L’Australie est couillonaviralement un cas intéressant.
Car le terrible virus l’a soigneusement évitée en 2020 (il ne s’est rien passé cette année et même durant une partie de 2021, comme dans la plupart des pays asiatiques, un point fondamental qui fut toujours ignoré car ne rentrant pas dans le spectacle de la “pandémie“).
Pourtant, le pays est devenu totalement covidément, hystérique même, et a lancé fin février 2021 une campagne massive d’injection ARNm (pour se protéger d’une terrible pandémie… qui n’existait tout simplement pas).
Et puis… à l’instar des pays asiatiques (Thaïlande etc.), le couillonavirus… pouf… a débarqué peu de temps après.
Pas de bol… 😉
(graphique made in bibi, source base de données)
Il s’agit bien entendu… euh… d’une malencontreuse coïncidence…
Forcément.
Fortuitement.
La campagne de “booster” a débuté -elle- fin décembre 2021, pour culminer en avril 2022.
Bilan : durant les 7 premiers mois de 2022, la mortalité toutes causes part en sucette…
Ce phénomène (en plus de la baisse de la natalité) se constate dans de nombreux pays (Etats-Unis, Pays-Bas, Chypre, Islande, Union Européenne etc.)
Et les scientifiques sans oublier les journalistes, les factmenteurs et bien sûr les gouvernements sont tous “déconcertés” (c’est le mot-clé utilisé dans les médias : “baffled” en anglais). 😉
Et juillet est le mois le plus meurtrier (17 936 décès) (si on compare avec tous les autres mois, depuis 2015).
Voici un article qui fait le point, avec plusieurs indicateurs, en particulier par tranche d’âge (on voit que les injections tuent des vieux rapidement, alors que pour les jeunes, il y a un effet retard).
Lien : https://metatron.substack.com/p/dead-down-under
L’auteur met en graphique également les causes des décès : on voit ainsi une forte hausse des maladies du coeur, des pathologies cérébrovasculaires et des cancers…
Bref, tout le who’s who lié aux produits ARNm, pardon aux formidables vaccins qui nous ont tous sauvés d’une mort certaine et atroce provoquée par le Covid.
Quant à moi, j’ai été à la source officielle des données (gouvernement australien), et je m’en tiens aux chiffres bruts.
Voici le total des décès (toutes causes confondues) durant les 7 premiers mois de chaque année, de 2015 à 2022.
Rappelons (est-ce nécessaire ?) que les Australiens ont la tête à l’envers et juillet… est le début de leur hiver…
On constate une hausse de 11,3 % des décès durant les 7 premiers mois de l’année 2022 par rapport à la même période 2021.
Ce pourcentage d’évolution est inédit (en tout cas depuis 2016).
Par ailleurs, on voit bien le phénomène de “moisson” (une année, la mortalité monte, ensuite elle baisse l’année suivante. Sauf 2022 qui apparaît comme une anomalie).
Voici les données brutes :
2015 = 90 106 décès toutes causes
2016 = 90 322
2017 = 93 260
2018 = 91 517
2019 = 95 356
2020 = 94 123
2021 = 98 392
2022 = 111 008
Avertissement : les chiffres 2022 sont encore “provisoires”. En clair : le nombre total sera encore plus élevé.
Et août sera sans doute encore plus mauvais, puisque c’est le coeur de l’hiver austral.
Alors bien sûr, on va nous expliquer que le responsable est le terrible virus !
Les Australiens auraient ainsi d’abord survécu à la souche génocidaire de Wuhan (qui foudroyait les gens dans la rues selon les vidéos fournies par les gentils Chinois début 2020, et qui a ravagé les pays occidentaux)… mais ensuite, la tuile, ils chopent en 2022 les versions d’Omicron… vous savez celles qui font éternuer…
Au point de les tuer…
C’est logique.
Alors même que le gouvernement australien a intérêt a grossir le nombre des morts du Covid (cette surdéclaration est visible partout depuis 2020… sauf en Chine bien entendu)… la surmortalité est supérieure au nombre officiel de décès dûs au virus…
On voit donc bien l’anomalie, et elle n’est pas liée uniquement au virus.
Il y a autre chose.
Mais quoi ? 😉
Enième mystère mystérieux…