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Mutants

Toc toc ! C’est qui ? Le nouveau variant sud-africain

Le variant Mobutu était une vraie tante. Espérons que Bokassa, le nouveau kid on the block sera davantage à la hauteur. Le poil luisant, les crocs blancs, le regard vengeur et la lance acérée, il a au moins la gueule de l’emploi. Préparez les tests PCR ! Chargez vos 3èmes doses !

Réglé comme du papier à musique ! C’est la rentrée… le variant indien a été usé jusqu’à la corde estivale… il était temps de “release the Kraken“, ou plutôt de découvrir un nouveau variant.

Pour assurer la collection automne-hiver 2021.

Eh oui, le couillonavirus c’est aussi une affaire de mode. En tout cas de calendrier.

Son petit nom ? C1.2. Un nom à la con. J’ai décidé de le baptiser “Bokassa Dernier”, dans la lignée du “Mobutu Noir” (de l’année dernière).

Il est originaire d’Afrique du sud. Donc exotisme inquiétant tendance noire canal historique. C’est parfait. Le noir ça fait toujours peur.

Le scénario se répète à chaque fois :

  • oh zut un nouveau variant !
  • il pourrait être plus contagieux, plus dangereux
  • il pourrait échapper aux vaccins

Pour les besoins cinématographiques on a ajouté une particularité : c’est le variant qui compte le plus de mutations en un minimum de temps.

De la galaxie.

“Plus” c’est plus grand que ‘”moins”, tout le monde s’accordera là-dessus. “Plus” c’est donc franchement inquiétant.

Donc c’est trop horrible.

Découvert dans la savane en mai dernier, la saleté a déjà essaimé nous dit-on :

While first detected in South Africa, C.1.2 has since been found in England, China, the Democratic Republic of the Congo, Mauritius, New Zealand, Portugal and Switzerland. (source Jerusalem Post)

En Chine ? Quelle poilade. Je rappelle que le couillonavirus n’existe pas en Chine.

Bref, le Mobutu Noir se révéla être une tarlouze de salon. Beaucoup de bruits pour pas grand chose.

Espérons que le Bokassa Dernier sera bien énervé et qu’il parviendra à prendre l’avion -en classes affaires- jusqu’en Europe.

Et avant Noël s’il vous plaît !

On a un putain de calendrier à respecter !

On a des réas à remplir ! Y’a des gens qui bossent merde à la fin ! “, comme le rappelle Olivier Variant (de retour de congés, et bronzé comme le cul d’une brésilienne à Saint-Tropez, mais ceci est un autre sujet, le bougre a fait le plein de vitamine D, on va le dénoncer au Conseil de l’ordre, il ne s’en tirera pas à si bon compte, saleté va).

MISE-A-JOUR

Un bonheur n’arrive jamais seul. L’OMS est rentrée de vacances, donc relance la machine à pataterreur. Ainsi… All hail le variant colombien !

J’avais déjà parlé de l’animal en constatant que c’était de la bonne… je veux dire de la bonne coke (lire ici).

Rebaptisé “Mu” pour l’occasion (source Ouest France). Il est pour l’instant classé en “variant à suivre”… Mais il présente un risque d'”échappement immunitaire“, en clair de résistance aux vaccins… 😉

Non ? Sans déconner ? Allez, une nouvelle petite dose, et tout rentrera dans l’ordre !

Rincez, répétez.

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Mutants Pays

Belgique contre Colombie : 7 morts à zéro

Trop de drogue tue… la drogue. Proverbe belge.

Ceci n’est pas une histoire belge…

Sept résidents de la maison de repos Ter Burg à Zaventem sont morts en l’espace de deux semaines après avoir été contaminés par un nouveau variant du coronavirus, dit colombien. Tous étaient entièrement vaccinés contre le coronavirus, signale ce vendredi la VRT. (source Sudinfo).

Quel dommage.

Alors que la planète entière lutte contre le terrible variant indien, les Belges une fois de plus tentent de se rendre intéressants… Chez eux, c’est le mutant colombien “Say hello to my little friend” qui sévit.

Pas de bol.

Le truc est hyper énervé. La coca le matin à jeun, ça klaxonne.

Les petits vieux de Zaventem, moyenne d’âge 165 ans, n’avaient aucune chance face à une telle engeance sud-américaine.

Et ce ne sont pas leurs 75 doses de pseudo vaccins géniques à la con qui ont pu changer quoi que ce soit ; ils devaient crever… ils sont morts.

Terrible.

Une larme de picon dans ma bière, garçon.

Et l’addition.

Chimay c’est mon produit de beauté (note de la direction : notre stagiaire chinois s’est encore planté dans les références culturelles… C’est pénible. Il faut donc lire “Gamay c’est mon produit de beauté”).
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Asie Mutants Saloperie et sida mental

Le variant indien flambe en Chine : 5 cas

Proverbe chinois : “Quand le sage désigne la lune, l’idiot regarde le doigt.”

Tiens… Ca faisait longtemps que la Chine ne s’était pas foutue de notre gueule.

Vous savez tous que le variant indien est trop-horrible-méchant et qu’il est en train d’infecter et de génocider une bonne partie de la population mondiale. Si, si. Vous l’avez vu à la télé.

Sachez que cela se produit également en Chine, le pays le plus peuplé de la planète !

La métropole a déjà testé deux fois ses plus de 9,2 millions d’habitants et a engagé une troisième campagne de dépistage mercredi, a annoncé la mairie. La vaste et très peuplée province du Sichuan a fait état de trois cas jeudi tandis que Pékin a annoncé deux cas, les premiers depuis six mois dans la capitale.(source Le Figaro)

3 + 2 ça fait bien 5 non ?

Comme en 2020… Plus c’est gros ailleurs, plus c’est petit en Chine. 😉

Ils ont des mégalopoles de folie, des masses humaines invraisemblables… Mais chez le eux le couillonavirus, version indienne, version Wuhan, sud-africaine, anglaise, bretonne, alsacienne et sénégalaise… ça ne prend jamais.

Ils sont vraiment forts.

2 cas dans la capitale, les premiers depuis 6 mois !

Rappel : Pékin c’est 21 millions d’habitants.

C’est bon de rire.

Jaune.

POST-SCRIPTUM

Le même jour on nous dit que la Birmanie est sur le point de s’effondrer.

Le Royaume-Uni a averti jeudi le Conseil de sécurité de l’ONU que la moitié de la population birmane, soit environ 27 millions de personnes, pourrait être infectée par le Covid-19 dans les deux prochaines semaines. Le pays avait appelé à une réunion en réponse à ce qu’il a qualifié de situation «désespérée» en Birmanie, où l’armée a mené un coup d’État en février. (source Le Figaro)

Oh la la. Horrible, comme en Thaïlande d’ailleurs (l’épidémie flambe dans toute l’Asie du sud-est).

Sauf que la Birmanie et la Chine partagent une frontière terrestre… longue de 2 200 km.

Oh zut.

Le virus décidément est bien dressé.