On connaît parfaitement les groupes à risque face au couillonavirus :
-les vieillards
-les malades (hypertension, diabète, obésité etc)
Si vous combinez les deux, vous êtes dans la ligne de feu.
Pourtant, il faut rappeler un point fondamental : de nombreux individus qui répondent à ces critères et qui sont couillonavirés… NE MEURENT PAS.
Et heureusement !
Deuxième chose fondamentale à rappeler : malgré le terrorisme pratiqué par les covidéments, ce virus demeure une plaisanterie au niveau de la mortalité globale.
Alors comment expliquer les différences que l’on voit sur le terrain ? Il est très probable que les gènes soient un élément de réponse.
De la même manière qu’un individu n’ayant jamais fumé pourra succomber d’un cancer du poumon carabiné, alors qu’un autre fumant comme un pompier décèdera à un âge canonique, sans cancer (et en se foutant de la gueule du premier bien entendu).
Nous ne sommes pas égaux.
Le Covid ne peut échapper à cette vérité biologique.
L’université d’Edimbourg (Ecosse) a réalisé une étude sur 2 700 patients anglais répartis dans 208 unités de soins intensifs et infectés par le Covid (forme grave).
22 % d’entre-eux sont décédés.
Les informations génétiques de ces malades ont été comparées à celles de 100 000 personnes.
Five genes emerged as being extremely common in severe Covid cases.
Researchers say the discovery of five genes that appear so clearly to be linked to the disease is unprecedented in the field.
Knowing which genes are involved in severe cases of coronavirus infection can help scientists identify pre-existing drugs that could help treat Covid, the researchers say (source DailyMail)
L’étude vient d’être pré-publiée dans la revue Nature.
“Il n’existe pas de traitement contre le Covid”…. Merde ils vont encore me tomber dessus.
Hydroxychloroquine, antibiotiques comme l’azithromycine (lire ici), zinc, anti-inflammatoires non stéroïdiens, vitamine D… la pharmacopée anti-couillonarivale est déjà bien fournie.
Et ça marche, malgré les dénégations de plus en plus grotesques des appareils étatiques appuyés par les grands labos (qui n’attendent tous qu’une seule chose : les fameux vaccins ou thérapies géniques).
On a déjà parlé de l’ivermectine, un médicament anti-parasite, créé à la fin des années 70 (au Japon).
Ceux qui sont malins, qui ont de la culture générale et ceux qui ont des enfants ont lu le papier de Didier Raoult… publié en 2013. Article où il révèle le grand secret : une dose d’ivermectine… Et les poux… finis. Disparus. Pfuit.
Une seule dose… Alors que depuis des décennies on se casse le cul à acheter des shampoings, des lotions à la con… des sommes colossales… pour une efficacité proche de zéro.
En 2017, le marché des articles antipoux vendus en pharmacie a représenté près de 63,4 millions d’euros, en hausse de 10 % en valeur sur un an (source Le Monde)
Une méta étude passionnante vient d’être publiée aux Etats-Unis. Elle montre les effets spectaculaires de cette molécule en traitement au début et même pour les cas hospitalisés (et même les “post Covid”, ceux qui traînent des symptômes pendant longtemps).
Son titre ?
Review of the Emerging Evidence Demonstrating the Efficacy of Ivermectin in the Prophylaxis and Treatment of COVID-19.
Cette étude présente les résultats d’autres études… Par exemple au Paraguay, Brésil et Pérou.
Je vais détailler un seul exemple (parce que j’ai la flemme, vous devez bosser de votre côté aussi) : au Paraguay, le gouverneur de l’état de Alto Paranà (sud-est)… a distribué de l’ivermectine, sous le couvert d’une campagne “anti parasites” (car le gouvernement central ne recommande pas l’usage de cette molécule contre le Covid).
30 000 boîtes distribuées entre septembre et octobre.
Covidécès et covicas entre juin et novembre. L’état du Alto Paranà est en bleu. Asuncion en orange. Central en rouge et les autres états en gris. On voit clairement le décrochage à partir de septembre/octobre et la distribution d’ivermectine.
Bien entendu, les clowns tristes vous diront “c’est du pré print ! L’étude n’a pas été revue, prout ” et patati et patata.
Les mêmes personnes covidémentes qui veulent vacciner la planète entière avec des thérapies géniques développées… en quelques mois, sans aucun test sérieux, aucun recul, sans données… !
Et si vous voyez là une quelconque contradiction, c’est que vous êtes un fasciste, raciste, voire même homophobe (en plus de grossophobe, et de transphobe bien entendu, sans oublier les classiques bien que surfaits antisémite et islamophobe).
😉
Enfin je signale un site qui recense toutes les études liées à l’ivermectine.
On dit que les femmes vénézuéliennes sont les plus belles du monde.
En tout cas, elles monopolisaient les concours de beauté.
Je sais. Tout cela ne sonne pas vraiment startup nation, mais il est temps de revenir aux fondamentaux, à l’épure, et de célébrer le beau sexe comme il se doit et d’arrêter les délires genrés/racisés à la con promus par les constructivistes globalistes dégénérés.
Ca y est, je suis énervé, c’est mauvais pour ma fonction cardiaque.
Revenons au sujet.
Ensuite, il y a Maduro. Le sous-dictateur bolivarien avec des morceaux de socialisme dedans mal digérés… Autant son patron feu Chavez avait de la gueule et une certaine envergure, autant lui… c’est un petit-gris, dans un costume mal taillé et trop grand pour lui.
Plus avouons-le, une vraie tête de bite.
“El Gringo, il est bon ton café !” “Euh… Non.”
D’ailleurs sa moustache évoque celle de Saddam Hussein. Méfiance Nicolas, tu vas passer à la casserole ! 😉
Le pauvre, les Etats-Unis veulent en effet sa peau et cherchent en permanence à le dégommer.
Non ce n’est pas pour apporter la “démocratie“… Le pays regorge de pétrole, la forme lourde, bien dégueulasse… Or les raffineries américaines sont calibrées pour traiter ce brut. Et donc, en prévoyance de la disette énergétique, mettre la main sur de telles ressources, est parfaitement rationnel.
Odieux mais rationnel.
Les Américains sont si totalement dérangés quand il s’agit du Vénézuéla qu’en raison de leurs propres sanctions imposées au pays… ils en sont réduits à remplacer l’achat de brut lourd vénézuélien… par du brut russe ! L’autre pseudo grand ennemi de l’Amérique. 😉
Leçon à retenir : on peut être rationnel et en même temps être con comme une enclume. 😉
Ainsi, face à cette pirouette russe, Hillary Clinton en recrache ses corn flakes chaque matin et Joe Biden fait pipi et caca dans sa couche (ah non pardon, là c’est naturel… les ravages du grand âge).
Tout ça pour dire qu’à la place des Vénézuéliens, je prendrais le premier bateau venu pour me barrer fissa, car le bordel insensé que vit ce pays (guerres secrètes US plus délires internes du gang Maduro et de ses potes “socialistes”)… risque de continuer… longtemps.
Et chaque jour qui passe ne fait que renforcer cette évidence (idem en Iran). Plus les appros en hydrocarbures seront “contraintes” plus la moindre réserve deviendra de facto un levier géo-politique… et plus la pression augmentera pour soit s’emparer de cette réserve, soit empêcher ses ennemis… de s’en servir !
Ce second cas de figure est évident avec l’Iran. Si les mollahs peuvent exploiter leurs réserves de brut de qualité, ils deviendront de plus en plus puissants. Hélas pour lui, le Vénézuéla est dans la 1ère catégorie, car très proche géographiquement des USA…
Bref. Revenons au couillonavirus (même si vous l’aurez compris, le virus est lié à l’énergie).
Maduro avait publiquement pris fait et cause pour la chloroquine dès le mois de mai. Si, si. On avait vite oublié, car le type est totalement “inaudible” dans les médias occidentaux. Forcément.
Et puis un communiqué officiel de la présidence vénézuélienne, daté du 14 août, nous rappelle que… eh bien des gouvernements même branques et même “socialistes” cherchent des solutions (si possible pas trop chères), au lieu de dire “restez chez vous, prenez du doliprane et attendez le vaccin l’année prochaine“… comme hélas tous les gouvernements occidentaux, à la fois criminels et neuneus.
Plusieurs traitements en fonction de l’avancement de la maladie ont donc été officiellement définis(communiqué ici).
Traduction Google.
Patients asymptomatiques, sans maladie à risque supplémentaire : le traitement appliqué dans cette phase est l’ivermectine et la chloroquine. L’un ou l’autre est utilisé, les deux ne sont pas appliqués simultanément, les deux ont un effet, pour réduire la charge virale et améliorer la réponse immunitaire.
Patients présentant des symptômes légers : le deuxième kit contient les mêmes médicaments que ceux avec lesquels les patients asymptomatiques sont traités mais des antiviraux sont incorporés, comme le Lopinavir ou le Ritonavir, cette association porte un nom appelé «Kaletra». Ces antiviraux réduisent la charge du virus et ralentissent sa reproduction.
À ce niveau de la maladie, l’interféron Alpha-2B est également appliqué pour renforcer la réponse immunitaire. De même, l’azithromycine est incorporée si d’autres symptômes apparaissent.
On notera que… 4 millions de personnes ont fui le pays depuis 2015 (sur une population totale de 28,8 millions)… (source Le Monde).
POST SCRIPTUM
Cette virée bolivarienne haute en couleur est l’occasion de rappeler un fait étrange : l’abscence totale dans la presse occidentale d’articles de fond… décrivant les traitements et les pratiques médicales contre le couillonavirus dans les pays dits émergents, voire même occidentaux.
Faites le test. Cherchez dans Google… Pas grand chose… La presse française par exemple parle de tout, sauf de cela. A quelques exceptions près (exemple la Suède, mais uniquement sous l’angle “confinement/pas confinement”).
Rien au sujet de l’Allemagne (aucune surmortalité toutes causes confondues, et 207 covidécès par million d’habitants versus 819 en France !) (source)… Ni de la Grèce pourtant tous les deux membres de l’UE…
Le vide. Le silence.
Ce vide relève du story telling.
La propagande c’est ce qu’on vous dit.
Mais aussi… ce qu’on ne vous dit pas.
POST COITUM
Des lecteurs attentifs me font remarquer que, emporté par mon enthousiasme bolivarien, je n’ai pas mis les chiffres.
Oubli fâcheux.
Donc :
-méchant Vénézuéla qui utilise la chloroquine : 32 covimorts par million d’habitants
-gentille Colombie (2 200 km de frontières avec le Vénézuéla) qui fait tout ce que les USA lui demandent de faire : 726
Rappel pour mise en perspective : France macronesque et castafioresque = 824.
Comme on disait à la grande époque : “vas-y poupou !” 😉