L’IHU de Marseille fait une synthèse au sujet de l’ivermectine contre le couillonavirus (en prophylaxie, en traitement précoce et traitement des formes graves).
Présentation de 12 minutes.
Synthèse qui porte sur :
-les études in vitro
-les études in vivo
-les études in silico
-sans oublier les méta-analyses.
(j’ai d’autres articles en boutique au sujet de l’ivermectine, dans la rubrique Médicament)
Cette molécule qui date de la fin des années 70 (découverte par un Japonais) utilisée comme antiparasite possède également des propriétés antivirales, antibactériennes, anticancéreuses et anti-inflammatoires.
Elle est sans danger (3,7 milliards de doses utilisées dans le monde). Ne coûte pas chère.
Bref, une cible parfaite pour les covidéments et tous leurs complices, qui font la guerre contre toute idée de traitement du couillonavirus, afin de promouvoir seulement… le doliprane et les vaccins et les thérapies géniques (Pfizer, Moderna).
Rappelons aussi l’excellent papier du docteur Maudrux.
A noter un élément important : il y a en ce moment plus de 40 essais cliniques autour de l’ivermectine en cours actuellement (voir : https://www.clinicaltrials.gov).
Bref, nous aurons bientôt des montagnes de données supplémentaires…
Les covidéments devront alors répondre de leurs actes.
En justice.

MISE-A-JOUR
A noter qu’un référé a été déposé le 15/01 auprès du Conseil d’Etat, pour obtenir une RTU (recommandation temporaire d’utilisation) pour la prescription de l’ivermectine (contre le Covid).
L’audience aura lieu lundi 25 janvier.
Voir la vidéo de l’avocat, Jean-Charles Teissedre, qui s’occupe du dossier.
Lien : https://www.youtube.com/watch?v=GEmnn2ZI8lw
Cette stratégie est fine car cela va forcer les autorités à se prononcer… L’Agence Nationale, de Sécurité du Médicament peut s’autosaisir (afin de donner la RTU). Et le ministre de la santé peut également la saisir.
Donc, RTU ou pas ?
On rappelle que l’Agence a refusé une telle RTU au professeur Raoult (pour l’hydroxychloroquine)…