Categories
Résistance Vrac

Temps et virus : le problème des 2 pilules rouges

Morpheus s’est planté. Il y a 2 pilules rouges.

Deux ans.

Ceux qui me lisent depuis le 20 juillet 2020 connaissent mon mantra : chaque jour qui passe affaiblit les explications couillonavirales classiques (“ils font des erreurs“, “on n’a pas assez de données” etc.) ainsi que les explications subsidiaires, aussi aberrante (“c’est pour enrichir Big Pharma” etc.).

Plus ça dure, plus la covidémence révèle mécaniquement sa nature extraordinaire.

Pourtant, le virus ne semble pas être à la hauteur, ce n’est pas Ebola.

Conclusion : la covidémence est bel et bien une conspiration.

J’ai proposé dès le début une pilule rouge (psyop organisée par la Chine afin d’affaiblir l’Occident, dans un monde sous contraintes en terme de ressources).

Mais il y a un problème.

Car plus ça dure, plus cela renforce aussi l’angle “arme biologique” de la covidémence et donc… la dangerosité du virus.

Les 2 sont liés. Car une arme biologique est forcément dangereuse… Qui s’amuserait à fabriquer un “rhume” et à le déployer sur la planète ? Ou alors… pour provoquer une “vaccination” qui elle serait l’arme ? 😉

On revient en quelque sorte au point de départ.

Discours typique : “Deux ans que ça dure, tous les gouvernements de la planète continuent d’agir comme si le virus était hyper dangereux… donc il est hyper dangereux, ils nous cachent le fait qu’il s’agit d’une arme biologique”.

Autre version : “Deux ans que ça dure, tous les gouvernements de la planète font tout pour nous vacciner alors que la maladie est peu dangereuse, donc cela cache quelque chose de terrible : c’est une arme biologique à effet retardé”.

On dispose désormais d’une importante littérature quant aux effets du virus : les poumons, le système immunitaire qui s’emballe, les problèmes vasculaires, les caillots sanguins etc.

Le virus a plusieurs moyens/voies pour abîmer/détruire l’organisme (déjà affaibli, un point à ne jamais oublier).

Il ne tue que des gens… déjà morts (en gros).

En revanche, personne ne se retrouve en réanimation avec les poumons fondus, plusieurs mois après avoir été infecté.

Tout le monde sera d’accord sur ce point.

Mais quid des effets neurologiques ?

Car enfin, ce virus a une particularité… il peut s’attaquer au cerveau.

On pense bien entendu aux symptômes immédiats : la perte du goût et de l’odorat

La science est comme un enfant en bas âge face au cerveau… On accumule des connaissances mais à une échelle toujours réduite face à sa complexité.

Dès lors, une question surgit : le Covid pourrait-il, en tant qu’arme biologique, avoir des effets long terme sur le cerveau ?

Voilà la deuxième pilule rouge.

D’où mon titre.

Résumons :

-c’est désormais évident le Covid est bien une situation du type “pilule rouge/pilule bleue”… entre ceux qui réfléchissent et les covidéments neuneus qui gobent le spectacle.

-mais, le problème se complexifie… car nous pouvons avoir 2 pilules rouges.

Laquelle choisir ?

😉

Personnellement, je rejette la deuxième, je tente simplement de comprendre le fonctionnement des covidéments, voire de l’anticiper.

La problématique de la durée, de l’obstination ahurissante, extraordinaire au sens propre, des gouvernements du monde entier… sont des arguments que les covidéments peuvent retourner en quelque sorte, pour justifier et renforcer encore davantage leur comportement.

Car n’oublions pas que le premier symptôme du couillonavirus est… la paranoïa.

One pill makes you larger
And one pill makes you small
And the ones that mother gives you
Don’t do anything at all

Go ask Alice
When she’s ten feet tall
And if you go chasing rabbits
And you know you’re going to fall

(Jefferson Airplane – White Rabbit)

Categories
Résistance

L’épidémie sans malade

Je le rappelle souvent, mais vous devez regardez les vidéos de Pierre Lécot, sur la chaîne Décoder l’éco.

Elles sont essentielles.

En bon statisticien, il démolit les “chiffres” covidémentiels : décès, malades, hospitalisations, etc.

Tout y passe.

Voici son dernier opus, au titre parfaitement ciselé : l’épidémie sans malade.

Categories
Résistance Saloperie et sida mental Vaccinocircus

Guadeloupe : la direction du CHU n’est pas contente

Oh ! Quel dommage ! Figurez-vous que les lois scélérates imposant la vaccination couillonavirale… ne fonctionnent pas dans les Dom-Tom !

Tous ces noirs qui refusent d’être mis en esclavage… c’est très perturbant.

Et ça défrise tous les petits marquis parisiens comme Olivier Variant et compagnie.

Ainsi, la direction (bien blanche) du CHU local est toute colère.

La direction du CHU de la Guadeloupe a dénoncé mercredi 3 novembre un «taux d’absentéisme massif» parmi ses personnels, en soupçonnant «des arrêts de complaisance» et la conduisant à envisager de «saisir le Conseil de l’ordre des médecins».

Selon les autorités hospitalières locales, le taux d’absentéisme «avoisine dans certains services soignants 30%» avec des arrêts de travail qui se multiplient depuis quelques jours. (source Le Figaro)

C’est dur d’être un woke faible d’esprit covidément dans les Dom-Tom, hein ?

La dissonance cognitive y est massive ! 😉

D’un côté on se proclame anti-raciste, ouvert aux autres, respectueux de la diversité.

Et de l’autre on se plaint de tous ces odieux noirs qui empêchent de couillonavirer en rond !

Ah les salopards ! 😉

Le directeur adjoint du CHU de Pointe-à-Pitre/Abymes, Cédric Zolezzi, a ironisé auprès de l’AFP: «C’est très étonnant que tout le monde tombe malade à la même date dans des proportions pareilles».

Merde ! Ben alors Cédric ? ! T’es pas noir ? ! Mais c’est quoi ce bordel ? ! Allez sois gentil, rentre chez ta maman et laisse faire les adultes.

Cédric n’est vraiment pas content, il dénonce même la “guerre d’usure“. 😉

Ah c’est clair (j’allais dire “c’est noir” !), tu vas la perdre ta petite guerre covidémentielle, tu n’es pas chez toi en Guadeloupe mon petit.

La vie n’est pas comme celle décrite à Sciences Po (eh oui, bien entendu, Cédric a été formé à Sciences Po Paris, un bon formatage comme il faut…).

Allez, calme toi Cédric, sinon tu vas y laisser… ta santé.

En attendant, chapeau bas aux Guadeloupéens qui trollent et se foutent ouvertement de la gueule de ces criminels parisiens et des collabos locaux.

Continuez à les faire tourner en bourique.

Vous êtes les résistants.