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Embrassons-nous Folleville et échangeons nos anticorps

“Oh bon dieu, t’es bonne Jeanine ! Oh Raoul, grand fou, tu m’excites ! Vite, échangeons nos anticorps”.

Signalons un papier… surprenant (pré-print, donc pas validé).

Les auteurs proposent une nouvelle idée : la dissémination d’anticorps… par voie aérienne !

Oui, les petites gougouttes… les mêmes qui nous tuent régulièrement avec le terrible couillonavirus.

Prenons deux individus, un homme et une femme, c’est plus simple pour la démonstration.

Appelons-les Raoul et Jeanine.

Raoul est covivierge. Jamais eu le terrible Covid, jamais vacciné. Quel inconscient ! Raoul vit ainsi on the edges comme on écrit dans le DailyMail.

Jeanine -elle- a des kilomètres sous le capot et fait rarement les révisions ! Elle a certes reçu ses 3 injections réglementaires mais a chopé 4 fois et demi le terrible Covid.

Pas de bol (Jeanine est un peu cruche, mais passons).

Raoul est donc toujours en danger face à la terrible pandémie ! Car souvenez-vous : “tous vaccinés tous protégés, prout ” !

Et donc par conséquent : “tous non vaccinés, tous en danger, prout-prout ” ! C’est logique.

Enfin quelque chose comme ça. 😉

Sauf si… sauf si… Un soir, pouf, les deux amoureux transis commencent à se bécoter sur le canapé.

A la fraîche. Décontractés.

Très vite ça dérape en galoches d’enfer. Ensuite, ils se léchouillent à qui mieux-mieux, ça bave partout, le canapé prend cher. Puis ils enchaînent sur une vigoureuse et suante séance de sport en chambre, les laissant tous les deux hale-tants, mais heu-reux… et l’air ambiant rempli de musc et de particules -élémentaires- que la décence et Nadine de Rotschild empêchent de nommer !

Et là… à cet instant précis… le miracle de la Nature.

En anglais : the Nature’s miracle, rien de moins.

Jeannine “envoie” ou “transfère” dans l’air certains de ses anticorps contre le terrible Covid.

Si.

Raoul, dont les chakras sont vachement ouverts, les inspire, les avale à s’en faire les péter la fosse nasale et les amygdales… et zou !

Contact !

Tranquility Base Here. The Eagle Has Landed !

Raoul acquiert ainsi une forme d’immunité contre le terrible virus.

Clap de fin.

C’est dans la boîte, Coco.

C’est beau comme un film de Rohmer et émouvant comme un opéra de Wagner.

Alors que penser de tout ceci ?

Rien pour le moment. 😉

C’est une hypothèse rigolote, mais faut davantage bosser. Avec l’esprit ouvert.

Après tout… 2 individus peuvent bien se refiler des maladies via les fameuses gouttelettes aérosols.

Alors pourquoi -dans certaines conditions- ne pourraient-ils pas se transmettre non pas une chtouille d’enfer, mais une forme de protection ? Contre un miasme ?

On apprend jeune qu’il ne faut pas mettre ses doigts et sa langue n’importe où…

Vraiment ? 😉

Tel Janus, la Nature se jouerait ainsi de nous en version pile et face (je conseille aux élèves en journalisme 1ère année de noter cette phrase, véritable tour de force poétique) ?

Les auteurs partent de l’idée d’immunité collective. Comment l’expliquer ?

Tout le monde ne choperait pas la maladie et/ou le virus ne s’épuiserait pas de lui-même à force de mutations… mais les déjà contaminés/immunisés pourraient transmettre une forme de protection à leurs proches… ce qui aboutirait, de chaîne en chaîne, à cette fameuse immunité collective.

On connaît les traitements par injection d’anticorps (via du plasma) ou encore les injections d’anticorps monoclonaux.

Alors, la bonne vieille pelle, prochaine révolution médicale ? 😉

Le patin plus fort que Pfizer (ce ne serait pas très difficile) ?

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Médicament

Vitamine D comme “Délivrez-nous du mal”

La vitamine D oui rien de plus facile. Par contre pour la pépée en bikini, ne rêvez pas trop !

Enième étude… énième répétition : la vitamine D joue un rôle  important contre le couillonavirus.

Cette étude, publiée par une équipe israélienne, s’appuie sur 1 176 personnes couillonavirées admises à l’hôpital, entre le 7 avril 2020 et le 4 février 2021.

Pourquoi ces 1 176 personnes-là ? C’est l’originalité de l’étude… on connaissait/suivait leur niveau de vitamine D dans le sang AVANT leur contamination (pour diverses raisons, allant de 14 à 730 jours avant).

Conclusion :

From the early stages of the COVID-19 pandemic, establishing vitamin D deficiency as a risk factor was the aim of many investigators. Our study contributes to a continually evolving body of evidence that suggests a patient’s history of vitamin D deficiency is a predictive risk factor associated with poorer COVID-19 clinical disease course and mortality. The use of historical results obtained before the COVID-19 pandemic as part of a public health survey enabled us to suggest vitamin D deficiency contributes to the causal pathway of COVID-19 mortality risk and disease severity.

La vitamine D réduirait d’un facteur 14 le risque d’un Covid grave.

Ca envoie du steack bien bronzé (aux UV).

Pouf… rebelote. Encore une étude (contrôlée randomisée, donc la Rolls).

Ca devient lassant

Cette fois à Mexico, sur des personnels de santé.

Randomized controlled trial of Vitamin D supplementation for prevention of Covid-19 in health care workers

4000 IU/day for 30 days

Result: 77% less infections

Lien : https://www.sciencedirect.com/science/article/abs/pii/S0188440922000455

On répètera donc ad nauseam l’évidence :

-vous êtes à risques (âgé, malade ?) ? Testez votre niveau de vitamine D dans le sang. Si moins de 30, zou prenez des compléments. A fond les marrons.

-vous n’êtes pas à risque ? Eh bien… kif kif… Profitez quand même du soleil ! Ca ne peut vous faire que du bien. 😉

Dernier point : il est inutile de rappeler que ni l’OMS ni les gouvernements n’ont lancé des campagnes d’information au sujet de la vitamine D.

Ni-même sur un autre point qui est très saillant avec le couillonavirus : l’obésité.

Le virus adore la graisse des obèses ! Il s’en pourlèche les babines.

Mais… silence absolu. Alors que les données sont là, depuis 2 ans, des tsunamis de données, DANS LE MONDE ENTIER, et qui démontrent toutes une causation absolue (pour les gens jeunes).

Quand on vous dit qu’un “jeune” est “mort du Covid“. C’est un mensonge par omission. Il était très certainement obèse (ou atteint de pathologies du moyen-âge).

Un jeune, sans problème de santé et qui n’est pas obèse n’a aucun risque Covid. Rien, nada.

C’était déjà vrai en 2020 avec la souche de Wuhan, puis Delta etc. Ca l’est encore davantage aujourd’hui.

Aucune campagne d’information, de prévention ciblée pour ces populations.

Car cela ferait baisser la panique, pas bon ça !

Cela brouillerait la propagande concernant les “vaccins”… Et en réalité -comme les médicaments éprouvés contre le virus, HCQ, ivermectine et une foule d’autres- cela fouterait tout simplement par terre la psyop.

Car une terrible pandémie…

  • qui peut être soignée facilement
  • qui n’est dangereuse que pour une infime fraction de la population de la planète (parfaitement identifiée en plus)…

… ne serait plus par définition une terrible pandémie.

POST-SCRIPTUM

Pour mesurer le foutage de gueule absolu autour de la vitamine D, voici quelques papiers publiés depuis 2020…

C’est ancien, c’est prouvé, ça ne coûte rien, ce n’est absolument pas dangereux… Alors ? On attend quoi ?

Alors le silence obstiné des autorités, de l’OMS et de la plupart des gouvernements de la planète… signe leur intention criminelle, leur conformisme en béton, et enfin leur bêtise crasse.

Lien : https://covidemence.com/2021/04/09/prescription-vitamine-d-et-zinc-au-gnouf/

Lien : https://covidemence.com/2021/05/01/soignez-votre-bronzage-et-donc-vous/

Lien : https://covidemence.com/2021/01/19/vitamine-d-les-francais-decouvrent-enfin-que-leau-ca-mouille/

Lien : https://covidemence.com/2020/11/01/je-bronze-donc-je-suis-toujours-en-vie/

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Médicament

Lait contre virus : mamie avait raison

Des études confirment les propriétés antivirales, anti couillonavirales… du lait (lire mon premier article ici).

Plus particulièrement, la lactoferrine, une protéine contenue dans le lait (de la plupart des mamifères).

Les grands-mères avec leurs verres de lait chaud allongé au miel… avaient donc raison !

C’est au tour de l’université de Michigan de plonger une paille dans le liquide blanc.

Bovine lactoferrin has shown antiviral activity in human clinical trials,‘ Dr Jonathan Sexton, a researcher at the University of Michigan’s department of internal medicine, said in a statement.

Sexton even believes that drinking milk could even work as a post-exposure treatment to prevent a person from being infected.

‘Given the broad antiviral efficacy and safety, minimal side effects, and commercial availability of bovine lactoferrin, several review papers have suggested using it as a preventive or post-exposure treatment for SARS-CoV-2 infection,‘ he said. (source DailyMail)

La nature est décidément bien faite… 😉

POST-SCRIPTUM

Je sais que cela brisera quelques coeurs, moins en tout cas que les produits ARNm, mais je vais réduire la voilure de ce blog, son rythme (un article publié chaque jour).

Pourquoi ?

Non je n’ai pas le Covid, ni un cancer. Mais le Spectacle est passé à autre chose. Je ne vais pas commencer à chroniquer la 36ème guerre mondiale de le Golfe de la Ukraine, comme un gland.

Moi mon truc c’est le couillonavirus et la Chine. 😉

Bref, la covidémence est passée au second plan. Donc, je m’adapte. Je lève le pied.

Je continuerai à publier quelques papiers quand l’actualité covidémentielle le permettra.

Portez-vous bien, n’oubliez pas la vitamine D, le soleil et le pinard.

Hauts les slips et les strings !

A bientôt.