’ai trouvé, avec un titre qui ne souffre aucun malentendu, date de… 1972. Et fut publié dans The Lancet (pas exactement un fanzine d’étudiants) :

L’effet anti-métastique de l’aspirine

Oui Madame Michu, oui Monsieur Robert… des scientifiques disaient ainsi EXACTEMENT LA MEME CHOSEil y a plus de 50 ans. 😉

Un demi siècle.

La tuile.

A ce stade, nos joyeux retraités, parfaits représentants de la population des boomeurs… risquent d’être légèrement irrités

“Ah ben dis donc ma chérie, si on avait su… on aurait pu donner de l’aspirine à Mauricette. Et tonton Roger aussi. Et sa fille, Jacqueline. Et la cousine Catherine ! Et Gérard, le pauvre Gérard. Et… à nous aussi, bordel de merde !”

Eh oui, Madame Michu et son mari Robert… finiront probablement par passer à la casserole, avec chacun leur petit carcinome (pas de jaloux, le cancer demeure une pathologie liée à la vieillesse).

Mais la situation est bien pire… Car entre ces deux dates, 1972 et 2025… ce sont en réalité des CENTAINES, des MILLIERS d’articles scientifiques qui pointent des liens entre aspirine et différents cancers…

Vous n’y croyez pas ?

Allez-y, faites vous plaisir (et puis bossez un peu aussi) :

https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/?term=cancer%20aspirin[Title%2FAbstract]&sort=pubdate

Je ne vais pas faire ici de liste. Trop fastidieux. Vous devez simplement comprendre que cela fait des ANNEES que des actions positives de l’aspirine sur des cancers… sont OBSERVEES, DEMONTREES, ETABLIES.

Les gens intelligents et curieux… sont ainsi parfaitement au courant.

Sauf… les oncologues. 😉

Absolument.

L’oncologie est en effet un monde très particulier. Ces hommes et ces femmes, forts de gazillons d’années d’études cumulées sont les spécialistes de quelque chose… que l’on ne connaît pas (le cancer), pour reprendre la définition sublime créée par Dieudonné.

En clair : ils ne sont au courant de rien, ils ne lisent pas, ils se bouchent les oreilles.

A part appliquer religieusement des listes (les fameux “protocoles“), fournies clés en mains et surtout cartes de crédit en mains par Big Pharma, composées de chimios et autres délires (rayonnements ionisants, etc.)… ces gens, je le répète, mettent un point d’honneur à ne surtout pas lire ce que la communauté scientifique (la vraie) découvre, écrit, publie quotidiennement et ce depuis des décennies.

C’est vertigineux.

Je tiens à souligner que les “anti-inflammatoires non stéroïdiens” (famille à laquelle l’aspirine appartient) en plus de propriétés antitumorales… possèdent des propriétés ANTIFONGIQUES.

C’est bien entendu une coïncidence…

Faites le test Google. Tapez “aspirin antifungal” par exemple.

Ce lien, ce véritable PARALLELISME entre cellules cancéreuses et cellules fongiques, se retrouve chez des dizaines d’autres molécules (naturelles ou synthétiques).

En d’autres termes, quand vous avez sous la main une molécule (quelle qu’elle soit) qui semble efficace contre le crabe… elle a de très fortes chances… d’être EGALEMENT efficace contre les fungi, les fameux champignons, levures et autres moisissures.

Il s’agit d’un canari dans la mine qui nous permet de comprendre que la thèse “cancer = mutations génétiques”, ce qu’on appelle la “théorie des mutations somatiques” (car malgré ce qu’on vous a appris à l’école, c’est une simple théorie), est une vaste fumisterie sanitaire.

Mais revenons à l’étude qui met le Figaro en transe.

Son intérêt est qu’elle éclaire le mécanisme d’action de l’aspirine. Et il est très simple.

-l’aspirine comme vous le savez agit sur les plaquettes (elle fluidifie le sang, donc parfait pour la prévention des AVC)

-les cellules tumorales favorisent la sécrétion anormalement élevée de la thromboxane A₂ (TXA₂) par ces plaquettes

-la TXA₂ provoque l’inhibition de certaines… cellules immunitaires  (lymphocytes T), permettant ainsi au cancer de se développer plus facilement

-l’aspirine bloque/réduit la production de TXA₂… laissant ainsi le champ libre à nos défenses immunitaires (système adaptatif) pour détruire les cellules cancéreuses.

Voilà.

En clair, l’aspirine “libère” certaines parties de nos défenses naturelles contre les cellules cancéreuses.

A ce stade, vous vous sentez sans doute comme Alice en train d’entrer dans le terrier du lapin blanc…

Alors… Pourquoi TOUS les protocoles anticancéreux n’intègrent-ils pas l’aspirine, une molécule ancienne, parfaitement maîtrisée et qui ne coûte rien ?

Réponse…

“Ah ben… nous ne sommes pas sûrs… vous comprenez… l’aspirine peut être… DANGEREUSE.”

😉

Les gens, les clowns plutôt, qui injectent des poisons mortels à des malades et qui brûlent leurs chairs avec des rayons ionisants, démolissant ainsi leurs défenses naturelles contre la maladie qui les ronge… ces gens craignent donc… les dangers de l’aspirine !

Voilà.

Cela résume toute l’absurdité de l’oncologie moderne.

“Ce soir, la France a peur. De la Russie bien sûr, mais surtout de l’aspirine. Un enfant cancéreux est mort en s’étouffant avec un cachet d’aspirine.”
POST-SCRIPTUM

Pour les lecteurs pointus et qui suivent… y’a t-il un lien entre cellules fongiques et thromboxane A₂ ? La réponse est oui (en théorie du moins). Via plusieurs mécanismes (inflammation, activation des plaquettes, métabolisme de l’acide arachidonique).

Le Candida par exemple pourrait contribuer à l’augmentation de la thromboxane A₂, ce qui en retour le protègerait (des attaques du système immunitaire).

La boucle est bouclée.

Quant à l’aspirine, le lien thromboxane A₂=inhibition des lymphocytes T n’est peut-être pas le seul mécanisme à l’oeuvre. Son action antifongique pourrait ainsi… s’ajouter.